Israël doit devenir un état totalement raciste et suprémaciste selon le gouvernement antiraciste israélien

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
14 février 2018

Voilà une nouvelle occasion de juger le juif à ses actes.

Russia Today :

Alors qu’un projet de loi vise à faire légalement d’Israël «l’Etat-nation du peuple juif», la ministre de la Justice Ayelet Shaked estime que le maintien d’une majorité démographique juive est un impératif qui prime sur les questions de droit.

«Il y a lieu de maintenir une majorité juive, même au prix de la violation des droits» : c’est ainsi que la ministre de la Justice israélienne Ayelet Shaked a défendu le 12 février, lors d’une conférence, la proposition de loi qui vise a définir Israël en tant qu’«Etat-nation du peuple juif», dans des propos rapportés par Haaretz.

«Israël est un Etat juif. Ce n’est pas un état composé de différentes nations», a-t-elle ainsi fait valoir, soulignant que l’Etat devait administrer une égalité des droits civils mais pas nationaux. «Il y a des endroits où le caractère juif d’Israël doit être maintenu, et cela peut parfois se faire au détriment de l’égalité», a encore soutenu Ayelet Shaked.

La démographie prime le droit sur la terre de ces juifs.

Chez nous, ils prêchent exactement l’inverse.

Et si vous croyez que les juifs établis en Occident ne partagent pas ce point de vue, vous vous trompez gravement.

Ces juifs, de la même manière, se sont arrogés la ville de Jérusalem. Pas la moitié, la totalité.

Ici il ne s’agit pas de pleurer sur les déboires des arabes. Il s’agit de bien mesurer la psychologie de la juiverie. Le juif peut attendre 5 ans, 50 ans, 500 ans. Il ne varie pas.

Le juif jure qu’il est prêt à tout négocier, qu’il aime la paix, que la paix est sa raison d’être.

Et, à la première minute où la situation a évolué, il oublie ses serments de la veille. Il dévoile son visage : celui du tyran fanatique.

Les juifs sont si sûrs de leur domination en Amérique qu’ils baissent le masque.

Paris-Match :

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré qu’il discutait depuis « quelque temps » avec l’administration Trump d’annexion des colonies de Cisjordanie occupée, ce que la Maison Blanche a réfuté dans une rare dissonance. Une annexion des implantations civiles israéliennes dans les territoires palestiniens occupés compliquerait encore davantage la recherche de la paix et la solution à deux Etats, c’est-à-dire la création d’un Etat palestinien coexistant avec Israël. Cette solution, avec laquelle M. Netanyahu a pris ses distances après l’avoir endossée, reste la référence d’une grande partie de la communauté internationale.

Les voilà déjà prêts à dévorer ce qu’il reste de la terre des crouilles locaux.

Ils n’ont jamais songé autrement.

Et pendant qu’ils s’emparent de Jérusalem et de ce qu’il reste de la Palestine et qu’ils assurent que leur suprématie raciale ne sera jamais contestée dans leurs frontières, ils poursuivent avec la même constance implacable la guerre sainte juive contre l’Europe en usant des arabes et des nègres comme supplétifs.

Demain, ces juifs affirmeront à la face du monde que l’heure est venue de rebâtir le temple de Salomon et qu’un coup de bulldozer est indispensable pour cela contre la mosquée Al Aqsa.

Et du même mouvement, ils affecteront de plaindre le bougnoule victimisé de la banlieue parisienne.

Les hésitations d’une partie de la juiverie vis-à-vis des égorgeurs d’allah ne les rendent pas plus bienveillants à l’égard des Blancs.

En Amérique, la juiverie se déchaîne pour accélérer la disparition de la majorité blanche.

Et elle n’agit pas différemment en Europe.