Homosexuels et tueurs en série : la face sombre du lobby Pédo-LGBT (Hervé Ryssen)

Le Blog de Hervé Ryssen
Démocratie Participative
24 juin 2019

Bon nombre de tueurs en série sont des homosexuels. C’est ce que l’on peut constater à la lecture du livre de Stéphane Bourgoin “Le Livre noir des serial killers” (2004). Pourtant, il n’y a aucune information disponible sur internet à ce sujet. Si vous tapez “homosexualité et criminalité” sur un moteur de recherche, de toutes les manières possibles, vous tombez sur des articles de presse relatant des affaires dans lesquelles des homosexuels ont été victimes d’agression, ou bien sur des listes de pays criminalisant l’homosexualité. Ce n’est qu’en lisant les biographies de certains grands criminels que l’on voit que beaucoup (pas tous !), étaient homosexuels et pédophiles.

Le 20 juin 2019, j’ai publié une vidéo de 18 minutes intitulée “Homosexuels, pédophiles et tueurs en série. La face sombre du lobby LGBTQPed” (lesbian, gay, bisexuel, transsexuel, queer, pédophile). Après quelques dizaines d’heures de recherche sur internet, la liste des tueurs en série homosexuels s’est maintenant considérablement allongée.

Bien évidemment, l’homosexualité d’un individu n’implique pas nécessairement une dérive criminelle de ce genre, mais l’on est bien obligé de constater qu’il y a proportionnellement beaucoup plus de criminels chez les homosexuels que chez les gens “normaux”. Nous ne disposons toutefois d’aucune statistiques sur le sujet.

L’absence du père durant l’enfance du futur tueur semble être le facteur déterminant, puisque l’on retrouve cette information dans toutes les biographies des criminels. Il s’agit tantôt d’un père qui a quitté le foyer familial, tantôt d’un père alcoolique et violent qui purge régulièrement des peines de prison. Dans les deux cas, le père est absent.

À l’heure où le gouvernement entend faire voter une loi légalisant la “Procréation médicalement assistée” (PMA) pour les couples de femmes homosexuelles, il nous semble important de prévenir les dégâts psychologique d’une d’une éducation sans figure paternelle.

Je dédie ce recensement à Frédéric Potier, président de la Dilcrah (Délégation interministérielle à la “lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT”), militant homosexuel infatigable.

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Dans la vidéo, nous avons en premier lieu présenté Luka Magnotta (né Eric Clinton Newman), parce qu’en publiant la biographie de ce dangereux taré sur Twitter, il y a quelques mois, nous avions immédiatement été assaillis de messages insultants de la part d’activistes homosexuels, qui ne supportent manifestement aucune critique – exactement comme le font les activistes du lobby juif, qui portent plainte à tout-va (en psychiatrie, on appelle cela la “quérulence”. Ce sont des “plaignants quérulents”).

Le 25 mai 2012, Luka Magnotta a mis en ligne une vidéo de près de 11 minutes, dans laquelle, paraît-il, on le voit s’affairer sur le cadavre d’un jeune homosexuel chinois qu’il a ramené chez lui, ligoté et tué. Le cadavre de la victime est mutilé : Magnotta coupe une fesse avec un couteau et une fourchette. Puis, le corps est démembré et violé.

Quelques années auparavant, Magnotta avait déjà publié, paraît-il, une vidéo dans laquelle on le voit en train de torturer des chatons, ce qui lui valut d’être poursuivi en justice. À partir de 2003, Luka Rocco Magnotta avait travaillé occasionnellement en tant que stripteaseur et mannequin, mais gagnait surtout sa vie comme escort boy. C’est donc un vrai homosexuel. Père absent alcoolique et schizophrène et mère dominatrice.

Albert deSalvo, l’étrangleur de Boston.

350 viols de femmes, 13 meurtres.

Lui aussi a un père alcoolique et violent, avec sa femme et ses enfants. Il est souvent en prison.

« Je n’avais que seize ans, et je ne pensais qu’à tirer un coup avec la première femme venue ou des pédés. » (page 84 du livre de Stéphane Bourgoin).

« Frank ramène des prostituées à la maison et veut que ses enfants les regardent faire ; le sexe est omniprésent dans leur petit appartement. Albert a ses premières relations sexuelles à l’âge de 8 ans, avec des filles et des femmes, mais aussi des homosexuels qui le paient. » (Wikipedia). A 24 ans, Le 3 janvier 1955, Albert DeSalvo est accusé « d’abus charnel sur enfant ». Homosexuel à tendance “pédolagne”, donc (du grec “lagneia”, le désir). Ce terme nous paraît plus approprié que “pédophile” (qui aime les enfants).

Arthur John Shawcross, le monstre de Rochester

14 meurtres. Intelligence en dessous de la moyenne.

Sa mère pense que son mari « n’est pas assez autoritaire avec Arthur. » (page 214 du livre de Stéphane Bourgoin).

Aventure homosexuelle à 14 ans.

Relations sexuelles avec des animaux (moutons, poules, cheval, chiens).

Éprouve un plaisir sexuel en allumant des incendies.

En mai 1972, à 27 ans, Shawcross viole et assassine un jeune garçon de dix ans. Quatre mois plus tard, il viole et tue Karen Ann Hill, une jeune fille de 8 ans.

En 1988 et 1989, il tue douze femmes, de 20 à 59 ans.

Jeffrey Dahmer, le cannibale de Milwaukee

17 meurtres d’hommes.

Père chimiste, procédurier qui se dispute violemment avec son épouse.

Expérience homosexuelle adolescent (page 295 du livre de Stéphane Bourgoin).

Homosexuel affirmé (page 287). Fréquente les saunas gays de Milwaukee (page 303).

Ces meurtres comportent des viols, des démembrements, de la nécrophilie et du cannibalisme.

Jeffrey Dahmer commet son premier meurtre en 1978, à l’âge de 18 ans.

En 1988, a drogué et sexuellement abusé un mineur de 13 ans.

Il coupe les têtes de ses victimes, les fait bouillir, les nettoie et les peint en gris, puis les range dans une armoire. La police découvrira des têtes et des morceaux humains dans son réfrigérateur, un cœur dans son congélateur, des squelettes dans son placard ainsi que trois torses masculins dans un tonneau rongés par l’acide chlorhydrique et des crânes dans la cuisine.

John Wayne Gacy, le clown tueur

33 meurtres de jeunes hommes.

Bisexuel et pédolagne.

Il quitte le lycée à 17 ans et part pour Las Vegas où il devient concierge dans un salon funéraire, y découvrant sa fascination pour les cadavres. Il en est congédié pour acte de nécrophilie.

Son épouse ayant découvert des magazines d’hommes nus, Gacy lui révèle sa bisexualité. Elle est de plus en plus perplexe lorsqu’elle met au jour des vêtements d’adolescents dans leur maison, si bien qu’elle demande et obtient le divorce en mars 1976.

Dennis Nilsen, l’étrangleur à la cravate

16 meurtres d’hommes.

Il a trois ans quand ses parents divorcent, en 1948. Dennis étant dès lors élevé chez ses grands-parents maternels.

Il est homosexuel, nécrophile.

Tue 16 homosexuels.

Il les étrangle, conserve le corps dans son lit, symbole pour lui d’un amant qui lui resterait fidèle. Passé un certain temps, Nilsen se débarrasse du corps.

En 2001, Nilsen poursuit sa prison en justice pour discrimination sexuelle : les vidéos et revues gays lui sont interdites alors que les prisonniers hétérosexuels ont accès à des films et magazines spécialisés.

Larry Eyler

Une vingtaine de meurtres de jeunes hommes ou adolescents entre 1982 et 1984.

Il fréquente la communauté gay d’Indianapolis, aux USA.

Randy Kraft, l’étrangleur du sud de la Californie

16 meurtres durant les années 1970 et au début des années 1980.

A 20 ans, il commença à travailler comme barman dans un bar gay local

En 1969, Kraft avoua à sa famille qu’il était homosexuel.

Les victimes sont des jeunes hommes et des adolescents dont la plupart ont été sauvagement torturés et abusés sexuellement. Quelques-uns ont été brûlés avec un briquet, et plusieurs ont de forts taux d’alcool et de tranquillisant dans le sang, indiquant qu’ils ont été drogués avant d’être sadiquement abusés et tués.

Les méthodes de meurtres varient, certains sont étranglés, d’autres tués d’une balle dans la tête et d’autres encore torturés à mort après avoir été drogués. Ses victimes sont de jeunes soldats se rendant à leur base ou en revenant. D’autres sont des adolescents qui se sont enfui, des auto-stoppeurs, ou des clients des bars gays que fréquente Kraft.

66 victimes. Condamné pour 16 meurtres, suspecté pour 51.

Henry Lee Lucas et Ottis Toole

Entre 160-200 meurtres.

Père cheminot, alcoolique, amputé des deux jambes suite à un accident de train.

Mère moitié indienne, prostituée, sale et violente, qui humilie son mari devant ses enfants, et qui a parfois des rapports sexuels avec ses clients devant eux.

Henry Lucas déteste les femmes. Rapport homosexuels avec un jeune noir (page 396-397 du livre de Stéphane Bourgoin).

Il viole une fillette de neuf ans (page 410).

En 1979, il rencontre Ottis Toole en Floride.

Son père a quitté le domicile après sa naissance.

Sa grand-mère est sataniste.

Il ressent de l’excitation sexuelle en provoquant des incendies.

C’est un homosexuel affirmé. Vols, cambriolages.

Il se travestit régulièrement en femme, ce qui lui vaut un certain succès dans les bars gays de Jacksonville, en Floride.

Henry Lucas et Ottis Toole kidnappent des enfants, les revendent au Mexique ou les tuent. Ils sont aussi cannibales. Des dizaines d’auto-stoppeurs sont tués, violés, mutilés et cuits au barbecue. Henry Lucas viole systématiquement les cadavres de femmes, alors qu’Ottis Toole plutôt les hommes. Les victimes sont ensuite mangées, surtout les fesses et les côtes.

William Bonin

Entre 21 et 36 meurtres : des ados qui font de l’auto-stop sur l’autoroute

Ses parents sont alcooliques, et son père est un joueur compulsif. En 1953, William Bonin est placé dans un orphelinat.

En 1969, il est condamné pour abus sexuels sur un mineur. En 1974, il tente de violer un adolescent de quatorze ans, il est condamné à quinze ans de prison et avant d’être libéré en 1978. Commence alors sa période meurtrière.

Dean Corll, dit Candy Man

Au moins 27 meurtres de garçons dans la région de Houston, au Texas, au début des années 1970. Père électricien. Sa mère est très protectrice mais son père, homme alcoolique, le bat fréquemment. Il découvre son homosexualité à l’armée.

Ses victimes sont âgés de treize à vingt ans. Il les viole, les torture et les tue par strangulation ou avec un pistolet.

Stephen John Port

Homosexuel. Il rencontre ses victimes via les réseaux sociaux homosexuels en ligne.

Quatre victimes en 2014-2015, à Londres.

Donald Harvey.

Entre 57 et 80 victimes.

Dès l’âge de trois ans et demi, Donald Harvey subit régulièrement des abus sexuels, notamment de la part de son oncle de 9 ans son aîné (le demi-frère de sa mère), mais aussi d’un voisin plus âgé qui lui donnait de l’argent en échange de relations sexuelles. En prison, il a admis avoir des sentiments ambigus à l’égard de son oncle qui l’a violé jusqu’à ses vingt ans. À l’âge de douze ans, Donald Harvey n’a plus voulu que son oncle soit le seul à “s’amuser” durant les viols et décida de prendre du plaisir lui aussi.

Donald Harvey a commis ses meurtres en empoisonnant ou en étouffant ses victimes, toutes des patients des hôpitaux dans lesquels il officiait entre 1970 et 1987.

Albert Fish

Homosexuel. Quatre meurtres de jeunes garçons.

Son père meurt d’une attaque cardiaque en 1875. Albert a alors 5 ans.

Sa mère le place en orphelinat où il est fréquemment puni, fouetté, battu et où, selon ses dires, il découvre le plaisir de la souffrance physique.

« J’ai toujours eu envie d’infliger de la douleur aux autres, et que les autres me fassent aussi souffrir. Toute ma vie, j’ai adoré tout ce qui faisait mal ».

En 1882, Fish fait la connaissance d’un jeune télégraphiste qui attise sa curiosité en lui racontant ses aventures sexuelles dans les maisons closes. Ils entretiennent une relation sexuelle et son amant l’initie à des pratiques sexuelles telles que l’ondinisme ou la coprophagie.

A 20 ans, en 1890, Albert Fish part s’installer à New York, où il dit être devenu prostitué. Il passe ses week-ends à la piscine ou aux bains publics pour regarder les jeunes garçons. C’est à cette époque qu’il a commencé à violer de jeunes garçons, alors qu’il est marié, avec six enfants.

Slim Fezzani.

Il est fortement soupçonné d’être le responsable de la disparition d’une vingtaine d’homosexuels dans l’Est de la France, entre 1980 et 2002.

C’est un homosexuel d’origine tunisienne. Il est condamné en 1999 à vingt ans de réclusion criminelle pour le meurtre d’un agent d’assurances en 1995 à Riedisheim, dans la périphérie de Mulhouse.

Jean-Thierry Mathurin et Thierry Paulin.

Homosexuel. Neuf meurtres de vielles dames.

Il est né dans une famille très modeste de la Guyane française. Analphabète.

Jean-Thierry Mathurin devient toxicomane. A 19 ans, il travaille comme serveur à Paris au Paradis latin. C’est là qu’il rencontre Thierry Paulin, un martiniquais. le Paradis latin est un cabaret parisien renommé pour ses spectacles de travestis. Paulin commence ensuite une carrière d’artiste au Rocambole, boîte de nuit de Villecresnes, dans le Val-de-Marne, s’habillant en drag queen.

Thierry Paulin,

Surnommé le « tueur de vieilles dames » et le « monstre de Montmartre », il avoue en 1987 les meurtres de vingt-et-une personnes commis par étranglement ou étouffement tandis que la justice lui en a attribué dix-huit.

Il devient l’amant de Jean-Thierry Mathurin et emménagent ensemble. Ils sont tous les deux toxicomanes. Pour faire face à leur besoin d’argent, très supérieur à leurs revenus, ils ont l’idée de voler des proies faciles : les femmes seules et âgées. En octobre-novembre 1984, Jean-Thierry Mathurin et Thierry Paulin commettent ainsi une série de meurtres.

Fin novembre 1984, ils décident de quitter Paris et partent chez le père de Thierry Paulin à Toulouse. Celui-ci ne supporte pas l’homosexualité de son fils et encore moins que son amant vive chez lui. Jean-Thierry Mathurin quitte donc Thierry Paulin et retourne à Paris.

Son père a quitté le foyer familial deux jours après sa naissance, laissant la mère se débrouiller avec le bébé. Paulin est par sa grand-mère paternelle.

Thierry Paulin meurt du SIDA à l’infirmerie de la prison le 16 avril 1989.

Yoni Palmier, le tueur de l’Essonne.

Il a été condamné le 16 avril 2015 à la peine la plus lourde du code pénal français pour une série de quatre assassinats (deux femmes et deux hommes) commis de novembre 2011 à avril 2012. Ses amis décrivent un personnage sombre et violent. Sa seule ex-maîtresse, Valérie, parle d’actes sexuels violents qui la faisaient saigner. Elle l’a quitté notamment car elle soupçonnait son homosexualité. Il n’aura ensuite plus qu’une relation homosexuelle avec un voisin.

Sid Ahmed Rezala, le tueur des trains.

Meurtre de trois jeunes femmes blanches entre octobre et décembre 1999. Réfugié au Portugal, il se suicide avant son extradition et son procès.

Arrivé au Portugal le 27 décembre 1999, en clandestin, à la gare Santa Apolonia de Lisbonne, il se fait passer pour un certain “Aki”, un algérien sans papiers de 22 ans. Il a une liaison avec un certain Armando, un homosexuel de 42 ans.

D’origine algérienne. Enfance difficile : fugues, consommation de drogue et d’alcools forts, vols de voiture et vols à la roulotte, dégradations, actes de violence et de délinquance divers et son premier viol en février 1995, alors qu’il n’a pas encore seize ans.

Dans l’un des sous-sols de la gare Saint-Charles de Marseille où il a l’habitude de traîner, il viole un adolescent de treize ans et demi, le menaçant d’un couteau : le 7 décembre 1995, il est condamné par le tribunal pour enfants de Marseille à quatre années de prison dont dix-huit mois ferme et trente mois de mise à l’épreuve.

En détention provisoire pour cette agression depuis mai 1998, toujours à la prison de Luynes, des codétenus se seraient plaints d’abus sexuels commis par Rezala mais ces affaires seront classées sans suite, faute de preuves. Les surveillants l’ont classé « sujet à risque » : « Il était très agressif envers le personnel, n’acceptait aucune remontrance, il était dangereux, imprévisible, toujours à fleur de peau.

Commencent alors ses errances dans les trains de toute la France (il est d’ailleurs verbalisé quarante-deux fois pour ne pas avoir acheté de billet de transport), vivant d’expédients, de vols à l’arraché, de deal et de la prostitution.

Il raconte également son viol subi à l’âge de 9 ans en Algérie : « Je me suis fait violer à l’âge de 9 ans par des jeunes du quartier, ils sont tous passé sur moi, ils étaient sept ou huit, ils avaient entre 20 et 30 ans. En Algérie, quand ça t’arrive, tu ne peux en parler à personne. Si tu portes plainte, c’est la honte. Mais ça se passe plus souvent qu’on croit dans les quartiers. »

Rémy Roy, le tueur du minitel

Homosexuel refoulé. Trois meurtres

Il entre en contact et prend rendez-vous avec ses victimes par l’intermédiaire du minitel rose homosexuel pour les tuer après une mise en scène sadomasochiste sans qu’il y ait eu de rapport sexuel.

Joseph Vacher, le tueur de bergers.

Une trentaine de meurtres.

Homosexuel et pédolagne. Guillotiné à Bourg-en-Bresse le 31 décembre 1898.

Sergent réformé devenu vagabond.

Il a égorgé au moins vingt femmes et adolescents, puis les a mutilés et violés.

À seize ans, il entre comme postulant chez les Frères maristes de Saint-Genis-Laval. Il en est exclu à dix-huit ans pour immoralité, se voyant notamment reprocher de se livrer à des attouchements sur ses condisciples.

Enfant sournois et cruel, il aime torturer les animaux.

« Vacher [le tueur] recherche et guette des jeunes filles ou des jeunes garçons isolés ; tels les bergers et les bergères […] : l’objet de ses désirs étant trouvé dans les conditions voulues, la victime est marquée du sceau du meurtrier, il se jette à sa gorge, qu’il serre d’abord par strangulation, et qu’il sectionne ensuite rapidement avec le couteau ou plutôt le rasoir qu’il porte toujours sur lui ; une fois et instantanément abattue, il lui fait subir des mutilations diverses : éventration, section des seins (si c’est une femme), section des testicules (si c’est un homme), puis, au comble de l’excitation et du paroxysme, il frappe de nouveau et au hasard le cadavre déjà mutilé… et consomme le forfait par le viol, d’habitude inversif… »

On l’a suspecté, au total, d’au moins 31 viols – souvent post mortem – et meurtres, des homicides pour la plupart marqués par une extrême violence. Il semblait avoir une prédilection pour les jeunes gens de treize, quatorze ans.

Carl Panzram

Après une série d’emprisonnements et d’évasions, il est exécuté en 1930 pour le meurtre d’un employé de la prison du pénitencier fédéral de Leavenworth.

Avant son exécution, il a déclaré : “Au cours de ma vie, j’ai assassiné 21 êtres humains, j’ai commis des milliers de cambriolages, de vols, de larcin, d’incendies criminels et, enfin, j’ai commis la sodomie sur plus de 1 000 hommes. Pour toutes ces choses, je ne suis pas du tout désolé.”

Panzram est pendu le 5 septembre 1930. Il crache au visage du bourreau quand celui-ci tente de lui mettre une cagoule noire sur la tête.

Igor Alexandrovich Mirenkov

Ce biélorusse a tué six garçons âgés de 9 à 14 ans entre 1990 et 1993.

Homosexuel, son premier meurtre est commis sur un garçon de 13 ans, qu’il a attaché dans les bois et violé, avant de le tuer.

Armin Meiwes

Homosexuel. Un seul meurtre, en 2001, mais très réussi.

Son père abandonne le foyer familial quand Armin a huit ans.

Il reste seul avec une mère autoritaire dans l’immense manoir familial de 50 pièces.

Il découvre petit à petit son homosexualité et ses fantasmes sadomasochistes. Il passe de longues heures sur son ordinateur, et l’arrivée d’Internet lui permet de découvrir de nombreux sites de rencontres homosexuelles ainsi que des sites sur le sadomasochisme, le cannibalisme et la torture.

À la mort de sa mère en 1999, il hérite du manoir et le réaménage selon ses fantasmes. Il y crée notamment au deuxième étage une véritable salle de torture, recouverte de carrelage et équipée d’un système de poulies et crochets ainsi que d’une table de dissection d’animaux.

Depuis 1999, Armin Meiwes publie plusieurs annonces sur Internet, faisant part de son désir de trouver un homme voulant être mangé. En 2001, il entre en contact, sur le site The Cannibal Café un ingénieur berlinois de 42 ans qui répond présent. La rencontre entre les deux hommes a lieu au domicile d’Armin Meiwes à Rotenburg dans la nuit du 9 au 10 mars 2001. Après avoir eu des rapports sexuels, ils décident d’un commun accord de sectionner le pénis de Bernd Jürgen Armando Brandes. Ils le cuisinent et le mangent ensemble. Une fois le repas terminé, toujours avec l’accord de son hôte, Armin Meiwes le tue de plusieurs coups de couteau à la gorge. Dans sa cave, il l’étripe et découpe plusieurs morceaux de chair, dont il gardera certains au congélateur pour les manger plus tard. Sur ce point, il déclare : « Je l’ai pendu par les pieds, éviscéré. J’ai découpé quelque 30 kilos de viande, les meilleurs morceaux ont été conservés dans mon congélateur ».

Marc Dutroux

Dans sa jeunesse, le célèbre pédolagne belge Marc Dutroux avait entretenu des relations avec un homme plus âgé.

Dans les procès-verbaux d’audition des gens qui ont connu Marc Dutroux jeune, les déclarations sont formelles. Marc Dutroux aurait fait, à l’âge de 15 ans, la rencontre d’un certain Michel. Celui-ci lui aurait «offert son aide» mais Dutroux l’a, à l’époque, ignoré.

A l’âge de seize ans et demi, lorsqu’il décide de quitter le domicile familial, c’est vers cet homme que Dutroux va se tourner. Et après avoir été hébergé dans un café tenu par un de ses amis, c’est naturellement chez ce Michel qu’il va aller vivre d’avril à août 1974. Après ces 5 mois, Dutroux va s’installer seul mais Michel le poursuivra de ses assiduités. Il indiquera même aux enquêteurs que les relations homosexuelles se sont poursuivies «moyennant rétribution de Marc Dutroux». Mais ce n’est pas tout puisque ce même Michel a indiqué que deux autres hommes poursuivaient Dutroux de leurs ardeurs. Et Michel de préciser que Dutroux aurait consenti à accorder ses faveurs uniquement pour l’argent qui lui était versé. Voilà des informations qui éclairent d’un jour nouveau la personnalité de Dutroux. D’autant que juste après cet épisode homosexuel, Marc Dutroux s’est marié une première fois à l’âge de 18 ans. Depuis, la fidélité conjugale n’étant pas la première de ses valeurs, il a toujours manifesté une sexualité débridée qui s’est notamment manifestée comme on le sait. (Wikipedia).

Ronald Dominique

Homosexuel. 23 meurtres avoués, de 1997 à 2006.

Il fréquente les bars gays de la Nouvelle-Orléans. Il a également tué des hommes hétérosexuels.

Patrick Kearney, »le tueur au sac poubelle »

Il incarcéré pour 21 homicides avérés (28 avoués), actes de nécrophilie et de cannibalisme dans les années 70. Il dispose d’un QI de 180 et parle sept langues couramment. C’est un ancien ingénieur en informatique. Il semait les restes de ses victimes contenus dans des sacs poubelles le long des autoroutes Californienne. Ses victimes de prédilection étaient des auto-stoppeurs de sexe mâle, de préférence jeunes et bien bâtis : fugueurs, hippies, marginaux, etc… Après avoir copulé avec les cadavres de ses victimes, Kearney mutilait et déchiquetait les restes avec une scie à métaux avant de les jeter dans divers endroits tels que des canyons , des décharges et le long des autoroutes, généralement dans des sacs à ordures industriels. Il tua de 1968 à 1977, année où il fut finalement arrêté après s’être dénoncé lui-même.

Patrick Kearney est un homme discret et son histoire fut peu médiatisée à l’époque. En ce temps-là, son affaire fut éclipsée par les médias qui ne parlaient que de Ted Bundy et de John Wayne Gacy.

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Notez que chez les tueurs en série qui ne sont pas homosexuels, on retrouve toujours cette constance d’une absence de père, ou d’un père alcoolique et violent.

Peter Kürten, le vampire de Düsseldorf.

Père alcoolique et violent. Neuf assassinats.

Alexandre Iourievitch Pitchouchkine

Il a tué entre 61 et 63 personnes (condamné pour le meurtre de 48 personnes et trois tentatives d’assassinat). Son père Youri quitte le domicile conjugal alors que l’enfant n’a que neuf mois. Il est élevé par sa mère seule qui déménage à Moscou.

Ted Bundy, sans doute le plus connu des serial killers.

Il a décapité au moins douze de ses victimes et gardé quelques-unes des têtes tranchées dans son appartement. L’identité de son père n’a jamais été déterminée avec certitude. Enfant illégitime, élevé par les grands-parents. La famille, les amis, et même le jeune Ted se sont fait dire que ses grands-parents étaient ses parents et que sa mère était sa sœur aînée.

Edmund Kemper, l’Ogre de Santa Cruz.

Très connu lui aussi. C’est un géant mesurant deux mètres dix.

Sa mère rabaissait son père, qui a finalement quitté le domicile.

Il est frappé, battu par sa mère le frappe.

Il tue des auto-stoppeuse, les découpe, les mange

Il commence sa carrière en tuant ses grands-parents, et la termine en tuant sa mère.

Gary Ridgway, le tueur de la Green River

C’est sa mère qui commande à la maison. Elle hurle contre son époux

Il tue 71 prostituées. C’est un nécrophile.

Il opère à Seattle, sur la côte Ouest des Etats-Unis.

Gerard Schaefer

Son père est un homme autoritaire et alcoolique.

La fouille à son domicile permet également de retrouver chez lui des papiers d’identité ayant appartenu à une trentaine de filles qui ont disparu en faisant de l’auto-stop, en 1973. Il les emmenait dans un bois, les ligotait avec des cordes et les pendait à des branches d’arbre de façon que leurs orteils touchent à peine le sol pour qu’elles puissent après quelques heures se pendre elles-mêmes, mais Schaefer les détachait juste à temps avant qu’elles aient péri. Il les obligeait à boire de l’alcool pour par la suite les photographier pendant qu’elles urinaient et déféquaient. Ensuite, il les pendait à nouveau et terminait par la strangulation. Pour finir, il violait les corps, les démembrait et se masturbait au-dessus des restes.

Denis Waxin

Entre 1985 et 1999, à Lille et dans sa banlieue, il a violé et tué trois fillettes et violé deux garçons et une autre fillette. En novembre 2003, il est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté de 29 ans.

Durant son enfance, il ne voit jamais ses parents se parler. Sa mère Marie-Jeanne est travailleuse et distante. Son père est sévère, intéressé uniquement par le tiercé et les jeux de hasard, il ne lui parle jamais. Ses parents le laissent dans le silence et l’isolement, sans tendresse, ni affection.

Michel Fourniret

Aux psychiatres qui l’interrogent sur sa mère, fille de paysan décrite comme caractérielle, Michel Fourniret recommande les lectures de Jules Renard et Hervé Bazin : dans Poil de carotte, le petit François, victime de la haine et des humiliations maternelles, prend plaisir à massacrer de petits animaux ; dans Vipère au poing, Jean, maltraité par sa mère tyrannique, trouve les femmes dégoûtantes.

Son père travaille comme ouvrier métallurgiste à Sedan. Il est décrit comme alcoolique et absent. Il divorcera de sa femme à la santé mentale défaillante et obtiendra la garde de ses trois enfants.

David Edward Maust

Quatre meurtres.

Son père a divorcé et a quitté sa mère quand Maust avait 7 ans. Sa mère était atteinte de maladie mentale.

Son frère se souvint que Maust avait battu un écureuil avec une batte de baseball « pour le plaisir ».

Émile Louis

Meurtres de 8 femmes. Les disparues de l’Yonne

Il est abandonné par sa mère dans les premiers jours de sa vie. Il est pris en charge par l’assistance publique, puis adopté par une famille d’accueil. Son père adoptif est artisan maçon et fossoyeur et sa mère adoptive est autoritaire et froide. Mais ce n’est qu’à 14 ans qu’il apprend que ses parents nourriciers ne sont pas ses vrais parents. Adolescent, il séjourne dans un centre de délinquance en Saône-et-Loire où il est violé.

Le 12 octobre 2005, la fille aînée d’Émile Louis, Marilyne Vinet, entendue comme témoin au procès de Draguignan, déclare avoir été violée par son père alors qu’elle avait 5 ans puis 19 ans. Elle affirme également avoir assisté à l’âge de 10 ans environ au meurtre d’une jeune fille éventrée par son père dans un bois à Saint-Florentin (à 30 km au nord-est d’Auxerre).

Claude Lastennet

Tueur de 5 vieilles dames

Né de père inconnu dans la presqu’île de Crozon.

Sa mère se remarie avec un homme de dix ans son cadet. Il entretient alors de très mauvais rapports avec son beau-père « alcoolique violent » qui l’humilie, l’insulte et le frappe, et quitte à 13 ans le domicile familial.

Patrice Alègre

Son père est souvent absent et très violent.

Sa mère, coiffeuse, multiplie les aventures dont Patrice est parfois le témoin.

Ses parents sont en conflit perpétuel, Patrice déteste son père mais adore et idéalise sa mère, qui est parfois battue.

Ce faisceau d’informations, nous semble-t-il, plaide en faveur de la présence d’un père dans le foyer familial.

Hervé Ryssen.

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