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Captain Harlock
Démocratie Participative
16 janvier 2020
La république française poursuit son offensive contre les nations blanches.
Mais la résistance est là.
La Croix :
L’arrière de l’équipe de France de handball Gnonsiane Niombla a déploré mercredi sur les réseaux sociaux avoir été insultée par un «public raciste» lors d’un match de championnat hongrois avec son club de Siofok.
«Jouer devant un public aussi raciste je n’avais jamais vécu cela, merci à vous, vous m’avez tellement donné de force! Éducation 0 comportement 0 cerveau 0. Allez, bonne continuation», a écrit Niombla, 29 ans, sur son compte Instagram après un déplacement à Debrecen où son équipe s’est imposée (39-30).
L’arrière gauche des Bleues, qui a quitté Metz pour la Hongrie l’été dernier, a expliqué sur le site du journal l’Equipe avoir entendu des «cris de singe» dès l’échauffement.
«J’ai eu le malheur d’être du mauvais côté quand je faisais mes longues passes. Quand je suis rentrée sur le terrain, cris de singe. J’ai fait une contre-attaque, pareil. Je ne comprends pas le hongrois mais il n’y avait pas une once de bienveillance», a expliqué la handballeuse.
Il n’y a aucune raison qu’un pays blanc fasse preuve de bienveillance à l’égard d’une sale négresse insolente à face de gorille.
En tout cas la France exporte ses supplétifs coloniaux jusqu’au coeur de l’Europe centrale.
Aucune surprise.
L’équipe de France de handball est déjà atrocement négrifiée.
Même l’équipe du Brésil est plus blanche.
Le ministère des Sports français devrait être classé organisation terroriste et ses nègres déportés à Guantanamo.
