Hijab Décathlon : la presse macroniste lynche un Français pour avoir traité d’islamiste l’islamiste pro-hijab Belattar

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 mars 2019

 

Vous appréciez chaque jour un peu plus la vibrante dystopie dans laquelle vous vivez et les juifs s’assurent que rien, durant votre voyage, ne le rende ennuyeux.

Suite à l’histoire du hijab retiré des ventes par Décathlon, la contre-offensive diversitaire n’a pas tardé. Le cadre d’une entreprise de cosmétique a fait savoir à Belattar, le bougnoule de service de Macron, que son activisme pro voile islamique n’était pas de son goût.

Mais désormais au Frankistan, manifester son scepticisme vis-à-vis de l’enrichissement islamiste est « haineux ».

Et comme l’évolution du langage en RDA judéo-islamique évolue très vite, dire du mal des islamistes est assimilé à du « racisme ».

Avec les conséquences afférentes.

Je pense que l’on peut dire, sans polémiquer, que Belattar est un islamiste.

Je dis ça parce que jusqu’à présent, quelqu’un qui organisait des actions politiques en faveur du voile pour les maghrébines était considéré comme un islamiste.

On ne les classait pas dans la catégorie Chasse Nature Pêche et Traditions.

Or, Belattar semble s’engager pour la charia vestimentaire pour ses soeurs de race.

Comme avec les youpins, vous devez voir l’arabe vous imposer son souk coranique MAIS vous ne devez pas dire que vous le voyez imposer son souk coranique.

Ce que l’on appelle, communément, la soumission.

Les sémites prennent un plaisir sadique à voir leur victime souffrir. Pour vraiment prendre leur pied, il est crucial pour eux que la victime blanche torturée face mine d’accepter la souffrance qui lui est infligée, de la trouver normale, morale et légitime de peur que le châtiment ne devienne plus douloureux encore.

Voir leur victime se soumettre sous l’effet de la terreur tout en louant les qualités morales du sémite est le fonctionnement primordial d’une cervelle orientale.

Vous pouvez voir qu’il y a des traits psychologiques très proches entre les sémites de la synagogue et ceux de la mosquée.

Vous avez remarqué que ce mot « haine » devient incontournable dans un pays en voie de sémitisation avancée.

Que ce soit par le haut sous l’influence des juifs ou par le bas sous l’influence des musulmans.

« Oh Mohamed, regarde ce sale Blanc là-bas. Tu devrais aller le brancher plutôt que de rester devant mon palier. »

Les juifs sont, vraiment, nos meilleurs alliés contre l’islamisation.

 

Les sémites, eux, ne sont pas haineux.

Ils sont aussi doux et pacifiques que des vaches. Si la France n’était pas peuplée d’ordures blanches de votre genre, ce pays serait vivable. C’est en train de changer, c’est vrai, mais cela ne change jamais assez vite.

Au reste, pour parler du fond, piloter une France judéo-islamique est un exercice politique complexe. Après la semaine de la kippa la semaine dernière où la pornographie hébraïque a donné à fond, les mahométans étaient passablement frustrés.

Macron a tenu à rassurer ses crouilles en leur faisant un câlin médiatique, mandatant ses domestiques pour dire que la lutte contre les Blancs devait se faire non seulement au profit des juifs mais aussi des bougnoules.

C’est là que l’on a trouvé une victime expiatoire. Blanche, par obligation.

Mais du coup, c’est compliqué. Parce que l’avant-veille, le hijab c’était mal.

Cet épisode est un petit aperçu de ce qui attend les Français de souche dans leur pays occupé par Israël en haut et par le Hamas en bas.

Ils seront toujours, pour le pouvoir politique juif, la variable d’ajustement. Le goy que l’on jettera aux fauves mahométans pour les apaiser.

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