Jacques Attali explique aux goyim comment le pouvoir juif international soumet les nations

La rédaction
Démocratie Participative
12 novembre 2022

L’articulation entre domination juive et féminisme, c’est encore le juif Attali qui en parle le mieux.

Les juifs ont très tôt compris que pour abattre une nation, il faut affaiblir ses hommes.

Ils le font en dressant la moitié de la population contre eux, en promettant le pouvoir aux traînées qui polluent progressivement la société de leurs valeurs émollientes, tolérance en tête.

On le voit sur les sujets clefs.

« Les étudiants masculins préfèrent protéger la liberté d’expression plutôt qu’une société inclusive et diverse avec un score sans appel de 61 à 39%. Les étudiantes ont adopté la position inverse, préférant une société inclusive et diversifiée à la liberté d’expression par 64 contre 35%. »

Les femmes, faibles et émotives par nature, fuient le conflit et les responsabilités en cas de crise.

Autrement dit, elles se soumettent à la première menace.

Mettre les femmes au pouvoir, c’est créer un système où l’État ne peut prendre aucune mesure radicale pour régler un problème.

Vous héritez d’un état matriarcal et horizontal, c’est-à-dire faible, mais omniprésent, qui se comporte comme une assistante sociale. Il empêche la compétition de hiérarchiser les forts et les faibles en vampirisant les premiers au profit des seconds. Le nivellement par le bas – « la démocratie » – entraîne la dégénérescence de la société et, finalement, le chaos, faute de polarités pour organiser la société. Ce genre d’état est égalitariste.

L’état patriarcal est fort et vertical, c’est-à-dire minimaliste et focalisé sur l’efficacité, il laisse les individus prendre leurs responsabilités pour que la hiérarchie sociale se détermine par la sélection naturelle. Ce genre d’état est élitiste.

Les juifs ont besoin d’un état féminin pour mettre en coupe réglée un pays et le parasiter sans crainte de réaction d’autodéfense, ce qu’ils font grâce au féminisme, à la promotion d’eunuques que sont les homosexuels, et en important d’autres éléments étrangers qu’ils utilisent contre les autochtones.

Le juif s’infiltre, met la femme au pouvoir, laquelle désarme l’État pour fuir le conflit et les responsabilités qu’elle redoute au niveau de son cerveau animal. Concrètement, cela passe par la destruction des frontières, le démantèlement de l’appareil policier et l’abolition de la répression du crime. Le pays est conquis par l’envahisseur étranger sans combattre. Ce type d’état répond à chaque agression comme une femme battue : en plaignant celui qui la bat.

L’extrême-gauche est la version hystérique de la polarité féminine d’une société. Elle s’identifie aux ratés, aux criminels, et à toutes les marges (drogués, homosexuels).

Il ne peut pas y avoir de solution superficiellement politique à une crise anthropologique qui traverse la race blanche.

Détruire le bacille juif, accélérateur de décomposition biologique, abolir les droits politiques des femmes, saboteuses de l’ordre social, purger les allogènes, parasites qui dévitalisent le peuple, sont les trois axes incontournables de toute véritable révolution en Europe.

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