Hong Kong : la Chine arrête les principaux agitateurs de la révolution de couleur stipendiés par la CIA

Captain Harlock
Démocratie Participative
30 août 2019

 

Le gouvernement chinois a finalement décidé d’écraser la révolution de couleur soutenue par la CIA à Hong Kong après trois mois d’agitation.

Les principaux leaders du mouvement ont été arrêtés tôt ce matin.

PAUSE : Notre secrétaire général @joshuawongcf a été arrêté ce matin vers 7h30, alors qu’il se rendait à pied à la station MTR de South Horizons. Il a été poussé de force dans une fourgonnette privée dans la rue en plein jour. Nos avocats suivent l’affaire maintenant.

MISE À JOUR DE LA SITUATION : Notre membre @chowtingagnes a également été arrêté ce matin. Elle est envoyée au quartier général de la police de Wan Chai, où @joshuawongcf est actuellement détenu.

L’arrestation de ces deux principaux cadres du mouvement ne peut qu’entraîner une escalade de violence de la part des révolutionnaires soutenus par les États-Unis. Pékin ne pouvait pas l’ignorer et a donc agi en toute connaissance de cause.

Les Chinois vont très probablement attendre que des troubles surviennent ce week-end pour finalement envoyer la police militaire chinoise occuper les rues de Hong Kong, interdire toute manifestation et procéder à l’arrestation ciblée des têtes du mouvement.

Il s’agit aussi de saisir tous les documents possible sur place pour démanteler les cellules d’agitation conseillées par la CIA ou le MI6.

La presse juive globale va parler d’un « nouveau Tian’anmen » mais en réalité, il est peu probable que le sang coule car le gouvernement chinois aura donné des consignes extrêmement strictes à l’armée pour que rien de tel n’arrive.

Hong Kong est une partie intégrante du territoire national chinois, pour inspirer la confiance en Asie, la Chine ne doit pas avoir l’air menaçante ou violente. Si elle tuait au coin de ses rues, les pays asiatiques ne manqueraient pas de se dire qu’elle ferait encore moins cas du sang de ses voisins.

Cela ne pourrait aboutir qu’à pousser ces nations asiatiques dans les bras de Washington.

Grosso modo, cette opération ne sera pas très différente de l’intervention de la police espagnole en Catalogne.

Les leaders du mouvement indépendantiste catalan, encore réélus lors des élections européennes, sont toujours en prison en Espagne. Personne à Bruxelles, Washington, Paris ou Londres n’y voient de problème.

D’ailleurs, aucun gouvernement occidental n’a exigé de Macron qu’il s’explique pour avoir violemment réprimé le mouvement des Gilets Jaunes au prix de milliers de blessés dont un certain nombre gravement.