Grande-Bretagne : violent appel à la répression après que des supporters de football ont déployé une banderole affirmant que « les vies blanches comptent »

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 Juin 2020

Être blanc est raciste

Dans l’univers parallèle dans lequel nous sommes censés évoluer, nous vivons officiellement dans un système blanc structurellement raciste… qui ne tolère pas que l’on dise que les vies blanches comptent.

Le Parisien :

Une rencontre du championnat de football anglais a été perturbée lundi soir par une banderole d’extrême droite. Si, sur le terrain, Manchester City a expédié les affaires courantes en écrasant Burnley (5-0), en dehors un avion a survolé le stade en tirant une banderole d’extrême droite avec écrit « White Lives Matter », c’est-à-dire « La vie des Blancs compte », en français.

Si vous pensez que la vie d’un Blanc a une quelconque valeur, vous êtes un neon-nazi.

Ne pas vouloir mourir quand on est blanc est désormais pour les médias un signe « d’extrémisme ». Avec ce que cela suppose de mesures coercitives en cas de déviationnisme.

Juste avant le match, les deux équipes, leur encadrement et les arbitres ont posé genou à terre en hommage au mouvement antiraciste et de lutte contre les violences policières « Black Lives Matter », « La vie des Noirs compte ». Il s’agit d’un protocole mis en place avant toutes les rencontres de Premier League depuis sa reprise.

En effet. Le championnat anglais a instauré le culte de la race noire avec un rituel religieux avant chaque match.

Loué soit l’Éternègre !

Pour rappel, nous ne sommes pas en Afrique du Sud sous la férule de l’ANC mais dans une ville anglaise à 85% blanche dans un pays (encore) très majoritairement blanc dirigé par la « droite » britannique. Ce club dont le public est presque totalement blanc déclare que ce même public dont il dépend pour vivre peut mourir.

Mais quelques minutes après le coup d’envoi, un avion de tourisme a fait plusieurs tours au-dessus du stade en tirant le slogan « La vie des Blancs compte », utilisé par l’extrême droite. Cet incident n’a pas été diffusé par la chaîne Sky Sports, qui retransmettait le match, mais a été commenté sur les réseaux sociaux.

Le club de Burnley, une ancienne ville minière et industrielle au nord de Manchester et longtemps bastion électoral de l’extrême droite anglaise, a rapidement réagi dans un communiqué pour « condamner fortement » la banderole. « Cela ne représente en aucune façon ce pour quoi se bat le Burnley Football Club et nous coopérerons avec les autorités pour identifier les responsables et prendre les mesures appropriées. » « Nous tenons à dire clairement que tous ceux qui sont responsables ne sont pas les bienvenus à Turf Moor », le stade du club.

Kek

« Pas si vite ! Alors comme ça vous déployez des banderoles pour dire que la vie des Blancs comptent ? »

« J’ai honte, je suis embarrassé qu’un petit nombre de nos fans aient décidé de faire tourner ça au-dessus du stade », a pour sa part réagi Ben Mee, le capitaine de Burnley, interrogé après la rencontre. Ces gens ont besoin d’entrer dans le XXIe siècle et d’être éduqués comme beaucoup d’entre nous le sommes. Je suis vraiment bouleversé que cela soit arrivé », a continué le défenseur, arrivé au club en 2012.

Faible.

Ce type devenu millionnaire en manipulant un ballon avec ses pieds affiche la tête d’un détenu du goulag en pleine séance d’autocritique.

C’est d’ailleurs exactement ce que c’est : une séance d’autocritique sous le regard du Parti. Un seul signe d’hésitation et la maison de grand standing, la voiture de sport et la greluche hors de prix s’envolent.

Ce que démontre par l’absurde cet épisode, c’est précisément que non, « toutes les vies » ne comptent pas. Seules certaines vies comptent aux yeux du Système néo-communiste et cela au prorata de leur appartenance raciale.  Si vous êtes blanc, vous pouvez être assassiné par un gang de nègres ou avoir votre gamine violée par 8 pakistanais, c’est officiellement admis comme normal. Parce que vous êtes blanc et que le Parti a proclamé l’institutionnalisation de la discrimination antiblanche.

Dans un tel système, l’égalitarisme racial est considéré comme une relique du passé bien trop libérale. Il n’est plus question « d’égalité raciale » mais bien d’organiser l’infériorité institutionnelle de la race blanche. La vie d’un Blanc ne vaut guère plus que celle d’un chien ou d’une vache.

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