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Captain Harlock
Démocratie Participative
24 mai 2021
C’est fatiguant d’annoncer des mois voire des années à l’avance ce qui va se produire.
Jeudi 20 mai, le président du gouvernement espagnol Pedro Sanchez a présenté un plan de 675 pages intitulé Espagne 2050, fondements et propositions pour une stratégie nationale à long terme invitant à entamer une réflexion collective sur les défis du pays après la pandémie pour savoir quel type de pays «nous voulons être dans 30 ans».
«La vision de l’avenir doit être celle de l’État et non du gouvernement. Le présent nous occupe, mais nous devons également nous soucier de l’avenir», a lancé le Premier ministre.
Le journal El Mundo déduit que conformément au plan de Sanchez en 2050, les Espagnols n’auront ni voiture ni maison personnelles et devront partager un appartement. Ils seront obligés de renoncer aux avions pour des voyages de courte distance en utilisant le train. En matière d’emploi, ils auront un statut autonome ou en CDD et pourraient avoir à travailler jusqu’à 70 ans avant de partir à la retraite. Ils devront manger moins de viande et payer plus d’impôts pour boire ou fumer.
Nous avons détaillé tout ça depuis un an et demi.
Le simple fait de rendre obligatoire l’électrification du parc automobile, comme en Grande-Bretagne, implique ipso facto l’interdiction de la voiture individuelle car il n’y a pas assez de ressource électrique pour alimenter un tel parc.
L’excuse climatique sert uniquement de prétexte à cette collectivisation des transports.
Le document, développé avec la contribution de plus de 100 experts de divers domaines et origines idéologiques, est désormais ouvert aux amendements des partis politiques, des autorités locales et régionales, des syndicats et des groupes d’employeurs, des organisations à but non lucratif et des universités.
Visant à hisser l’Espagne au rang des pays les plus prospères d’Europe, rien n’indique que ces propositions trouvent de l’écho au sein de la population espagnole, lassée par une longue instabilité gouvernementale.
Le communisme n’a jamais été de paire avec la prospérité.
C’est bien l’objectif du Great Reset que nous avons longuement détaillé ici : la soviétisation de l’Europe par la caste globale.
L’abolition de la propriété privée est l’axe central des globalistes de Davos. Le marxiste Thomas Piketty, l’un des principaux idéologues de Klaus Schwab, veut interdire le principe d’héritage pour mettre en place la dystopie néo-communiste dont rêvent ces gens.
Pour parvenir à la société collectiviste globale qu’ils planifient, ils doivent abolir toutes les libertés réelles qui limitent leur besoin de contrôle illimité : propriété, liberté de circulation, censure généralisée.
Piketty présentait le programme globaliste dans le journal juif Le Monde il y a dix jours. En plus du revenu de base gouvernementale en euros numériques pour la plèbe rééduqée, l’interdiction d’hériter figure dans le plan. En utilisant une phraséologie oxymorale typiquement bolchevique, Piketty présente l’interdiction d’hériter comme un « héritage pour tous ». En pratique, on volera à votre famille ce qu’elle possède pour le donner aux allogènes dès qu’ils auront 25 ans.
De cette façon, les travailleurs blancs ne pourront jamais s’émanciper du système.
Dans cette société, les éléments productifs – les Blancs – seront les esclaves de l’Etat global, lequel nourrira les populations marron qu’il aura importé grâce au pillage perpétuel du labeur aryen. Vous ne posséderez rien, ne pourrez donc rien léguer à vos enfants et vous dépendrez de l’Etat pour tout : logement, transports, etc.. Au moindre signe d’insoumission, vous serez supprimé numériquement. Vous serez toujours vivant biologiquement, mais vous serez un hors caste.
Bien entendu, la surveillance sera permanente et les mouvements étroitement contrôlés par l’Etat-Parti total. C’est l’objectif du passeport intérieur qui entrera en vigueur en juin prochain.
Ce projet présuppose une réduction drastique du niveau de vie. Ce sera une nouvelle RDA climato-sanitaire.
En Allemagne de l’Est, personne ne pouvait déménager. Les gens étaient enchaînés comme des ilotes à une barre HLM durant toute leur vie et ne pouvaient espérer en sortir qu’à force de faire du zèle pour le Parti.
C’est là que l’élite globale veut nous mener.
C’est la seule solution qu’ils ont pour répondre à la banqueroute des états-providence occidentaux : planifier le rationnement par la collectivisation pour éviter une révolution.
L’Asie ne prend pas cette direction. La Chine, quoique nominalement contrôlée par le Parti Communiste, est un système économique beaucoup plus libre que cet enfer multiracial bolchevisé. D’ailleurs, en Chine, vous pouvez parler librement des juifs, des féministes et des nègres sans craindre d’être jeté dans une prison par des commissaires politiques juifs.
Ce qui fait de l’Etat Chinois un état bien supérieur à n’importe quel état occidental sémitisé.
