Grèce : face à son possible retour au parlement, le gouvernement de droite veut interdire au parti du héros Kassidiaris de se présenter aux élections !

La rédaction
Démocratie Participative
10 février 2023

La démocratie grecque emprisonne tous les patriotes grecs qui veulent défendre la Grèce avant les banquiers juifs, à l’instar d’Ilias Kassidiaris

La raison pour laquelle nous nous engageons en Ukraine est la défense de la démocratie.

La démocratie est le meilleur système de gouvernement qui existe. Pour les juifs.

The Times of Israël :

Avec les élections en ligne de mire, les députés grecs ont décidé mercredi de faire barrage à un parti politique fondé par un ancien cadre de la formation néo-nazie Aube dorée qui purge une lourde peine de prison.

Le Parlement grec a adopté dans la soirée un amendement à la loi électorale de 2021 qui prévoit qu’un parti politique ne pourra pas participer aux élections si sa direction, officielle ou officieuse, a été condamnée pour appartenance à une organisation criminelle.

En démocratie, les partis au pouvoir écrivent des lois pour empêcher les autres partis de se présenter à leurs élections. L’idée étant que les gens votent, mais que les votes exprimés ne puissent jamais se porter sur autre chose que les partis au pouvoir.

Les élections ont pour seule fonction de divertir les goyim sans qu’aucun changement n’advienne qui nuirait aux forces financières qui contrôlent le système.

Les démocraties insistent sur l’importance de ces élections inutiles.

Vous serez surpris d’apprendre que c’est la droite grecque qui est à l’origine de cette loi démocratique.

Visé par cette réforme voulue par le gouvernement conservateur de Kyriakos Mitsotakis : le parti d’extrême droite « Les Hellènes » porté sur les fonds baptismaux il y a trois ans par Ilias Kassidiaris, l’ancien porte-parole d’Aube dorée, aujourd’hui sous les verrous.

Cet ancien député du parti néo-nazi de 2012 à 2019 avait créé sa propre formation quelques mois avant son emprisonnement en octobre 2020.

À l’issue du procès de 67 dirigeants et cadres d’Aube dorée, cet homme de 42 ans, violent, négationniste et raciste, avait été condamné à 13 ans et demi de prison ferme pour son appartenance à une « organisation criminelle ».

Ilias Kassidiaris est un héros et un véritable martyr.

Les juifs ont déclenché les plus féroces persécutions contre lui en raison de son héroïque défense de la Grèce hellénique.

L’Aube dorée avait été interdite par le Congrès juif mondial après sa percée électorale.

Ce rappel vidéo résume tout en 4 minutes :

Le gouvernement grec, dont la fonction est de tenir en laisse la population grecque pour le compte de la banque juive en s’assurant qu’elle reste soumise à l’esclavage financier international, a monté un prétexte légal pour jeter en prison les nationalistes d’Aube dorée.

Aube dorée, dont les scores électoraux au pic de la crise financière avaient alarmé l’Europe entière, avait été impliquée dans l’assassinat en 2013 d’un rappeur antiraciste, Pavlos Fyssas. Ce crime est aujourd’hui jugé en appel.

Ilias Kassidiaris n’a jamais eu de lien avec le meurtre de ce rappeur d’extrême-gauche.

Lors de l’enquête, il a été entendu puis libéré.

Ce n’est que des années après, avec l’arrivée au pouvoir de la droite grecque pleinement engagée à appliquer toutes les directives financières ordonnées par Bruxelles, qu’un procès a été monté pour écraser Aube dorée. L’argument était que les chefs d’Aube dorée étaient coupables de ce meurtre, même sans y avoir participé.

Les journalistes, pourtant favorables au système, ont admis que les charges étaient si grotesquement truquées que c’en était absurde.

Par ailleurs, l’assassinat de jeunes militants d’Aube dorée devant le siège du parti n’a jamais entraîné de répression similaire contre les partis de gauche radicale en Grèce.

Ils opèrent avec le plein appui de la droite affairiste grecque qui partage avec elle le sans-frontiérisme cosmopolite qui sert de ciment au régime bancaire juif.

La Grèce a même le dernier parti stalinien d’Europe, le KKE.

Ces marxistes n’ont jamais gêné l’ordre établi.

Encore moins quand Tsipras, le Mélenchon grec, était aux commandes, avec le soutien de Bruxelles.

Nous avons consacré un article de fond sur cette répression sauvage menée par les juifs. Il est toujours d’actualité.

Les enseignements du procès politique orchestré par le pouvoir juif contre l’Aube Dorée

Le problème, c’est qu’avec les élections qui approchent, la mafia au pouvoir qui a fait embastiller l’opposition nationaliste redoute de les voir faire un retour sur la scène politique.

Kyriakos Mitsotakis, le leader de cette mafia, sait que l’opposition nationaliste, si elle revient au parlement, dénoncera avec virulence chaque semaine l’enfermement illégal du héros Kassidiaris.

Le pantin des juifs Kyriakos Mitsotakis

Il a donc décidé de faire respecter plus parfaitement la démocratie en interdisant aux seuls hommes qui font trembler les juifs de se présenter.

La presse juive applaudit, jusqu’en France.

Comme la juive Marina Rafenberg, correspondante du journal juif Le Monde en Grèce.

Marina est très sensible à la suprématie juive en Grèce.

Or, quatre ans après leur éviction du Parlement, Kyriakos Mitsotakis veut à tout prix éviter le retour de néo-nazis à l’issue des élections générales prévues au printemps.

Avec cet amendement, les autorités vont empêcher qu’Ilias Kassidiaris ne place à la tête de son parti « un homme de paille tout en continuant de diriger de facto le parti », explique à l’AFP le spécialiste de droit constitutionnel Nikos Alivizatos.

Car malgré son incarcération, Ilias Kassidiaris a continué ses activités politiques. Depuis sa cellule de prison, il s’adresse régulièrement à ses sympathisants par des messages vocaux diffusés sur sa chaîne YouTube qui compte plus de 120 000 abonnés.

Ces finasseries pseudo légales puent le juif.

Le gouvernement peut interdire n’importe quel parti en affirmant qu’un opposant emprisonné le « dirige ». Il n’a aucune preuve à apporter, simplement une accusation à formuler. À ce compte, il pourrait même accuser un parti d’être « inspiré » par Kassidiaris, et en fait n’importe quel opposant qu’il a fait arbitrairement emprisonner.

Notez que le parti fondé par Kassidiaris plonge dans l’effroi le gouvernement d’occupation avec simplement 3% des intentions de votes.

Grèce : le parti d’extrême droite EgtP (*) atteint un record historique avec 3,9 % dans le dernier sondage Marc.

Le parti a été créé par l’ancien porte-parole d’Aube dorée (XA-*), Ilias Kasidiaris, qui est actuellement en prison pour avoir dirigé une organisation criminelle.

L’hypothèse de voir une réelle opposition disposer d’un seul représentant au parlement grec suffit à terrifier l’ordre juif.

Le symbole du parti, Leonidas, a de quoi inquiéter tout hébreu qui se respecte.

Selon une enquête de l’institut Marc pour la chaîne de télévision Ant1, le parti « Les Hellènes » obtiendrait 3,4 % des suffrages aux prochaines élections, un score supérieur au seuil de 3 % fixé pour pouvoir envoyer des députés à la Vouli.

D’autres sondages placent ce parti juste en dessous de ce seuil mais en progression constante ces derniers mois.

Le Premier ministre a insisté sur « l’obligation morale de la démocratie de se prémunir contre ses ennemis ».

Celle-ci « ne peut pas légitimer, et certainement pas financer, des organisations qui sapent ouvertement son fonctionnement », a-t-il fait valoir, en assurant qu’il s’agissait d’une « disposition similaire à celle déjà en vigueur dans plusieurs pays européens ».

En Allemagne, à l’issue d’un long imbroglio juridique, les autorités ne sont pas parvenues à faire interdire le parti néo-nazi NPD qui n’a toutefois jamais réussi à entrer au Bundestag.

Cette inquiétude se comprend, si l’on met les choses en perspectives.

À 42 ans, Kassidiaris est jeune en politique et même avec une peine de 13 ans de prison, il en sortirait au plus tard à 50 ans, auréolé du statut de premier opposant du régime. Son autorité sur le nationalisme grec serait difficilement contestable.

Par ailleurs, la situation financière de la Grèce est désespérée et elle ne tient que par le maintien artificielle de sa dette grâce à la BCE de la juive Lagarde.

Sa dette est bien plus lourde qu’en 2012, lorsque le pays était menacé de défaut de paiement.

La prochaine crise emportera le régime et le peuple grec se détournera du système en place.

En pleine situation révolutionnaire, Kassidiaris peut en quelques mois devenir l’un des principaux leaders de la Grèce.

La gauche radicale en a conscience, à commencer par l’autre laquais des juifs Tsipras.

En Grèce, cette réforme ne rencontre pas que des soutiens. Pour Nikos Alivizatos, « la démocratie libérale doit tolérer ce genre de partis (fasciste) comme elle doit tolérer les partis et les groupuscules de gauche qui invoquent la dictature du prolétariat ».

La Gauche radicale Syriza a émis des réserves. « Je crains qu’au lieu d’isoler les néo-nazis, l’amendement ne leur donne un coup de fouet majeur », a jugé l’ancien Premier ministre Alexis Tsipras.

Le nom de Kassidiaris est associé à des diatribes antisémites, des outrances nationalistes, des ruades anti-système et des accès de violence.

Lors d’une émission télévisée en 2012, il avait giflé une députée communiste et jeté son verre d’eau à la figure d’une élue de Syriza.

Ilias Kassidiaris affiche ses sympathies pour le Troisième Reich jusque sur son corps : il s’est fait tatouer sur son bras gauche une croix gammée.

Un homme qui gifle une traînée communiste est nécessairement mandaté par les dieux pour arracher la Grèce du joug juif.

Kassidiaris a un destin.

L’Olympe ne restera pas impassible face à un héros qui entreprend la tâche de libérer la Grèce des sémites, ennemis de la roue solaire.

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