Installé à Dubaï, l’instagrameur Dylan convertit en masse les jeunes Blanches à l’islam

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 mai 2021

L’islam sexy sans les bougnoules à couteau : Dylan a résolu la quadrature du cercle 

L’inévitable se met en place : l’hypergamie des femmes blanches rencontre l’islamisme instagram.

Le Point :

Une star de la télé-réalité bodybuildée qui poste sur Instagram les images d’une vie rêvée entre deux placements de produits, cela n’a rien de surprenant. En revanche, il est rare de voir s’intercaler des vidéos évoquant la religion, avec même parfois des conversions à l’islam en direct. C’est pourtant le choix qu’a fait Dylan Thiry, ancien participant de Koh-Lanta dont Le Parisien dresse ce dimanche le portrait hors du commun.

On y découvre l’enfance de celui qui se décrit désormais comme un « influenceur musulman » : le deuxième mariage et la conversion de sa mère qui portera le voile avant d’arrêter « pour me protéger », dit-il. Puis lui-même passe le cap à 16 ans. « J’avais besoin de discipline. Avec l’islam, l’alcool est interdit, la drogue aussi », explique le participant à la saison 2017 de Koh-Lanta. Ce n’est qu’en 2019 que Dylan Thiry va commencer à évoquer ouvertement sa religion sur les réseaux sociaux. Puis, lors du premier confinement alors qu’il vit à Dubaï, « un frère musulman est venu [lui] proposer de faire des lives avec un imam ». « L’islam, c’est un sujet très tabou. Je sais que je prends des risques de parler de ma religion, j’ai eu peur d’être banni de la télé », confie-t-il au quotidien.

En compagnie d’Abed Al Abidi, diplômé en « droit, laïcité, religions et société » et ancien imam, il discute de sa religion devant parfois plus de 10 000 personnes. Certains followers, des jeunes filles majoritairement, leur demandent même de se convertir en direct. Une trentaine ont ainsi récité la shahada (la profession de foi qui permet de se convertir) en leur compagnie. « Ce n’était pas notre intention au début. Le confinement a suscité une demande. Des gens voulaient se convertir, mais les mosquées étaient fermées », affirme l’instagrameur.

Une démarche très particulière, mais Abed Al Abidi se veut rassurant. Il dit garder le contact avec les fidèles, notamment via WhatsApp, et défendre un islam modéré : « Ma crainte, c’est qu’ils aillent se renseigner auprès de personnes avec une vision assez radicale ou extrême de l’islam. S’ils partagent un livre d’obédience wahhabite, je peux leur dire : “Cet auteur, je ne le recommande pas.” » Il défend un islam « du juste milieu », « qui s’adapte à son contexte et respecte les lois de la République ». « Je renvoie les gens vers la Grande Mosquée de Paris ou d’autres mosquées. » Dylan Thiry compte actuellement plus de 850 000 followers, son comparse quelque 60 000.

Le cerveau des femmes fonctionnent de manière très simple. Elles se disent qu’en se convertissant à l’islam comme Dylan le leur recommande, elles pourront accéder au train de vie d’une instapouf installée à Dubaï avec un 10/10, millionnaire et médiatisé.

Le désert en arrière-fond façon Mille et Une Nuits avec un Brice de Nice décoloré au premier plan permet de dédramatiser le basculement dans l’islam des cavernes.

Dylan le gwer rassure et permet aux 850,000 femmes majoritairement blanches qui le suivent avec avidité de vendre Abdelkader, le dealer du coin de la rue, comme leur futur Aladdin.

Parfaitement assimilé, Dylan maîtrise tous les codes bougnouliques : nasheed en mode autotune, narcissisme bling bling, grosse bagnole sur fond d’exotisme.

Direction les mosquées des pétromonarchies.

Les jeunes Blanches qui se convertissent devront se contenter de la mosquée turque ou marocaine de leur bled pluvieux où zonent dealers algériens, vendeurs de kebab kurdes et migrants soudanais. Peu importe, l’important c’est de faire rêver.

La diabolisation médiatique et culturelle de l’homme blanc, son grand-remplacement culturel par le rap négroïde et l’islam YouTube sur fond d’agressivité invasive des maghrébins à pento, fait de lui le loser sexuel définitif.

La migration des femmes blanches hypergames vers le vainqueur symbolique musulman tel que présenté par les médias ne peut qu’entraîner par contrecoup l’assimilation à marche forcée des jeunes Blancs qui veulent accéder au marché sexuel. Une simple chahada et le sale raciste fils de colon devient un chic type qui se soumet à Allah.

C’est la rédemption.

Dans la France post-nationale et féministe pulvérisée par la globalisation et l’immigration non-blanche, nous allons voir des stratégies de survie de ce genre se multiplier et Dylan est un réel précurseur.

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