Il nous faut une mystique, celle de l’empire blanc d’Europe

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 Décembre 2020

Retrouver une confiance, un rythme, une musique à ce peuple, un lyrisme qui le sorte du baragouin juif. Un Dieu ! d’où qu’il vienne ! Une âme ! le corps suivra ! On lui demandera pas son avis ! Ce sera à prendre, ou à laisser.  

Céline

Plus que d’une solution politique –  à quel problème ? – ce dont nous souffrons, c’est de ne pas avoir de point de départ. Nous sommes du plancton en suspension, sauf quelques uns qui cherchent du pied ou de la main une surface d’équilibre. Le fatras poussif du patriotisme cocardier, avec ses usages et sa garde républicaine, son Panthéon débordant de macchabées juifs au milieu d’un naufrage légendaire, de nègres camés à l’air stupide, de surconsommation et d’impératifs médiatiques, ne peut servir de substitut.

Ce cheval est archi crevé.

Tout ça, cet amalgame étonnant de Versailles et d’Hanouna, de circulaires préfectorales et de préavis de grève, de rappeurs nègres et de trafiquants de dope, ne peut servir de base de départ à un peuple. C’est donc, manifestement, un point d’arrivée. Une fosse commune.

Le nationalisme, en France, ne parvient à dégager un semblant d’énergie vitale que lorsqu’il se dégage de la Nation, qui, pour tout le bétail français, est comprise universellement comme un empilage administratif, des règlements, des impôts, beaucoup d’impôts, de cérémonies antifascistes et des discours. Des discours partout, saturant de judaïsme. La France comme corps de nation est tellement enjuivée que chez elle, c’est devenu un atavisme que de vibrer juif. Elle ressent juif, par et pour le juif, au point de ne même pas s’apercevoir qu’elle ne se possède plus. Entièrement et passionnément livrée à Jérusalem.

Le désenjuivement devient pour n’importe quel Français une défrancisation.

La Nation, en France, est comprise de travers, de manière irréversible. C’est lorsque l’on s’aventure à y adjoindre un semblant de sens nationaliste, de réalité, de sang aryen pour tout dire, que le produit fini qu’est le citoyen français s’emporte et proteste, voire pétitionne. L’équation est la suivante : la viande française ne reprend vie que lorsqu’il s’agit d’assassiner ses gosses pour le compte des étrangers sous le regard approbateur du maître juif. Il n’y a un sens collectif en France que lorsqu’il s’agit de saloper plus complètement l’autochtone, de le priver d’avenir, d’espoir, de joie.

Alors là, dans le sabotage, pardon, l’enthousiasme collectif est réel. La créativité, surabondante ! Elle est même totale. Tant que nous abordons la vie par ce biais là, par ce biais franco-français – ni franco, ni français -, c’est la mort raciale assurée, la mort de l’âme.

Et puis les Français phase terminale s’écoutent parler. Ils écoutent surtout parler les juifs. Des mots, interminables, à surenculer des mouches par millions. La patrie de la parlotte. Il faut bien avouer que c’était fatal qu’un tel pays finisse entre les mains des juifs, coupeurs de cheveux en quatre et peuple d’avocats depuis 4,000 ans. Les Français d’aujourd’hui, sont comme les femmes et les lapins, on les attrape par les oreilles. Les juifs ont senti très tôt l’affaire.

Il faut repartir sur des bases nouvelles, des bases tangibles, des bases où un espace d’exclusion est le prérequis. Des bases sanitaires, pour tout dire. Car on étouffe, en France. L’air est rare. Il est aussi vicié. Trop de sales gueules expectorent depuis trop longtemps leurs germes tièdes pour que nous souffrions d’autre chose que d’un problème de densité, de promiscuité, d’humidité indésirable. Il y a trop de graisse louche d’Alexandrie par centimètre cube, trop de transpiration bouillabaisse, sirop juif, dans cette masse d’air compacte pour qu’un homme blanc puisse tenir sans devenir fou.

Paris n’est pas le Mont Blanc. C’est pisseux, pisseux-crouillat. Quelle flore y bourgeonne, à Paris, capitale d’empire !

Nous prenons l’équation totalement à l’envers, à cause des profs et de leur obsession cartographique. On commence par la carte, ensuite on réfléchit à ce qui se trouve dessus. On appelle ça la France, déployée en majesté dans tous les manuels scolaires. Erreur. On doit commencer par réfléchir à ce que l’on veut mettre dans un état avant d’en faire des cartes, satellitaires ou crayon. La France géographique, c’est du cyanure pour les enfants. On essaie de nous coller des quarts de bicots arménisés dans les pattes, tignasse noirâtre, gueule de traviole mais – c’est le fil conducteur – ardemment patriote géographique, du bon côté de la frontière.

C’est de quelle patrie on cause, très exactement ?

La question qui fâche.

C’est sur ce désastre biologique qu’intervient l’arnaque : comment donner un semblant d’explication, de sens à ce foutoir ? Une apparition mariale ? La constitution de 1793 ? Le CNR ?

Il y a plein de Français très gentils qui sont convaincus que Jésus aime les nègres et qui s’expliquent ça miraculeusement. Il n’y a qu’un hic : je ne les aime pas, ces nègres. Je ne suis pas le seul à les regarder de travers, débordant de négrillons hurlants. J’ai un amour modéré pour les séances de torture volontaire, je ne me fais pas des nœuds dans la cervelle pour concilier la nuisance nègre et le petit Jésus en extrapolant sur un mystérieux dessein divin. Si on me dit que Jésus me colle des nègres dans ma rue, c’est qu’il n’est pas si blanc bleu que ce qu’on dit.

« Ah, mais dans cent ans, la prophétie ! »

Ou dans deux cents. Voire mille, ça sonne plus prophétique. Pendant ce temps-là, Mamadou, fort peu chrétien mais bon musulman, en aura troussé des Gauloises, engendrant l’innommable par bataillons entiers sous l’œil attendri du préfet et du sergent-chef recruteur. Et aussi, un peu, du dernier curé.

Ce n’est pas quand la baraque est écroulée qu’on redessine le plan pour dire au propriétaire que la bicoque a toujours été foutue comme ça. Parce que ce n’est pas vrai. La France n’a pas toujours été truffée de nègres, c’est une innovation – juive d’ailleurs. Mais il y a des gens – surtout des bonnes femmes – pour nous dire que de tout temps, nous sommes des nègres, voisinons avec, et leur devons tant.

Alors avec tous ces millions de cafres en lévitation, il va quand même falloir clarifier.

Je ne crois pas dans la mystique du drapeau tricolore. Il ne nous a prémuni d’aucune MST idéologique, loin s’en faut. Pire, il n’y a plus une saloperie qui ne soit joliment enrobé d’un large Bleu Blanc Rouge. Les démocrates en raffolent. Comme la Marseillaise, qui repousse très peu ceux qui viennent égorger nos fils et nos compagnes. C’est pas faute de la gueuler, pourtant, à la moindre occasion. Là non plus, le surnaturel n’est pas d’un grand secours.

S’il faut sauver la race blanche en France, en tout ou partie, il va falloir récurer les crânes à l’eau de javel et commencer à se familiariser avec l’idée d’un équarrissage de grande ampleur, fort peu chrétien, fort peu droits-de-l’homme. Puisque je parle de nouvelle mystique comme condition du renouveau et de survie biologique élémentaire, il y a un mot qui me fait vraiment dégueuler, c’est celui de « morale ». La fine saloperie ! Ça, c’est bien dégueulasse. De la mort aux rats dans le chocolat. Le petit Aryen vient au monde, on lui salope l’esprit de mille interdits, tous juifs et aussi un peu chrétiens-féminins. Que des concepts de coupeurs de couilles. Ça sent la bonne femme. La race blanche est domestiquée, avilie, insultée, exploitée, et ça s’apprend dès deux ans à coups de pompe dans le cul. Il faut dire merci aux ordures, aux étrangers, aux femmes, peu importe quoi, comment. En rampant. Dès qu’il parle, le gosse blanc est déjà éduqué à détruire sa race, au nom de l’égalité, de la charité femelle universelle, de toutes les foutues maladies mentales de l’amour du prochain, prochain au faciès oriental comme de bien entendu.

« La morale. » C’est la syphilis de l’âme. Une maladie de gens fatigués. La morale, ce sont les conditions du vainqueur d’hier qui a peur d’être vaincu aujourd’hui et qui proteste face à la vie.

Ce n’est pas avec une telle charogne que nous nous offrirons un avenir.

[…]

Être moderne signifie simplement de remplir de nouvelles formes avec des vérités éternelles.

Joseph Goebbels

Le cadre stato-national péteux des préfets français si cher aux souverainistes, qui veulent régner sur des nègres en défiance des Blancs d’Outre-Rhin et d’Outre-Elbe, est une arnaque en viager. Avec un tel contrat politique, au final, c’est le nègre et le bicot qui récolteront la mise, démographie oblige. Permettez-moi de me désister et de regarder par delà l’autorisé, le nationalement correct.

Nous allons devoir nous débarrasser de nombreux réflexes, si nous voulons avoir encore un mot à dire, sur la terre de nos ancêtres. A commencer par celui des interdits moraux. Il n’y a qu’une morale réelle, immanente, perpétuelle : la victoire. Le dieu de la victoire est le plus important de tous, c’est aussi le plus généreux. Tout dépend de lui. La morale n’est qu’un chant passager d’une victoire sanglante. Le sang, c’est ce qui explique la marche de l’histoire. Pas de sang, pas d’hommes, pas d’hommes, pas de sang. Sans le sang des hommes, il ne reste que les mouches volant depuis des millions d’années pour des millions d’années.

Nous sommes entre deux mondes, deux ères, l’une à l’agonie, l’autre en train d’être enfantée. Prenons le parti de la tempête, celle qui renverse les cimetières. Laissons crever le monde d’hier avec ses totems juifs. Brûlons-le, ce monde, incendions tout ce qui s’y trouve et cherchons, dans le sol, l’énergie primordiale qui nourrit notre peuple depuis l’origine. Il ne doit pas y avoir une seule idole juive ou démocratique qui ne soit pas renversée par notre rage. La terre et le sang, et la guerre. Il reste, en France, une vérité paysanne archaïque sur laquelle il faut bâtir, mais d’abord exalter. Une vérité toute celtique de mémoire, une vérité raciale d’exclusive, d’élection. Après tout, comme les juifs, nous pouvons nous élire comme les maîtres de notre propre destin, trouver la voie vers les forges de notre plus ancienne matrice. Il n’y a pas d’autorisation à demander en mairie pour ça, ce sale réflexe de moribond. Mettre la mémoire en marche et dresser un culte à la race, aux mystères anciens, aux vérités non partagées avec le tout venant. Chanter aujourd’hui comme il y a quatre mille ans, au coin d’un bosquet, sous le soleil borné et intemporel de nos champs.

C’est possible, il suffit de vouloir.

Ce qu’il nous faut, c’est une nouvelle jeunesse. Les vieux calculent, les jeunes s’enthousiasment. La France actuelle ne pue pas seulement le juif, elle pue aussi la pisse de vieillard. Mesquine, sans audace, 100% près de ses sous.

Il ne se fera rien sans la jeunesse, tout dépend d’elle. C’est la source de vie.

Miser sur la démocratie pour se sauver de la démocratie, c’est ce que nous glisse le juif à l’oreille. Un état se construit dans le sang et se défait dans le démocratisme, c’est une règle éternelle. Un empire est fait de force, pas de consentement. Quand un empire devient trop faible, alors seulement recourt-il au consentement, au marchandage, comme une vieille putain. Il s’effondre.

Notre avenir, c’est l’Europe. L’Europe blanche. L’Union Européenne, pour juive qu’elle soit à sa tête, voire par construction, offre une garantie et pas des moindre : sur un ensemble de 27 pays-membres, une majorité écrasante de nations blanches, ethniquement saines. Un réservoir racial de 450 millions d’Aryens qu’un homme de génie pourrait, s’il s’emparerait de Bruxelles, transformer en un bloc racial grandiose.

Même si j’aime les coutumes, les querelles de légumes et de choux m’ennuient. L’Europe est la seule chose qui peut encore nous donner une foi raciale et une grandeur.

Les créatures insolites et difformes qui déambulent en France me confortent dans cette opinion : la race blanche d’Europe contre la sous-humanité afro-négroïde portée par la démocratie juive. La race contre la masse.

La nouvelle dialectique européenne rend d’ailleurs justice à la France française.

C’est traîner dans la merde la véritable France que d’oser affirmer que la France qui s’étale à présent devant nos yeux serait une seule et même nation et que cette France-là devrait se départir au plus vite de l’Europe, à la sueur de notre front, parce qu’il serait crucial de préserver Paris du péril germano-slave. Cette « France » n’a rien de française, c’est une boursouflure immonde et purulente, victime cadavérique coulante de sémitisme qu’on ne peut, d’aucune façon, identifier à la France française telle que l’histoire l’a faite. De grâce, qu’on cesse de beugler au patriotisme pour jouer les régiments de viande en réserve pour cette chose défigurée par les juifs, la démocratie et la bite des cafres qu’on appelle la « France ». Mélenchon-vinasse. J’ai encore un peu de dignité. Je ne me sens pas de récurer les ongles de pieds des youtres ni de remuer sur du tamtam. J’ai mes préventions. Je suis un félin soucieux de sa propreté.

Il nous faut une nouvelle mystique. Un nouveau mystère. Tellurique, dans le secret des bois, léger et lourd. Recherchons, dans la nuit, les Français qui sont comme nous en quête.

L’empire blanc qui vient est notre espoir. Un empire raciste européen qui parte du sol, un empire qui aura troqué la morale juive pour la vie. Un empire où on prie en se tournant vers le nord et non pas vers la fosse à chiottes de Palestine. Un empire où la race blanche se suffit à elle-même et ne demande à aucun étranger l’autorisation d’exister.

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