Illettré, Jonathan le congolais clandestin a ses 25 voeux validés sur Parcoursup

La rédaction
Démocratie Participative
08 juin 2022

Le problème avec les algorithmes antiblancs de Parcoursup, c’est qu’ils sont faits par des programmeurs en carton nord-africains supervisés par des femmes blanches et des gauchistes homosexuels de l’EdNat, si bien que ça finit par se voir.

BFMTV :

Un motif d’espoir et une grande fierté pour tous ses proches. Alors que de nombreux lycéens restent tributaires des premiers résultats de Parcoursup qui ont été partagés la semaine passée, Jonathan Kikanga, un jeune Congolais de 18 ans, n’a pas à se soucier des listes d’attente parfois vertigineuses sur lesquelles de nombreux étudiants sont inscrits. Comme l’explique Ouest-France, scolarisé au lycée Dupuy-de-Lôme de Brest, ce dernier a vu ses 25 voeux acceptés, dont celui lui donnant accès à la prestigieuse école d’ingénieurs Insa de Lyon.

C’était trop blanc, il fallait corriger cette erreur contre-révolutionnaire

Une performance d’autant plus remarquable que le jeune homme n’est arrivé en France qu’en 2019 en provenance de Kinshasa, après avoir voyagé par avion. Selon le quotidien régional, celui dont la mère est morte et dont le père habite en Angola, ne parle qu’un français rudimentaire à son arrivée. Sans-papiers, il quitte la capitale pour Brest où il se retrouve également sans-domicile.

Au fil des rencontres, Jonathan prend contact avec l’Adjim, une association dévouée à l’aide aux migrants qui est composée de professeurs. Là, celui qui n’avait pas été scolarisé entre la 6e et la 3e apprend le français plus en profondeur et se retrouve finalement admis en section Sciences et technologies de l’industrie et du développement durable (STI2D) du lycée brestois.

Élève modèle, sa moyenne tutoie rapidement les sommets et le jeune homme obtient les notes de 15 et 17 aux oraux et écrits du bac français. « Le français, c’était très compliqué! », admet-il toutefois. Un dossier sans fioritures qui lui permet de prétendre aux écoles les plus prestigieuses.

Oui ! Le congolais qui a un niveau d’école primaire (au Congo…) a appris le français en deux ans sous la protection de profs pro-migrants et, miracle, inscrit sur Parcoursup où les mentions des profs sont déterminantes, le voilà désormais pris partout, sans exception.

Ne cherchez pas à comprendre : les noirs sont beaucoup plus intelligents que les Blancs, c’est prouvé génétiquement

Les voies de l’Éternègre sont impénétrables.

Les vieilles Bretonnes y voient un signe divin.

Dans son entourage, personne n’est réellement surpris. « Ça ne m’étonne pas. Ce garçon m’impressionne. Il apprend avec une telle rapidité », se réjouit, toujours auprès de Ouest-France, Michèle Le Gall, qui a accueilli le jeune homme à son domcile.

Reste un dernier écueil pour Jonathan, celui d’obtenir des papiers français, lui qui par deux fois a dû justifier de sa situation de mineur isolé devant la justice. « Quand j’ai une baisse de moral, je me dis que je vais devoir quitter la France. Ça me pousse à bosser deux fois plus. Je n’ai pas le choix! », conclut-il, toujours dans les colonnes de Ouest-France.

Les Blanches ménopausées sont bien tristes à cette l’idée de d’expulsion relatée par les hommes soja d’Ouest-France qui, bien entendu, n’a aucune espèce de probabilité d’advenir.

L’État Français n’expulse personne. Il n’expulse tellement personne que les migrants clandestins illégalement inscrits sur Parcoursup sont ultra favorisés par la plateforme tandis que Jean-Catho de Rambouillet, avec son 19 en mathématiques, est recalé deux fois en deux ans.

Je vous vois venir, les racistes, avec votre mauvaise foi légendaire.

Si vous doutez du fait que Jonathan Kikanga est un génie de la technologie, c’est parce que vous faites semblant d’ignorer que la France, grâce au système éducatif français qui fait l’admiration du monde entier, peut produire des génies des sciences appliquées en deux ans. Il suffit d’un peu d’huile de coude, de beaucoup de marxisme mental, d’une haine franche pour les fachos (les hommes blancs), être une femme de race blanche et, last but not least, adorer les mâles basanés.

Quant à l’apprentissage du français par Jonathan, c’est là encore grâce à nos professeurs dont les méthodes pédagogiques révolutionnaires sont tout simplement les meilleures du monde.

Nous ne saurons jamais ce qui se passe, parce que l’État français n’opère jamais de manière transparente.

Son fonctionnement interne est, culture jacobine oblige, réservée à l’élite technocratique parisienne qui le contrôle. Les paysans n’ont pas à savoir comment fonctionne la machine. Nous ne saurons jamais rien de l’algorithme, des trucages effrayants auxquels se livrent les marxistes du ministère pour pulvériser socialement des Blancs forts en maths pour briser le « racisme systémique ».

Quand on est un petit Blanc, Parcoursup, c’est comme de jouer au casino en ligne en espérant gagner.

Au moins aux États-Unis, la discrimination antiblanche est assumée, elle est publique, méthodiquement détaillée. Ici, c’est le bal des faux culs de gauche dans une structure pyramidale parisienne aux mains d’une poignée d’homosexuels trotskistes qui votent LFI, placés sous la protection de Pap Ndiaye.

Le nivellement racial par le bas, au nom de l’utopie communiste des femmes profs fanatiques, ira à son terme.

En toute franchise, ne songez même pas à faire des études supérieures en Fronsse. Étudiez toutes les possibilités pour que vous ou vos gosses aillent étudier dans des pays européens développés, loin du Frankistan. Rien n’est pire que la France en ce domaine – rien. Autriche, Norvège, etc., faites votre choix, mais fuyez cette immense flaque à merde subsaharienne qu’on appelle l’enseignement supérieur fronssé.

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