Jair Bolsonaro couronné Empereur du Brésil, annonce la traque aux marxistes dans son premier discours

Captain Harlock
Démocratie Participative
29 octobre 2018

VICTOIRE !

Le Leader Fascistissime Jair Bolsonaro est devenu le nouvel Empereur du Brésil.

Vous pouvez écouter son premier discours ci-dessous dans lequel il appelle notamment à combattre les marxistes.

Un nègre, terrorisé à l’idée d’être génocidé par le nouveau maître blanc du pays, a accepté de prêter allégeance au Grand Jair.

La presse juive n’était pas satisfaite du résultat.

Le youpin Pierre Haski se lamente.

France Inter :

Les Brésiliens ont de nombreuses raisons d’être en colère : corruption, incurie, criminalité… Mais cette colère est mauvaise conseillère, qui les a précipités dans les bras d’un candidat qu’il est difficile de décrire autrement que comme fasciste. 

Oui.

Un fasciste.

Jair Bolsonaro a été la bonne personne au bon moment pour être le catalyseur de cette véritable révolte électorale d’une majorité de Brésiliens. Cet ancien officier, admirateur de la dictature militaire qui a marqué le Brésil jusqu’en 1985, a su récupérer la haine -il n’y a pas d’autre mot-, à l’égard du Parti des Travailleurs de Lula, l’ancien président aujourd’hui en prison pour malversations. 

La haine anti-communiste.

Encore une fois : oui.

C’est une nouvelle fois l’échec de la classe politique dominante, de droite comme de gauche, qui a fait le lit d’un régime autoritaire arrivé au pouvoir par les urnes. C’est une leçon universelle, qui peut prendre des formes différentes d’un continent à l’autre.

Les Brésiliens ont ainsi succombé au mythe de l’« homme fort » qui combattra sans gants la criminalité -64.000 meurtres par an, un record mondial-, qui nettoiera la corruption, défendra les valeurs dites familiales chères aux puissantes églises évangéliques qui le soutiennent, et relancera l’économie par de vieilles recettes libérales.

Tout ce qui peut libérer les masses blanches du parasitisme nègro-communiste est une importante étape vers le progrès.

La zone cancéreuse mulâtre a voté massivement contre le Grand Jair.

Le mythe de la démocratie est une nouvelle fois réduit en cendres : les nègres votent par pur parasitisme racial contre les Blancs.

La seule solution durable serait d’ailleurs un ambitieux programme d’épuration raciale du nord-est du pays.

Les milieux d’affaires brésiliens misent sur sa réussite, au moins économique, à coups de privatisations massives ; et la Bourse de Sao Paolo a carrément pris 15% de hausse depuis que Jair Bolsonaro est devenu le favori.

Les chefs d’entreprise brésiliens ont poussé un soupir de soulagement à l’idée d’être libérés du gangstérisme rouge du PT.

Le juif Haski se lamente de la facture qui devrait être bientôt présentée aux agitateurs communistes marrons.

Mais si le Président-élu ne fait que le dixième de ce qu’il a promis pendant sa campagne, il risque de semer la haine et la division dans un pays déjà très polarisé. Ne disposant pas d’une majorité au Congrès, Bolsonaro pourrait être tenté de contourner les institutions démocratiques.

Jair Bolsonaro ressemble un peu à Donald Trump, mais beaucoup à Rodrigo Duterte, le président des Philippines – vous savez, le président des Philippines qui s’est lui-même comparé à Hitler- dont la guerre contre la drogue s’est transformée en milliers d’exécutions sommaires et qui s’est empressé d’étouffer la presse indépendante. Bolsonaro menace de faire pareil au Brésil.

Le mariage d’un autoritarisme décomplexé et d’un libéralisme économique sans limites va tester la stabilité du plus grand pays d’Amérique latine. Plus sûrement pour le pire que pour le meilleur. 

Le socialisme dans un état multiracial se convertit, automatiquement, en pillage de la classe productive blanche au profit des parasites.

Le démantèlement de ce régime de prédation marxiste associé à une campagne de terreur contre les gangs négroïdes est la seule politique raisonnable.

Le Leader Fascistissisme a été immédiatement salué par l’autre Leader Fascistissisme.

Et bien sûr, par Trump.

Les bandes négro-communistes ont d’ores et déjà fait comprendre que cette élection n’avait aucune importance.

Le Figaro :

Après l’annonce des résultats, le candidat défait Fernando Haddad n’a pas félicité le vainqueur et a demandé que ses «45 millions d’électeurs soient respectés». «Les droits civiques, politiques, du travail et sociaux sont en jeu maintenant», a-t-il dit.

Cela devrait devenir intéressant dans les semaines à venir.