GREAT RESET : le gouvernement décrète le rationnement de l’électricité à cause d’une improbable histoire de « froid »

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 novembre 2020

 

C’est stupéfiant à observer mais pourtant c’est réel, le Great Reset se déploie à la vitesse de l’éclair sans que l’opinion n’en soit informée.

En prétextant l’arrivée de « grosses vagues de froid », la MILF ultime Barbara Pompili a annoncé un plan de rationnement.

Le but non avoué de l’hyperclasse est de forcer la baisse drastique de la consommation d’énergie en Occident tout en imposant la « reconstruction » d’un système énergétique « vert »  et collectivisé dans le cadre de l’agenda 2030 du Forum Economique Mondial. C’est l’objectif n°7 de l’Agenda 2030 de Karl Schwab relayé par l’ONU et ses agences.

Il prévoit la fin de l’utilisation des énergies fossiles, notamment pour les voitures. Conformément à cet agenda, Boris Johnson vient d’interdire les véhicules à essence d’ici 2030.

L’annonce de la MILF barbara Pompili – qui est absolument chaude, encore une fois – vise à habituer les gens à l’idée du rationnement.

Ce rationnement énergétique va devenir la règle à mesure que l’on bascule dans la Grande Dépression programmée suivie du Great Reset. L’excuse utilisée ici est le « froid », tout comme le Covid est l’excuse pour détruire les PMI/PME et la classe des petits propriétaires.

J’ai averti que le système prépare de fausses cyber-attaques à grande échelle contre les infrastructures énergétiques des états occidentaux pour justifier leur « Grand Redémarrage » avant d’accuser la Chine et la Russie d’en être responsables.

Ce que Karl Schwab appelle une « giga cyber-pandémie ».

« Nous savons tous qu’une cyber-attaque globale pourrait entraîner l’arrêt complet de l’approvisionnement en électricité, des transports, des hôpitaux, de notre société dans son ensemble. Le COVID-19 serait considéré à cet égard comme une petite perturbation par rapport à une cyber-attaque majeure. Utiliser la crise du COVID19 comme une opportunité qui tombe à point nommé pour réfléchir sur les leçons que la cybersécurité et les communautés peuvent tirer pour améliorer notre préparation pour une cyber-pandémie potentielle. »

Ces cyber-attaques proviendront de l’intérieur et non pas de l’extérieur.

La presse canadienne prépare l’opinion depuis cette semaine avec des ennemis déjà désignés.

Lapresse.ca :

« Le nombre d’auteurs de cybermenaces est en hausse et ceux-ci deviennent de plus en plus sophistiqués », alerte le Centre de la sécurité des télécommunications canadien.

Il juge « fort probable » que ces pays cherchent notamment à « perturber les infrastructures essentielles du Canada, comme l’approvisionnement en électricité, pour atteindre leurs buts ». Ils pourraient également viser la propriété intellectuelle dans le domaine de la lutte contre la COVID-19, selon le rapport.

« Nous sommes presque assurés que les programmes parrainés par la Chine, la Russie, l’Iran et la Corée du Nord posent les plus graves cybermenaces pour les Canadiens et les entreprises canadiennes », indique l’autorité canadienne en matière de cybersécurité.

Il est évident que les gens ne renonceront pas à leur véhicule individuel et à la liberté qu’il leur offre sous prétexte que Greta Thunberg le leur aura dit à la télévision. Cela n’a pas marché. Les révolutionnaires de Davos vont donc détruire le système énergétique actuel, du moins partiellement, pour forcer les populations à abandonner leur véhicule et basculer dans la collectivisation totale des moyens de transport tout comme celle de l’énergie.

Dans des pays comme la France où l’énergie nucléaire assure 70% de la consommation d’électricité, des attaques contre les centrales atomiques sèmeront l’effroi d’autant plus massivement que les médias recevront l’ordre de se déchaîner. Rappelez-vous de la terreur véhiculée lors de Fukushima et multipliez ça par cent et vous aurez une idée de la panique qui va s’emparer des populations. Après le virus, les gens seront convaincus d’être à deux doigts de succomber à un méga Tchernobyl.

Comme un virus, la radioactivité est invisible à l’œil nu et permet donc d’obtenir très rapidement un phénomène de paranoïa intense. Il suffit de voir comment la peur du Rhume19 a suffi pour permettre aux globalistes de détruire un tiers des PMI/PME pour mesurer la facilité avec laquelle ils pourraient opérer s’ils recourent aux cyber-attaques.

Le plan est en marche.

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