Jaouad explose le crâne de la pute qu’il baisait après avoir découvert que c’était un trans

Wolf
Démocratie Participative
25 octobre 2017

 

Il semble que l’homophobie dispose encore d’un certain avantage sur l’islamophobie devant les tribunaux français.

Du moins, d’ici à ce que la charia soit mise en place.

Sud Ouest :

17 mars dernier, à Garat, près d’Angoulême. Jaouad, 39 ans donne rendez-vous à une escort girl, sur un parking. Sur place, il monte dans la voiture de la prostituée, puis la guide vers un petit chemin, prétextant chercher un restaurant.

Subitement, dans la voiture, Jaouad saisit sa victime à la gorge, lui assène de nombreux coups de poings et l’étrangle. Elle perd connaissance. Il la met alors dans le coffre et la transporte quelques hectomètres plus loin avant de la déposer sur le bas côté puis de prendre la fuite. La victime est laissée pour morte et finit par reprendre conscience.

Bilan : un visage tuméfié, un traumatisme crânien et de nombreuses fractures. « Une miraculée », pour Marie Terrades, la procureur.

L’agresseur est quant à lui interpellé le lendemain, au domicile de la femme qui l’hébergeait.

Tout l’enjeu de l’audience était ce mardi de comprendre ce déchaînement de violence. Aux gendarmes, il avait expliqué que la prostituée l’aurait traité de « fils de p… » Mais devant le tribunal, il a livré une autre version. Selon lui, il se serait rendu compte que sa victime avait une glotte. Puis aurait vu rouge. « J’ai compris que c’était pas une femme, mais un homme ». Une réflexion accompagnée de quelques insanités.

La présidente lui demande de se calmer, tente de le recadrer. Il s’énerve, veut quitter son box, ne plus assister à l’audience. Il tourne le dos au tribunal, sifflote, toise la victime. « Mettez moi la peine que vous voulez, j’en ai rien à branler ! », hurle t-il, habillé aux couleurs du Barça.

Marie Terrades, la procureur le décrit comme un « homme d’une dangerosité extrême ». La magistrate a même « froid dans le dos » de savoir qu’il était dehors en mars dernier. Elle explique qu’il fréquentait des forums de détenus où l’on s’échange des scenarii d’agressions…

Son casier judiciaire fait d’ailleurs état de 16 mentions. Le parquet requiert huit ans de prison.

Il a finalement été condamné à huit ans de prison ferme. A l’annonce du délibéré, il frappe contre le plexiglas du box et promet de faire appel.

Qu’allah le facilite.