Il faut soutenir à fond le mâle sûr de lui et dominateur Usul contre l’odieuse traînée Tatiana Ventôse

Captain Harlock
Démocratie Participative
05 Février 2021

 

Il y a un gros drama en ce moment au sein de la gauche radicale mourante – la gauche est en train de mourir.

C’est comme une sorte de spasme. Ce spasme implique Usul, qu’on ne présente plus, et Tatiana Ventôse, une ex-gauchiste qui a basculé dans la réaction anti-islam totale. Comme Natacha Polony, la prof.

Un maghrébin a fait un rapide tour d’horizon de la situation [il prend la défense de Ventôse] :

Je précise d’emblée : oui, des bonnes femmes blanches vont vaguement développer des positions réactionnaires de peur de finir voilées/violées – non, ce n’est pas important car, quoiqu’on en dise, elles se rallieront de toute façon à la cause raciste donc ce n’est pas nécessaire de planquer les drapeaux de la seule cause qui compte : la suprématie de l’homme blanc.

Ce qui m’amène au point suivant : Usul.

Usul est un gauchiste comme nous en avons tous croisé dans nos vies. C’est une sorte d’incarnation. Il a donc un physique de lâche inversement proportionnel à ses ambitions politiques.

Usul était franchement ivre l’autre soir sur Twitch et il a passablement critiqué Ventôse en disant que c’était une pétasse insolente qui, comme toutes les pétasses insolentes de gauche, s’était imaginée une vie de Rosa Luxembourg.

Le seul drama autour de ces deux ou trois petites piques démontre à quel point les gauchistes blancs sont des pédales intégrales.

Donc

En théorie, les marxistes croient en l’égalité des sexes. En pratique, tout le monde sait que les femmes n’auraient pas tenu Verdun en 1916. Notamment à cause de leurs règles et aussi de leur constitution physique.

Personne ne croit que les femmes sont les égales des hommes. A commencer par la grande majorité des femmes lorsqu’il s’agit de déplacer une armoire.

Il doit y avoir une loi qui prévaut ici : extrême-droite ou extrême-gauche, un homme reste un homme et les mecs ne peuvent décemment pas abandonner un autre mec à une meute de chiennes féministes soutenues par des mâles betas au prétexte qu’Usul serait un type de gauche.

C’est une bassesse dont je ne me rendrai pas coupable.

Je ne peux pas poignarder un homme dans le dos.

Je soutiens Usul.

Ces bonnes femmes n’ont tout simplement aucune espèce de légitimité pour reprendre un homme. Les femmes n’ont pas d’idéal, elles n’ont que des calculs. Qu’elles s’aventurent sur ce terrain me met réellement en colère.

C’est vrai qu’Usul a vaguement couché avec une femme qui est devenue un demi-homme mais dans cette époque compliquée, je ne pense pas qu’un excès de rigueur morale nous soit d’une quelconque utilité. En tout cas, cela ne nous aide pas à comprendre ce qui se passe dans cette affaire.

D’ailleurs, je n’ai rien contre les types de gauche. Simplement, ils ne comprennent rien à l’économie ni à la question raciale. Quant à la question juive, ils croient encore au mythe des chambres à gaz (oui !). Vous avez toujours des gens ignorants autour de vous, c’est un invariant mais il faut le dépasser.

Bref, Usul réaffirme le principe du primat masculin sur le politique à gauche et je soutiens cette démarche à 100%.

Vous imaginez Staline, vous, en train de tenir compte des états d’âme d’une rombière éplorée ?

Mon père communiste m’a appris le respect de Staline

Et puis Usul a du talent.

C’est du talent mis au service d’un idéal dont l’horizon est une pissotière de la Gare du Nord, mais c’est tout de même un idéal. Mediapart a raison de l’employer, il reste chez lui une toute petite lueur d’humanité enfouie sous un monceau de fumier petit-bourgeois gauchisant.

D’ailleurs, son incartade sur Twitch laisse percer un peu de cette francité finissante que les juifs et les métèques vont ensevelir à gauche.

Je sais que si Usul est assassiné politiquement, nous aurons un séfarade à la place.

Je refuse de m’y résoudre.

Et puis sur les femmes, Usul a raison.

En tant qu’Hitlérien convaincu, j’apporte mon soutien le plus franc à Usul dans cette mauvaise passe.

Ces salopes n’auront pas toujours le dernier mot.

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