Humilié par Bolsonaro au sujet de sa rombière momifiée, Macron veut maintenant annexer l’Amazonie

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 août 2019

Macron est en train de monter un énorme écran de fumée pour éviter d’avoir à rendre des comptes au sujet du traité de libre-échange qu’il a soutenu entre le Brésil et l’UE.

Avec l’importation imminente de produits agricoles brésiliens sur le marché européen, l’agriculture française est certaine de perdre des débouchés en Allemagne et en Scandinavie.

Du coup, il lance une campagne internationale de diabolisation de Bolsonaro au sujet de l’Amazonie que le même Macron trouvait en parfait état il y a encore quelques mois, avant la défaite des marxistes au Brésil.

Le Point :

Le président français Emmanuel Macron a rencontré lundi soir le cacique Raoni, figure de la lutte contre la déforestation en Amazonie, a annoncé ce dernier lors d’une conférence de presse à Bidart, près de Biarritz où s’est clôt le sommet du G7. « On a parlé avec le président Macron de beaucoup de sujets et nous avons eu une bonne discussion », a-t-il dit dans sa langue via deux interprètes. « J’ai demandé au président Macron qu’il nous aide à préserver nos terres ». « Il va convaincre les chefs d’Etat d’aider l’Amazonie avec les incendies et l’état critique de la forêt », a dit le chef du peuple kayapo, 89 ans, portant sa coiffe traditionnelle jaune.

Emmanuel Macron a lancé au G7 une « initiative pour l’Amazonie », en proie à nombreux incendies. Vingt millions de dollars vont être débloqués d’urgence pour envoyer des avions bombardiers d’eau, auxquels la France apportera un appui militaire avec ses forces en Guyane. Le G7 est aussi tombé d’accord pour un plan d’aide à la reforestation, au niveau de l’ONU, qui doit être finalisé à l’Assemblée générale des Nations unies fin septembre. « Les forêts et les terres du Brésil aident toute la planète à vivre », a souligné Raoni Metuktire, inlassable combattant pour le respect des droits des communautés indigènes. Selon cet adversaire déclaré du président brésilien Jair Bolsonaro, c’est ce dernier qui « incite les fermiers et les entreprises minières à mettre le feu à l’Amazonie ».

Vendredi dans un entretien à l’Agence France-Presse, Raoni avait demandé l’aide de la communauté internationale pour contribuer à « faire partir le plus vite possible » Bolsonaro. « C’est lui en vérité qui crée les problèmes, qui accentue ces destructions, ces incendies, l’exploration minière. C’est lui qui est en train de coloniser (l’Amazonie), et pas Macron ». Le président brésilien a accusé Emmanuel Macron de « colonialisme » au sujet de son idée de soutien international en faveur de l’Amazonie. Raoni doit participer le 7 septembre à Bordeaux à Climax, un rendez-vous alternatif « eco-mobilisation » dont le thème est l’Amazonie, plus grande forêt tropicale de la planète.

Si Macron pense tromper autre chose que ses électeurs bobos de Paris centre avec ce hibou illuminé, il se trompe.

Cet indien à plumes ne met son plateau dans la bouche que pour monter sur scène. Hors caméra, ce vieux sachem doit tourner au whisky et à deux paquets de cigarettes par jour tout en pelotant des prostituées offertes par telle ou telle multinationale.

Macron loue les services de cet acteur péruvien pour allumer un contrefeu médiatique censé justifier son revirement sur la question de l’accord de libre-échange entre l’UE et le Mercosur.

En Europe, personne n’est dupe de son double jeu. Même l’Espagne socialiste est scandalisée par cette nouvelle imposture médiatique du poudré.

En fait, il est probable que cette opération d’intoxication soit dénoncée par les écolo-gauchistes français.

Comme si cela ne suffisait pas, Macron, humilié à propos de sa rombière, a demandé l’annexion de l’Amazonie.

France 24 :

Le président français s’est même interrogé sur l’opportunité de conférer un statut international à la forêt amazonienne, au cas où les dirigeants de la région prennent des décisions nuisibles pour la planète. Une allusion claire au président brésilien qui a accusé Emmanuel Macron de mentalité « colonialiste » pour réclamer une action internationale, dans une passe d’armes intense qui a inclus des attaques de Jair Bolsonaro à la Première dame française, Brigitte Macron.

Abolir unilatéralement la souveraineté du Brésil sur l’Amazonie qui représente la moitié du territoire brésilien. C’est comme si Bolsonaro proposait d’abolir la souveraineté française sur le sud de la France parce qu’il y aurait trop de mégots sur les plages de la Côte d’Azur.

J’avoue avoir sous-estimé le degré de folie de Macron.

Cette façon de procéder, de par son caractère mensonger et hypocrite, est typiquement celle d’un détraqué homosexuel. Les femmes n’agissent jamais frontalement, sachant parfaitement qu’elles perdront systématiquement une confrontation physique avec des hommes. C’est d’ailleurs ce qui motive 95% des accusations de viol ou de harcèlement sexuel.

Appliqué à la diplomatie, cela donne cette opération instiguée par Macron à propos de l’Amazonie qui serait en proie à un viol écologique collectif par Bolsonaro.

Pas étonnant que Jair se foute ouvertement de la rombière du cinglé de l’Élysée.

Et l’autre de geindre comme une petite pédale après s’être fait recadré.

En plus du drama sur sa momie, pour que Macron retourne sa veste aussi vite sur l’accord UE-Mercosur, il a dû être sérieusement menacé par la FNSEA et les grands barons de l’agro-alimentaire.

La perspective de violentes manifestations paysannes dans les rues seraient de nature à rallumer les troubles en France à la veille des élections municipales de 2020.

Si l’on y ajoute le fait qu’il n’arrive à rien sur aucun dossier parce que Macron croit que la social-démocratie sodomite des années 1990 est un projet d’avenir, on comprend qu’il fonde un plomb.

En bloquant l’accord UE-Mercosur à la dernière minute après l’avoir soutenu, Macron achève de faire de la France un état erratique et opportuniste qui maquille ses échecs en accusant les autres de ses erreurs.

C’est devenu l’esprit de la diplomatie française : foutre la merde chez les autres, raconter tout et n’importe quoi en se donnant en spectacle avant d’accuser tel ou tel d’être responsable. Je suppose que c’est l’influence culturelle de l’Afrique et du Levant qui joue à fond sur le Quai d’Orsay.

Il n’y a plus un pays qui compte avec lequel la France judéo-macroniste ne soit pas en conflit pour des raisons toutes plus absurdes les unes que les autres. Même à Hong Kong, il a fallu que Paris fourre son nez pour dicter sa conduite à la Chine et ses 1,3 milliard d’habitants.

C’est ce qui se passe quand vous croyez que la planète fonctionne selon les normes qui régissent le Marais et que quiconque s’oppose à vous doit être trainé devant un juge parisien mandaté par les youtres du 16ème arrondissement.

Le monde se met à vous haïr et vous maudire avant de vous écraser le moment venu.