Italie : l’état de droit met un terme au plan absurde de Giorgia Meloni et ordonne le retour des 12 premiers migrants démigrés en Albanie

La Rédaction
Démocratie Participative
22 octobre 2024

Qui ne lui ferait pas complètement confiance ?

Le plan de la perfide Meloni a toujours été débile.

C’est désormais officiel : son plan était débile.

Infomigrants :

Vendredi 18 octobre, des juges italiens de la section des affaires migratoires du tribunal de Rome ont invalidé la rétention des 12 migrants envoyés par Rome sur le sol albanais. Ces hommes, originaires d’Égypte et du Bangladesh, avaient été transférés mercredi dans le centre de Shengjin après avoir été interceptés en Méditerranée par les gardes-côtes italiens, dans le cadre d’un accord signé par Rome et Tirana.

Ce protocole, signé en novembre 2023 – un mois après l’arrivée au pouvoir de Giorgia Meloni – prévoit la création de deux centres en Albanie, d’où les migrants récupérés en mer par les Italiens, pourront effectuer une demande d’asile. D’une durée de cinq ans, cet accord concerne uniquement les hommes adultes interceptés par les autorités italiennes dans les eaux internationales – les migrants secourus par des navires humanitaires ne sont pas concernés.

Les personnes vulnérables (femmes, enfants, victimes de tortures, malades…) ne sont pas visées, tout comme les migrants originaires de pays « non sûrs » (comme l’Afghanistan, par exemple). Et c’est sur ce dernier point que la justice italienne s’est appuyée pour rendre sa décision.

Il n’y a pas de « navires humanitaires ».

Ce sont des taxis payés par Soros.

Ce petit jeu dure depuis 15 ans et des millions de colons afro-musulmans ont pu envahir l’Europe en toute impunité.

L’inaction des régimes démocratiques démontre à quel point leur seule raison d’être est de  faire les volontés de la finance juive sous prétexte d’arguties juridiques. Le fameux « état de droit » qui donne un pouvoir absolu à quelques dizaines de juges sur la vie de dizaines de millions de personnes.

Ces clandestins n’ont rien à demander en premier lieu. C’est le premier point. Aucun allogène n’a « droit » à quoi que ce soit en Europe.

Meloni prétend depuis le début jouer dans le cadre démocratique imposé par l’envahisseur anglo-américain en 1945. Le résultat, c’est qu’elle ne peut que faire de la communication tandis qu’elle importe des quantités astronomiques de larbins du tiers-monde « légalement », près de 500,000 d’ici 2025.

En clair, les juges s’appuient sur un récent arrêt de la Cour européenne de justice (CJUE), qui estime que le Bangladesh et l’Égypte ne sont pas des pays « sûrs ». Selon les termes de cet arrêt, les 12 migrants, Égyptiens et Bangladais, ne peuvent donc pas été envoyés en Albanie.

Si l’Égypte n’est pas un pays sûr, aucun pays ne l’est.

C’est bien évidemment le but de ces juges à la botte de Soros.

Mais pour l’Italie, au contraire, ces deux pays sont « sûrs ». En mai dernier, Rome a justement modifié sa liste de pays sûrs en y ajoutant le Bangladesh et l’Égypte.

Après la décision des juges, les 12 migrants ont donc pris place à bord d’un navire des gardes-côtes italiens, le « Guardia Costiera CP 422 » et ont été débarqués dans l’après-midi à Bari, dans le sud de l’Italie. Ils sont désormais hébergés dans un centre d’accueil des Pouilles.

Quel cinéma.

Ces sept Bangladais et cinq Égyptiens avaient vu leur demande d’asile rejetée quelques heures seulement après leur transfert en Albanie, dans le cadre de la « procédure accélérée ». Mais d’après la presse locale, leur dossier peut être a nouveau déposé sur le sol italien.

Après la décision de la justice italienne invalidant la rétention des 12 personnes restantes, le parti de Giorgia Meloni, Fratelli d’Italia, a dénoncé une décision « absurde » et a fustigé des « magistrats politisés ». « Je ne crois pas qu’il soit de la compétence des juges de décider quels pays sont sûrs et lesquels ne le sont pas, c’est une compétence du gouvernement », a pour sa part estimé la Première ministre. Le ministre de l’Intérieur Matteo Piantedosi a annoncé que le gouvernement ferait appel.

Le gouvernement italien devrait par ailleurs étudier ce lundi en conseil des ministres un nouveau décret pour se mettre en conformité avec la jurisprudence européenne.

L’opposition de gauche en Italie, vent debout contre l’externalisation de la politique migratoire, a en revanche salué la décision des juges romains. « Nous l’avions dit, non pas parce qu’on a la boule de cristal mais parce que nous lisons les lois », a ainsi réagi Elly Schlein, la patronne du principal parti d’opposition, le Parti démocrate (PD, centre-gauche). « Maintenant je lance un appel au gouvernement et à Mme Meloni : arrêtez-vous et revenez sur vos pas. Vous devez tout démonter et demander pardon aux Italiens« , a-t-elle dit.

Elly Schlein défend avec humilité le droit des Italiens de se faire envahir.

On ne le dirait pas, mais elle est juive.

Si quelqu’un veut stopper la submersion de l’Europe et, à tout le moins, de son pays, il doit abolir la démocratie procédurière.

Ce n’est pas une fantaisie, mais une obligation.

Tant que ce ne sera pas le cas, cette poignée de rabbins en robe noire invoquera sa paperasse que personne ne lit, ni ne comprend, pour faire la volonté de Soros, père et fils.

Les démocraties sont des états délibérément faibles pour laisser à la finance la haute main sur les destinées d’une nation.

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