Italie : les partis à la botte de la finance juive forment un cartel gouvernemental contre Salvini

Captain Harlock
Démocratie Participative
29 août 2019

Pour beaucoup de gens à droite, le départ de Salvini du gouvernement italien est une mauvaise nouvelle et pour beaucoup de gens à gauche, c’est une bonne nouvelle.

Je pense que c’est une bonne nouvelle.

Valeurs Actuelles :

Giuseppe Conte, qui avait démissionné de son poste de Premier ministre après l’éclatement de la coalition provoqué par Matteo Salvini, sera finalement maintenu à la tête du gouvernement.

Mauvaise passe pour Matteo Salvini. Après avoir démissionné le 8 août de son poste de ministre de l’Intérieur et ainsi fait éclater la coalition au pouvoir entre le Mouvement 5 Étoiles (M5S) et son parti, la Ligue, l’Italien avait réclamé des élections législatives anticipées. L’objectif : profiter de sa popularité pour renforcer l’influence de La Ligue dans la gouvernance du pays. Un coup de poker malheureux pour l’ex-ministre de l’Intérieur, alors que Giuseppe Conte, qui avait lui aussi remis sa démission, a été maintenu à la tête du Conseil des ministres après un accord entre le M5S et le Parti démocrate (centre gauche), rapporte Le Point ce mercredi 28 août.

Un « accord politique a été trouvé avec le Parti démocrate » pour former un nouveau gouvernement, a ainsi annoncé le chef du M5S et vice-président du Conseil des ministres, Luigi Di Maio. Giuseppe Conte, dont le départ de son poste de Premier ministre semblait acté, est finalement maintenu. Considéré comme un proche du M5S, sa nomination à la tête du gouvernement devrait être une « garantie » pour le mouvement antisystème, taclant ainsi Matteo Salvini. L’ex-Premier ministre était accusé par Giuseppe Conte d’avoir voulu faire « passer ses propres intérêts » électoralistes devant ceux du pays.

L’éclatement de la coalition est une bonne nouvelle pour le M5S, qui entend désormais peser sur la répartition des ministères. Selon Le Point, le Parti démocrate en aurait tout de même demandé un certain nombre, dont l’Économie et les Affaires étrangères, en échange d’une alliance. Luigi Di Maio, le chef du M5S, se voit quant à lui très affaibli. Il aurait demandé le ministère de l’Intérieur, ce que le M5S a démenti. De son côté, le Parti démocrate exige que le numéro deux du gouvernement soit issu du camp social-démocrate. Mais finalement, c’est le président de la République, Sergio Mattarella, qui aura le dernier mot. Il recevra les différentes formations et ne donnera son feu vert qu’en cas de « majorité solide ». Le cas échéant, les Italiens seront appelés aux urnes.

Salvini n’a fait aucune erreur. Il ne pouvait pas rester le partenaire secondaire du gouvernement après avoir remporté les élections européennes en mai dernier et être crédité de plus ou moins 37% des intentions de vote dans les sondages.

Il était obligé de dire l’évidence, à savoir que le M5S ne dirigeait l’Italie qu’avec l’appui du premier parti du pays, à savoir la Ligue, dont la base électorale pèse plus du double de la sienne.

Sauf à passer pour un faible doublé d’un imbécile, Salvini se devait d’exiger des élections pour demander aux Italiens de ratifier cette nouvelle réalité politique.

C’est ici que la magie parlementariste a opéré : au vu et au su de tous, on a vu le Mouvement 5 Étoiles se livrer aux habituelles petits arrangements de couloir avec les mafieux du régime pour empêcher les électeurs italiens de s’exprimer.

Renzi, le patron du PD (socialiste), en revendiquait d’ailleurs le principe dans la presse française il y a deux semaines.

Vous pouvez ici voir ce qu’est la démocratie réelle.

J’invite toujours les gens à ne pas s’intéresser à la démocratie théorique et à lui préférer l’analyse froide de la démocratie pratique que nous avons sous le nez.

La démocratie dont vous entendez constamment parler dans les médias est purement abstraite. Tout comme le communisme théorique, la démocratie découplée des réalités et limitée aux seuls discours a réponse à tout.

Aucun phraseur démocrate ou marxiste ne peut être pris en défaut car ce dont il parle n’existe pas.

Mais dès que l’on commence à appliquer le communisme, les problèmes commencent. Dès que vous pointez du doigt tel ou tel système communiste, les communistes disent que ce n’est pas du communisme.

Si vous les écoutez, l’URSS de Lénine n’était pas plus communiste que la Chine de Mao ou que la Cuba de Castro. Ces anguilles verbeuses vous glissent entre les mains comme le dernier rabbin d’Ukraine. Ils ont toujours le dernier mot. En toute logique, à les écouter, le communisme devrait advenir d’un seul coup, en toute perfection, surgissant dans les nuées comme la Jérusalem céleste.

L’avantage, c’est qu’ils se déclarent irresponsables de leurs actes jusqu’à l’avènement de ce jour béni.

Les démocrates ne sont pas différents. Vous achetez d’abord, vous utilisez après et en attendant vous devez leur faire une confiance aveugle.

Cette démocratie idéale qui est censée advenir demain matin ne prend jamais corps et les démocrates, pour couper court à l’inévitable désenchantement des foules, ont la réponse : même si on ne voit rien du paradis démocratique tant promis, toute alternative serait apocalyptique.

Vous avez donc le choix entre être écœuré ou supposément damné.

Les gens qui prennent pour argent comptant tout ce qu’ils lisent dans la presse, y croient dur comme fer. Ils sont convaincus que si nous en finissons avec la démocratie, le ciel nous tombera sur la tête.

D’année en année, décennie après décennie, nous sommes donc contraints de dire que nous aimons la confiture à la chiasse que nous servent les juifs et les démocrates parce que manger autre chose serait pire, d’après ceux qui nous la refourguent.

Pour revenir à Salvini, c’est précisément ça qu’il vient d’exposer aux Italiens : ces partis démocratiques ne cherchent qu’à se survivre, pas à défendre le pays.

Conte est donc réduit à l’état de zombie, comme son parti, et les sociaux-démocrates sont de nouveau aux commandes.

D’ailleurs Trump a une nouvelle fois fait preuve d’une insondable stupidité en soutenant Conte, poignardant de fait Salvini dans le dos pour le compte de Wall Street et de Bruxelles.

Ça commence à bien se passer pour le très respecté premier ministre de la République italienne, Giuseppe Conte. Représentation puissante de l’Italie au sein du G-7. Aime beaucoup son pays et travaille bien avec les États-Unis. Un homme très talentueux qui, espérons-le, restera Premier ministre !

Cette buse soutient le retour des mêmes socialistes européens qui veulent le voir mort en 2020.

De toute façon, Trump est totalement incompétent à l’international. Il devait tenir à le démontrer une nouvelle fois pour que tout le monde soit sûr d’en être sûr.

Comme les sociaux-démocrates de Renzi ne sont rien d’autre que le proxy de l’UE et de Goldman Sachs, en leur donnant les Affaires Étrangères et l’Économie, Conte vient de placer un peu plus l’Italie sous occupation de Bruxelles.

Le M5S ne devrait pas y survivre politiquement puisque sa raison d’être était d’être anti-système, pas de lui servir d’emballage.

Pour cette raison, en sortant maintenant du gouvernement, Salvini peut se poser comme le seul homme désireux d’un changement politique radical face aux épiciers du régime achetés par l’UE. Son action intransigeante au ministère de l’Intérieur en fait aux yeux de l’opinion un homme de parole qui va bénéficier pour cette raison du report de voix de l’électorat populiste du M5S.

Et puis Salvini n’est pas seul. Il a avec lui le parti des Frères d’Italie et possiblement ce qu’il reste du parti de Berlusconi.

L’autre avantage, c’est que Salvini n’aura pas à assumer les choix d’un parti autre que le sien dans la gestion de l’écroulement monétaire qui s’approche rapidement de l’Union Européenne. C’est d’ailleurs pour ça que le PD de Renzi exige la diplomatie et l’Économie : pour maintenir coûte que coûte l’Italie dans l’Eurozone quand la tempête frappera en 2020.

Et comme si ça ne suffisait pas, Macron et Merkel exigeront d’ouvrir l’Italie aux navires chargés de nègres, boostant encore plus la position politique de Salvini.

En fait, c’est probablement le meilleur scénario : une victoire électorale massive face à la coalition internationale  des spéculateurs et la cabale intérieure des démocrates et des marxistes.

Je donne un an voire deux ans à l’actuel attelage gouvernemental, au maximum.

Après, ce sera une nouvelle révolution italienne.