Haï pour avoir terrorisé la France pour le compte des juifs, Valls s’enfuit en Espagne de peur de devoir rendre des comptes au peuple français

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 septembre 2018

Valls fuyant les pogroms

C’est officiel, Valls s’enfuit. Il quitte la France, déchu.

Et c’est une leçon politique qui va faire réfléchir un certain nombre de politiciens.

Le Progrès :

« Je veux être le prochain maire de Barcelone », a-t-il tweeté en catalan et en castillan. Depuis le Centre de culture contemporaine de Barcelone, ville dont il est natif, l’ex-Premier ministre a lancé la même phrase en catalan.

Il a peu après annoncé qu’il démissionnera « la semaine prochaine » de son mandat de député, en France. Le fait qu’il pense à Barcelone et n’ait été présent que quatre fois dans l’hémicycle depuis son élection en juin 2017 faisait polémique en France, en particulier dans sa circonscription, à Évry.

A 56 ans, il recommence tout de zéro et tente de réussir dans un autre pays. L’élection d’Emmanuel Macron à 39 ans a vieilli d’un coup la génération des quinquagénaires. Lucide, il sait qu’il n’a aucun avenir politique en France et rêve d’Espagne comme d’un retour aux sources. Député de base versus maire de Barcelone : il n’y a pas photo. Un tel challenge flatte aussi son ego, qu’il a surdimensionné.

Après le renoncement de François Hollande fin 2016, il pensait son tour venu et s’est présenté à la primaire de gauche. Il a été battu très sévèrement par Benoît Hamon, qui avait défié son autorité et était devenu député frondeur. Pour Valls, c’était une humiliation.

Voilà pour la version édulcorée servie aux masses par la presse juive.

La réalité est bien plus radicale.

L’Obs :

Il ne faut pas toujours se fier au visage, aux mâchoires serrées, aux traits crispés, à la dureté du regard, à la violence surjouée. On regardait Manuel Valls invectiver, continuer ses combats et on ne voyait pas la fêlure, la cassure. Au-delà de l’opportunité politique, sa tentation de Barcelone est avant tout un adieu à la France, un choix de vie plus qu’un choix politique, le désir de quitter un pays où il ne fait plus bon vivre, un pays où, comme il le racontait à un proche, « dans les rues, on me fait des quenelles », un pays où son rêve présidentiel n’a plus de raison d’être.

HA !

Valls s’est effondré psychologiquement en réalisant à quel point il s’était rendu méprisable aux des Français en servant les juifs.

« Il y a une haine contre lui qui dépasse l’entendement. Il y avait 22 candidats contre lui dans sa circonscription ! Je regrette de devoir le dire mais sa prise de position pour les juifs l’isole en France. Il cristallise toutes les haines, assène son ami Malek Boutih. Alea jacta est ! » Valls en a assez de se faire insulter pour avoir fait interdire les spectacles de Dieudonné, d’être celui qui doit expier les péchés de l’exercice du pouvoir, qui doit se justifier du reniement de sa parole lors de la primaire quand d’autres comme François de Rugy y ont trouvé un passeport pour une carrière.

C’est la manifestation la plus limpide de la précarité du pouvoir juif en France malgré son omnipotence apparente.

A l’époque, ce Valls, inconnu jusqu’à lors, pensait mettre au pas la France entière pour le compte des juifs. Il avait proclamé la mise à mort de toute forme d’opposition à la tyrannie juive.

Jusqu’à traquer le saltimbanque antisémite Dieudonné avec toute la force de la répression dont est capable cette république juive.

Pour la première fois, un spectacle fût interdit a priori, sur ordre des juifs qui contrôlent le conseil d’état auquel appartient ce juif dégénéré de Klarsfeld. Lequel, dans le même temps, organisait des manifestations contre l’humoriste camerounais.

C’est à partir de ce moment-là que la main mise juive sur la France a abouti à une radicalisation totale du système, les juifs se croyant enfin les maîtres incontestés.

Je dois ici rendre un hommage à Dieudonné, sur ce point très précis : il a trollé si efficacement et si intensément un chef de gouvernement soutenu par toute la juiverie internationale, qu’il est parvenu à le faire tomber dans le caniveau.

Ceci en dépit du soutien de l’intégralité des médias juifs, des réseaux occultes et financiers, des relais politiques, nationaux et internationaux.

N’allez pas croire que ce soit facile à réaliser ou que les juifs ne le mesurent pas.

C’est un événement sans précédent dans l’histoire contemporaine française et même, européenne.

C’est la satire et l’ironie qui ont détruit les bases de la synagogue qu’est cette république juive. Les juifs n’ont pas d’humour, aussi la sémitisation d’un état le transforme, immédiatement, en gigantesque machine à réprimer toute forme d’esprit critique. Même la plus anodine.

Car le juif veut être vénéré comme une divinité.

Persécuteur des Français

Puisque nous sortons à peine du premier procès Méric, il faut rappeler ici que Valls, ce chien des juifs, est à l’origine de la vague de persécutions sauvages contre les nationalistes dont ce procès a été le point de départ. Je veux dire, plus encore qu’auparavant.

L’Oeuvre Française fût arbitrairement et illégalement dissoute par le gouvernement juif alors même qu’elle n’avait aucun rapport, ni de près ni de loin, avec les faits.

L’avènement de Valls, serviteur des juifs, a marqué le point de départ du processus de judéo-bolchevisation de l’Etat Français.

Sûr de sa force, le pouvoir juif exposait sans tergiverser le total contrôle qu’il exerçait sur la France.

Créature juive

Valls était une création juive de part en part.

Lorsqu’il s’était présenté aux primaires du Parti Socialiste en 2011, il n’avait recueilli que 5% des suffrages.

Malgré cela, il est devenu peu après ministre de l’Intérieur puis Premier ministre.

Et nous savons à qui nous le devons et ce n’est pas au peuple français.

Les juifs sont devenus si toxiques que les approcher revient à signer son arrêt de mort dans l’opinion publique.

C’est un changement majeur qu’aucun de ces politiciens ne peut manquer d’avoir observé. Sauf Macron, bien entendu, qui doit tout, lui aussi, à la juiverie. Mais les autres ne peuvent pas ne pas comprendre ce qui se passe.

Servir les juifs ou servir son peuple, il faut choisir

Tous ces politiciens qui rampent actuellement devant les juifs et qui s’empressent de nous persécuter pour leur compte croient que leur pouvoir leur appartient quand, en réalité, il ne dépend que de la capacité de cette race maudite à rester en position de domination.

Le fait est que cette époque approche de sa conclusion.

D’ici quelques temps, nous verrons beaucoup de ces juifs et de ces traîtres disparaître à l’étranger après avoir pillé et terrorisé le peuple.

Une vieille tradition en somme.

C’est bel et bien ainsi qu’il faut comprendre la fuite de Valls.

Tous ces gens veulent se faire oublier avant d’être arrêtés et jugés.