Héroïque : la police rennaise suspend ses missions pour héberger à l’hôtel de police une famille entière de nègres d’Afrique

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 août 2020

Rassurez-vous tous, la police française veille sur vous ! Elle lutte avec ardeur contre l’immigration clandest… ah non.

Cette pauvre administration est définitivement rongée par le trotskisme au point de se comporter comme une vulgaire annexe de Droit Au Logement.

Bien entendu, cela ne vaudra à ces flics jouant les Mère Theresa aucune espèce de gratitude de la part des sous-races qui les harcèlent quotidiennement sur tout le territoire français. Et encore moins de la part de l’extrême-gauche ou des médias juifs qui la décrivent 24 heures sur 24 comme le bras armé du régime de Vichy.

Surtout dans un trou aussi malfamé que Rennes.

Je soupçonne cette police d’évaluer la possibilité de livrer méthodiquement des Blancs en pâture aux millions de prédateurs allogènes qui rôdent dans les rues. L’abolition de la propriété privée, de facto sinon de jure, permettrait aux fonctionnaires du ministère de la Police de faire baisser la pression qui monte sur eux en donnant des os de Blancs à ronger à ces bêtes sauvages. Par exemple en organisant dans l’ombre des réquisitions de biens immobiliers avec le concours de factieux anarcho-communistes  pour y parquer des nègres, des maghrébins et des afghans en quantités énormes.

Cette politique d’apaisement des sauvages du tiers-monde de la part des flics se couple, de la part du pouvoir politique, à une campagne de passage de pommade qui a 100% de chances de réussite.

Le nain puant Darmanin, luisant d’huile comme rarement, en fait des tonnes. On peine à croire que Fouché ait occupé la même fonction.

Vous seriez surpris de voir à quel point ce genre d’exercices de communication suffit à endormir les flics.

La bourgeoisie urbaine n’aime la police que lorsqu’elle tient à bonne distance le prolétariat blanc de la France périphérique. On peut d’ailleurs mesurer l’angoisse de la bourgeoisie à ses discours à la gloire de la « police républicaine ». Par temps calme, elle revient à ses habitudes et l’insulte copieusement en l’accusant de maltraiter les Peaux Sombres que les bourgeois se donnent tant de mal à importer pour les placer à leur service. La police française occupe actuellement une place curieuse où, bien que garante du régime, elle est méprisée par les élites du régime.

Pour ma part, j’ai toujours été adepte d’une bonne police. Comme la prostitution, c’est un mal nécessaire avec lequel il faut composer. Mais, en France, une bonne police ne peut jamais voisiner très longtemps avec la démocratie. L’une et l’autre se chassent mutuellement.

En tout cas, ce n’est pas cette police purgée et repurgée par les rouges, les juifs, les pédés et les métèques qui aura la sève nécessaire pour contrôler quoi que ce soit une fois le chaos social généralisé. Ces gens ont en tout cas pris la température et faire du zèle pour aider la classe moyenne blanche qui la salarie via l’impôt n’est pas au programme. Puisqu’il faut choisir son camp, le ministère de la Police a choisi.

Je la crois tout à fait mûre pour défoncer de l’ouvrier gréviste et du Gilet Jaune comme jamais encore. Il suffit qu’on lui en donne l’occasion et, moyennant finances, elle abattra du Blanc déclassé à rythme soutenu.

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