Guerre d’Algérie : Macron veut forcer la France à se repentir éternellement sur le modèle de la religion de la Shoah

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 Janvier 2020

Après avoir participé à la déification de l’ordre juif mondial à Jérusalem et juré d’écraser la race blanche en France pour le compte du peuple élu, Macron a immédiatement annoncé vouloir copier/coller le fonctionnement de la religion de l’Holocauste au sujet de la Guerre d’Algérie.

60 ans après cette guerre, l’envahisseur mahométan va donc bénéficier de son propre culte antiblanc et antifrançais, dûment sanctionné par le pouvoir cosmopolite.

L’Express :

Le chef de l’État s’est exprimé sur le communautarisme, la laïcité et l’immigration, rappelant sa volonté de traiter ses sujets qui ne peuvent être abordés séparément.

Dans l’avion qui le ramenait jeudi soir en France, le président s’est exprimé sur le communautarisme, la laïcité et l’immigration, des sujets qui ne peuvent être abordés séparément selon lui. Emmanuel Macron a également estimé qu’il y a aujourd’hui « un séparatisme » en France.

« On ne peut pas parler séparément de la crise que vit l’islam dans le monde entier, du sujet du communautarisme dans nos pays, de la crise de la civilité républicaine, du sujet de l’échec de la République dans certains quartiers, et de ses problèmes mémoriels« , a-t-il affirmé, selon les comptes-rendus de cet entretien avec des journalistes du Figaro, du Monde et de Radio J, parus sur les sites des quotidiens.

« Il faut essayer de dire sans diviser. Il faut accepter, en disant, de parfois bousculer. Mais il faut accepter qu’il y a, dans notre République aujourd’hui, ce que j’appellerais un séparatisme », détaille le chef de l’État. Convaincu que ces sujets « se touchent », il affirme sa volonté de les traiter.

« Le terme de ‘communautarisme’ renvoie à beaucoup de choses », ajoute-t-il, assurant que « dans la République française, il n’y a qu’une communauté qui est la communauté nationale ».

Lol.

Oui, bien entendu Emmanuel.

Il n’y a qu’une communauté en France, en effet.

Le « phénomène mondial d’un islam radical qui se tend, et d’une transformation de l’islam » s’est, selon lui, « greffé sur des fractures mémorielles » et « des échecs que nous-mêmes, on a eus sur le plan économique et social ». « Derrière, ce qu’on me demande, c’est au fond de parler sur la civilité républicaine. Oui, et de l’islam. Ce qui est très différent. Ça n’a rien à voir avec la laïcité », poursuit-il.

Le chef de l’État se dit par ailleurs convaincu que la France doit revisiter la mémoire de la guerre d’Algérie pour mettre un terme au « conflit mémoriel » qui « rend la chose très dure en France ». « Je n’ai pas la réponse » pour y parvenir, reconnaît-il, admettant « tourner autour ». Pour autant, il se dit persuadé, s’il y parvient, que ce sujet aura « à peu près le même statut que ce qu’avait la Shoah pour Chirac en 1995 ».

Parce que les mahométans, comme les juifs, se montreront magnanimes une fois que la France aura assimilé l’Holocauste à la Guerre d’Algérie et qu’elle rampera à leurs pieds comme à ceux du CRIF.

C’est certain, les bougnoules deviendront gentils quand Macron aura érigé la culpabilité « éternelle » des petits Blancs de France vis-à-vis des crouilles du Maghreb.

Ils seront dociles comme des agneaux qu’on égorge pour l’Aïd.

Après quoi, viendra la religion de l’esclavage des nègres.

Un politicien enjuivé de premier plan, comprenant le principe, cherchera une nouvelle clientèle raciale à satisfaire après les arabes et les juifs.

Les nègres seront tout trouvés.

Si effectivement Macron rampe devant les crouilles d’Algérie comme il rampe déjà devant les juifs, ce sera le plus formidable appel à assassiner du Français au coin des rues.

C’est la carte blanche par excellence.

Ceci dit, c’est plutôt une bonne chose.

Cette débauche de culpabilité n’apaisera pas nos ennemis raciaux, bien au contraire. Cela ne fera qu’accélérer l’implosion du système.