Démocratie Participative 卐 Le site le plus censuré d'Europe 卐
La rédaction
Démocratie Participative
29 juillet 2022
Depuis quelques mois, cet avocat Pierre Gentillet est sur les écrans de CNews.
Certains disent que c’est un opportuniste.
Il développe en tout cas une certaine lecture raciale de ce qui se passe en France, ce qui change des platitudes proférées par les boomers et les juifs qui défilent sur les plateaux de cette chaîne, à commencer par l’inutile Yvan Rioufol et l’affreuse Élisabeth Lévy, systématiquement biturée.
Le segment de Gentillet sur Lyon était cependant bizarre. Il parlait des centres-villes français qui seraient submergés « dans quelques décennies ». Il a ensuite parlé d’élections, l’obsession de l’extrême-droite française.
La Guillotière à Lyon est une zone de non-droit. Mais ne nous y trompons pas, demain ce sera le cas partout dans toute ville de + de 20 000 habitants.
Et ce sera la responsabilité des français. Si vous ne vous éveillez pas et continuez à voter pour les mêmes, rien ne changera. pic.twitter.com/7Ibr8MAXFt
— Pierre Gentillet (@Pierre_GTIL) July 27, 2022
J’ai du mal à cerner ce qu’il essaie de dire.
Les centres-villes de 20,000 habitants sont déjà submergés. Dans « quelques décennies », les Blancs seront minoritaires dans toutes les villes, sans exception, ainsi que dans de nombreux départements français. Une commune type de 20,000 habitants a forcément des clandestins afghans qui déambulent comme des zombies en centre-ville.
J’ai sans cesse expliqué ici que vers 2050-2060, la France sera majoritaire peuplée de gens du tiers-monde. Orban vient de dire la même chose et Orban, comme chef d’un gouvernement européen, dispose de renseignements que nous, simples paysans, n’avons pas. Il n’y a pas besoin de services de renseignement pour le savoir, mais lorsque l’on en a, ils confirment ce que nous disons ici-même.
Donc, je ne vois pas pourquoi évoquer des « décennies » pour décrire ce que l’on voit actuellement au quotidien dans les rues.
Ensuite, il y a ce concept de « vote ».
Nous sortons d’un cycle électoral totalement sidérant et inutile de huit mois qui a produit ce que la sociologie d’un pays comptant 17 millions de retraités peut produire.
Le flan n’a même pas reposé, que déjà ces gens de droite reviennent à la charge avec le grigri démocratique. Ils y reviendront sans cesse.
La démocratie consiste à dire que tout le monde a le droit de faire quelque chose politiquement, à la condition d’être « élu ».
Ce concept est totalement idiot.
En 2022, on ne peut pas voter pour les partis de gauche, ni être un électeur de gauche, sans être un traître. Voter pour eux implique de plébisciter l’invasion. Si on parle de ces partis, la seule chose à dire est la nécessité de les détruire, tout comme celle d’arrêter en masse leurs cadres pour les déporter en Guyane. C’est l’absolu minimum si on tient à parler de « politique » politicienne.
Ensuite, les partis bourgeois ne valent pas mieux. Ils font ce que la gauche voudrait faire. Les détruire est tout aussi nécessaire, théoriquement.
Enfin, il y a le régime lui-même qui permet à ces partis d’exister. Il est tout aussi évident et logique de détruire cette république que de détruire ces partis républicains, les deux fonctionnant en symbiose, comme ces poissons-pilotes qui vivent des restes de ce que dévorent les requins.
Cette république judéo-maçonnique est en train de crever la gueule ouverte, tout le monde peut le constater empiriquement, y compris les républicains les plus acharnés.
Ce chancre ne pouvait exister qu’en se nourrissant de la décomposition de l’ancienne France. Une fois totalement consommée ou presque, la république se met à crever.
Dans un tel contexte, pourquoi revenir sans cesse à la charge avec des concepts périmés comme les élections ? Nous n’avons pas besoin d’élections dans une France bougnoulisée, mais de racisme et d’autoritarisme dans les zones de peuplement blanc.
