Houria Bouteldja inquiète encore plus les juifs en posant la question de l’acculturation des petits Blancs par le système

La rédaction
Démocratie Participative
08 août 2022

 

Houria Bouteldja évolue positivement.

Comme nous, elle veut une alliance objective entre identitaires blancs antisémites et allogènes de banlieue antisémites.

Une alliance objective se distingue d’une alliance classique par le fait qu’elle n’implique aucune interaction entre les deux alliés qui ne sont alliés que par la convergence de facto contre un ennemi commun.

L’ennemi commun, c’est la bourgeoisie blanche sururbanisée dominée par les juifs et leur état, l’État post-français qui administre la France.

Le yid Enthoven nous en dit plus.

Quand Bouteldja dit, « identitaire, ok, mais elle est où la culture ? », elle vise juste. C’est tellement ridicule que des « identitaires » se sont mis à la remorque du juif Zemmour, séfarade élevé à Paris dont le discours est un délire de puissance bonapartiste sans aucune espèce de substance ethno-culturelle.

Les Français n’ont plus de culture. Ils le disent d’eux-mêmes. « Je viens de Charente, on a pas de culture là-bas », etc.. Forcément, ce qui a été totalement sarclé par la Révolution française par sa table rase culturelle, puis par l’exode rural, devait accoucher du Grand Remplacement, pour peu que les astres de la démographie, de la technologie et de l’égalitarisme s’alignent comme aujourd’hui.

Comment voulez-vous qu’un individu déraciné ait une identité propre quand il n’est plus qu’une prothèse interchangeable de l’appareil économique produit par l’État ? Il est un jour à Calais, le mois suivant à Perpignan. C’est un vagabond, qu’il le veuille ou pas.

Au début, il s’agissait de rendre la viande disponible pour les armées, ensuite pour le capital.

Le bilan de ce processus, c’est Verdun et la Seine-Saint-Denis.

Bouteldja pointe correctement du doigt le deal de l’acculturation-déracinement posé par le jacobinisme après 1789 à la paysannerie blanche : la création d’une identité d’instance (l’État), générique et inclusive, contre une identité de substance, organique (la communauté ethnique traditionnelle), exclusive et non échangeable.

La tentative de l’Allemagne de stopper cette marche à l’abîme a malheureusement échoué, ce qui a plongé le monde blanc dans la démocratie juive totale.

Il n’y a plus de culture populaire en France, à l’exception, et c’est logique, des marches  bretonnes, corses, basques, voire alsaciennes. Quand les adeptes de l’Une-et-Indivisible beuglent contre ces groupes ethniques en hurlant au « régionalisme », c’est parce qu’ils sentent que le deal passé jadis peut être remis en cause avec succès et que, s’il aboutit, ils finiront comme des dindons en ayant perdu à la fois l’identité d’instance, impériale et valorisante, et l’identité de substance, qu’ils ne peuvent recouvrir parce qu’ils sont irréversiblement acculturés.

Les gauchistes blancs qui croient à la religion de l’Égalité ressentent exactement le même malaise.

En outre, Bricmont est toujours aussi merdique.

La promotion du concept de Grande Bourgogne blanche vise justement à résoudre cette crise finale de la modernité dans l’espace français, cette crise ne pouvant plus être réglée dans le cadre de l’État français.

Nous avons affaire à un processus dialectique qui unit idéologie et biologie en un tout solide : l’état mulâtre hexagonal. Tant que cet état tiendra debout, il intensifiera cette mécanique de transformation de la société par l’immigration, c’est-à-dire la biologie. Brandir le tricolore n’est plus d’aucun secours face ce processus, bien au contraire.

Aujourd’hui, le discours multiracial jacobin hardcore qui se cristallise autour de la « laïcité » – l’anomie totale – est l’arme exclusive des juifs pour contenir cette montée en puissance du nationalisme communautaire. Les parasites juifs, toujours craintifs d’un réveil autochtone, se servent du stato-nationalisme républicain pour rester en haut de la chaîne alimentaire et justifier l’emploi de la violence étatique contre les groupes ethniques concurrents. Ils ont pour alliés toute la petite-bourgeoisie blanche qui redoute le retour de l’ordre autoritaire qui limiterait leur possibilité d’organiser la société autour de leur propre projet individuel.

La gay pride et les femmes qui lisent des trucs donc.

Dans un tel contexte, la violence grégaire des allogènes et l’islam sont un véritable atout pour détruire 1789 et en finir avec l’ère vagino-bobocratique juive.

Tout vaut mieux que l’empire négro-LGBT.

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