Immunité diplomatique : le violeur Polanski sort un documentaire sur son enfance durant la « shoah »

Captain Harlock
Démocratie Participative
31 mai 2021

Je viole qui je veux, goy, j’ai survécu à l’holocauste LOL

Polanski reste visiblement inquiet de devoir rendre des comptes pour avoir drogué et violé des gamines de 13 ou 14 ans en Amérique dans les années 70.

Le moment était donc venu de rappeler son impunité aux parties concernées.

BFMTV :

Le cinéaste Roman Polanski témoigne dans un nouveau documentaire sur la Shoah, évoquant son enfance dans le ghetto de Cracovie et la déportation de sa famille.

Le réalisateur franco-polonais Roman Polanski revisite « l’horreur » durant son enfance pendant la Shoah dans un nouveau documentaire qui lui est consacré, présenté dimanche au festival du film de Cracovie, en Pologne.

Le film suit Roman Polanski dans cette ville où il a vécu enfant, en compagnie de son ami de toujours, le photographe Ryszard Horowitz, survivant de la Shoah, qu’il a rencontré dans le ghetto juif de Cracovie pendant la guerre.

Le film Polanski, Horowitz. Hometown, qui a ouvert le festival, parle de « la mémoire, de la confrontation avec le passé, de l’éphémère, du trauma, du destin », explique Mateusz Kudla, qui a réalisé et produit le film avec Anna Kokoszka-Romer.

« A travers ces deux personnages qui ont eu de la chance, qui ont survécu, nous voulions aussi montrer la tragédie de tous ceux qui ont vécu dans le ghetto de Cracovie et n’en sont jamais sortis », explique-t-il à l’AFP.

C’est le premier génocide de l’histoire où tout le monde survit.

Le réalisateur du Pianiste se souvient avoir vu un officier allemand nazi tirer dans le dos d’une femme âgée, et le sang gicler comme l’eau d’une fontaine.

« J’étais terrifié, j’ai couru jusqu’à la porte derrière moi (…) et me suis caché derrière ces escaliers », raconte le cinéaste, qui avait seulement six ans quand la Seconde guerre mondiale a éclaté. « Ça a été ma première rencontre avec l’horreur ».

Oui, tout à fait.

Et les Nazis mangeaient tous les matins un petit juif et il y avait beaucoup de sang partout, les gens avaient très peur.

Quant à ce film Le Pianiste, c’est un très mauvais film interprété par le très mauvais acteur juif Adrien Brody qui passe deux ou trois heures à afficher ses yeux de chien battu pour soutirer les larmes et le cash des goyim crédules.

Quand j’ai regardé le film, j’ai passé mon temps à éclater de rire devant les scènes au pathos grotesque qu’enchaîne ce faiseur de Polanski.

Naturellement, les rabbins d’Hollywood ont remis un Oscar à leur coreligionnaire pour ce navet.

Le film immortalise également la rencontre de Roman Polanski avec le petit-fils de Stefania et Jan Buchala, le couple de paysans polonais qui l’ont caché pendant près de deux ans dans le village de Wysoka, dans le Sud du pays.

Sorti clandestinement du ghetto, par les soins de son père, le petit Roman était passé de famille en famille avant de se retrouver chez les Buchala, qui ont reçu à titre posthume en octobre 2020 la médaille des « Justes parmi les nations » décernée par Israël à ceux qui ont aidé à sauver des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.

Le documentaire ne fait pas mention des accusations de viol contre Roman Polanski, persona non grata à Hollywood.

« Ce n’était pas l’objet du film, et ce n’était pas non plus notre intention de défendre ou d’accuser qui que ce soit. Ce film est consacré à un tout autre chapitre de la vie de Roman Polanski », a déclaré à l’AFP Mme Kokoszka-Romer.

Mateusz Kudla demande lui aux spectateurs d’envisager la possibilité que « peut-être, dans ce cas, Polanski a fait ce qu’il fallait en témoignant (sur la Shoah) pour empêcher l’histoire de se répéter ».

Ce documentaire affirme ni plus ni moins que Polanski a le droit de violer des gamines en vertu de l’holocauste.

C’est ce que disent les juifs : « survivre à l’holocauste » permet de violer.

Les menteurs juifs agissent toujours ainsi. Quand ils sont pris en flagrant délit, ils renversent la situation et se posent en victimes éternelles pour éviter d’avoir à rendre des comptes.

Ces gens n’ont aucun scrupule.

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