Infidèle français suriné sur les bords de la Loire : pas d’expulsion pour le tandem algéro-syrien

Leutnant
Démocratie Participative
09 avril 2021

Les charmes des rives de la Loire, en Syrie.

La Nouvelle République :

Le 21 juillet 2020, un garçon de 17 ans avait été blessé de trois coups de couteau en bord de Loire à Tours. Deux hommes en situation irrégulière, âgés de 21 et 26 ans, ont été condamnés à 5 et 4 ans de prison ferme, ce jeudi, à Tours.

L’été dernier, les bords de Loire et le centre-ville de Tours avaient connu plusieurs agressions au couteau, après des soirées bien arrosées. Deux hommes, de nationalité Syrienne et Algérienne, ont été jugés ce jeudi pour des coups de couteau portés sur un jeune homme de 17 ans qui avait été blessé à l’épaule et à la cuisse. Un couteau portant des traces de sang de la victime et de l’ADN d’un des prévenus avait été rétrouvés. L’analyse des images de vidéo-surveillance avait permis de confondre les prévenus gros consommateurs d’alcool et de médicaments.

A la barre, l’un a nié les faits. “Quand je suis sous l’effet de l’alcool et des médicaments, je ne me contrôle pas, a expliqué le second. Si j’avais été conscient, je n’aurais jamais fait une chose pareille”.

Les deux hommes dorment en prison depuis juillet et septembre 2020. Ils ont été condamnés à 5 et 4 ans de prison, ce jeudi, avec maintien en détention.

Pour celui avec la peine la plus lourde, se déclarant né en Syrie mais pour lequel un doute subsiste sur sa véritable identité, une interdiction du territoire français pendant dix ans a été prononcé, en l’absence d’attache en France. Il a commis des faits d’outrage et de rébellion à la maison d’arrêt.

« Il bénéficiera sûrement d’une libération conditionnelle avec expulsion du territoire, mais cela sera soumis au juge de l’application des peines (JAP) » a précisé la présidente Christine Blancher.

Ses empreintes digitales ont montré qu’il avait déjà été jugé pour des faits de violences et de trafic de stupéfiants, sous une identité proche. L’ordre de son nom et de son prénom avait parfois été inversé, ou un « h » ajouté.

Le syrien ne sera jamais expulsé vers la Syrie en raison des « droits de l’homme ».

L’algérien peut rester en France.

Dans quelques années, ils seront français commevouzémoi.

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