GUERRE CONTRE NOËL : à Bordeaux, l’écolo-bolcheviste Hurmic remplace le sapin de Noël par une étrange cérémonie sanitaire

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 décembre 2020

Ce n’est plus qu’une question de temps avant que Noël ne devienne officiellement une fête LGBT dédiée à la lutte contre le réchauffement climatique.

L’Obs :

Un spectacle numérique baptisé « Chuchotis et brouhaha » et projeté sur la place de la cathédrale, remplacera le traditionnel sapin de Noël géant, a annoncé lundi la mairie écologiste de Bordeaux, vertement critiquée pour son refus d’installer un « arbre mort » pour les Fêtes.

« Chuchotis et brouhaha »

Pourquoi tous les beauzardeux subventionnés utilisent ce genre d’expressions à la con pour leurs sous-productions ?

Cette overdose de gnangnan, on dirait des débiles légers.

Ce phénomène lexical est propre à la France, il n’y a rien d’équivalent dans les autres pays occidentaux.

Il est grand temps de gazer les intermittents du spectacle.

Le projet qui habillera la place Pey-Berland, au cœur de Bordeaux où trônait habituellement le sapin de Noël, « se compose d’une illumination féérique d’animations déclenchées de manière interactive », d’un « habillage peint au sol représentant une marelle géante et d’une projection vidéo mapping » sur la cathédrale, a expliqué la mairie dans un communiqué.

Hein ?

Cette mise en lumière, proposée par le collectif local Organ’Phantom, est programmée du 13 décembre au 3 janvier, de 18h à 21h.

Le nouveau maire de Bordeaux Pierre Hurmic (EELV) avait suscité en septembre les critiques, notamment de l’opposition municipale de droite et LREM, quand il avait annoncé la fin de l’arbre de Noël municipal illuminé, le qualifiant de « mort » et d' »onéreux ».

La ville de Bordeaux est actuellement dirigée par un soviet écolo-communiste, conséquence inévitable de l’oeuvre du grand bourgeois de gauche Alain Juppé qui a eu l’idée d’importer les bobos de Paris par TGV entiers.

Vous avez déjà vu le logo de Bordeaux ? On dirait un panneau d’alerte chimique.

C’était mieux avant.

 

Une pétition sur internet réclamant le retour du sapin a récolté à ce jour près de 17.000 signatures.

A la place du sapin, M. Hurmic avait dit vouloir « innover » et la mairie avait assuré que « la féerie de Noël serait conservée ».

Le nouveau projet « pour s’adapter au contexte sanitaire, a été pensé pour éviter la station longue (déambulation le long de la cathédrale, avec des boucles de projection courtes de 5 min) », a précisé la mairie.

Féerie de Noël > contexte sanitaire

Le budget de cette opération est de « 60.000 euros tous frais confondus, honoraires des artistes, frais techniques, gardiennage », a précisé la Ville, assurant qu’il s’agit d’une « dépense neutre », un « reliquat du budget illuminations ».

La centaine d’écoles maternelles et publiques bordelaises ne sera pas pour autant privée de sapin: elles en recevront chacune un spécimen d’environ 1,80 m livré en pot. « A la rentrée, ils « seront récupérés pour être replantés », d’après la municipalité.

Quant au sapin de 19 m de haut qui était promis à la ville de Bordeaux, il a été acquis par la commune corrézienne de Malemort au nom de la défense de la filière forestière de ce département, où l’arbre a poussé.

Le prétexte sanitaire est devenu l’outil des bolcheviques culturels pour éradiquer Noël, purement et simplement.

Mieux vaut quitter ce trou à rats tout comme il vaut mieux quitter toutes les villes qui tombent aux mains des écolo-marxistes. En une seule mandature, une telle ville est condamnée à l’anéantissement entre l’abolition du véhicule privé, la dissémination de migrants, l’explosion de la criminalité et l’éradication des commerces.

Il suffit de regarder Grenoble pour savoir ce qui va advenir à Lyon, Bordeaux, Strasbourg ou Marseille.

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