Grâce à vos impôts, Laury peut abandonner son bébé marron et recoucher avec d’autres basanés

La rédaction
Démocratie Participative
14 juin 2022

 

La femme blanche ci-dessous n’a rien d’un cas particulièrement exceptionnel.

Après avoir couché avec un basané qui s’est, comme de juste, rapidement tiré une fois en cloque, Laury a engendré le miracle marron. Quelques mois plus tard, la traînée recouverte d’encre avec un anneau dans le nez s’en débarrasse, aidée de l’État et d’une « famille d’accueil », Chrétiens ou possiblement un couple de fiottes ou de gouines.

Le drama filmé par Konbini essaie de susciter l’empathie du public envers le boudin tatouée qui gonfle à vue d’oeil. L’idée est de dédouaner les femmes de toute notion de responsabilité pour leurs actes.

La capacité des femmes blanches à justifier et rationaliser leur comportement de pute dépasse tout ce qu’un mec lambda peut imaginer.

Cela passe toujours, systématiquement, par du drama, du pathos et de l’apitoiement sur son propre sort. In fine, une pute expliquera que son comportement de pute est en fait la preuve de sa vertu et qu’il faut s’écraser.

Ce qui se produit avec cette traînée à métèque en particulier, c’est qu’elle a réalisé au niveau inconscient qu’elle a échoué dans sa mission la plus importante sur terre, la seule : se reproduire avec le meilleur parti génétique possible. Semi bourrée en boîte de nuit, elle s’est faite sauter par un clébard d’Afrique dans une bagnole et voilà.

Petit à petit, et contrairement à nombre de putes à métèques payées par l’État en remerciement pour leurs crimes, elle a ressenti confusément qu’élever un échec biologique, c’était se condamner à ne pas pouvoir corriger son erreur face à l’évolution, c’est-à-dire à trouver un meilleur parti masculin pour le reste de sa vie.

C’est le pire du pire pour une nana de 23 ans, soit l’âge du pic de sa valeur sur le marché sexuel.

C’est là qu’intervient l’État social féministe, financé à la sueur du front de l’homme blanc.

Le féminisme n’a pour seule fonction que de libérer totalement l’hypergamie des femmes, c’est-à-dire la possibilité de corriger en permanence leurs erreurs de stratégie reproductive. Plus le filet de sécurité est large, plus les femmes font n’importe quoi avec leur cul. Que ce soit avant la conception, pendant ou après, une femme blanche « forte et indépendante » veut pouvoir se laver les mains de ses choix et les faire payer aux autres.

Les femmes n’étaient pas chastes jadis parce qu’elles allaient à l’église, mais parce que rien des moyens interventionnistes de l’État féministe n’existait pour les aider à faire payer l’homme blanc. Du coup, conditionner un contrat de mariage à vie à l’accès au sexe était l’unique moyen en leur possession pour rentabiliser leur seule et unique fonction sur cette terre : faire des enfants.

L’ouverture maximale des frontières aux mâles du tiers-monde, l’avortement, les dispositifs sociaux exorbitants pour mère isolée, l’abandon étatisé, les pensions alimentaires, tout repose sur l’impératif féminin de la libéralisation complète de l’hypergamie.

L’homme, principe régulateur par nature, a capitulé en Occident. Si bien qu’à présent, les femmes blanches font de la merde en roue libre et vous casquez.

Comme les hommes blancs refusent de stopper cette anarchie hypergame après un siècle de féminisme, la société est détruite. Cette évidence n’est même pas reconnue par 1% de la population. La France est recouverte de familles « recomposées » qui n’ont rien à envier aux tribus d’Afrique où personne n’a idée de qui est l’enfant de qui, ou pratiquement. Des femmes ont désormais jusqu’à trois gosses de trois mecs différents qu’elle ne voit plus. Les gosses n’ont plus de figure paternelle, ce qui ouvre la voie à l’anarchie totale et à l’absence de transmission de quelques valeurs sociales que ce soit. En revanche, ils ont du fric.

L’État féministe, sorte de grande tribu anonyme de substitution, a remplacé le père et ce sont les réseaux sociaux juifs qui font leur éducation.

Le juif Hanouna a davantage d’autorité sur la marmaille blanche qu’un père divorcé moyen en France.

Le seul truc qui fasse encore tout tenir, c’est l’endettement de l’État social féministe. Sans cet endettement colossal, les femmes blanches devraient faire des choix reproductifs autrement plus prudents. Elles devraient arrêter de jouer aux putes, se trouver un mec et se caser à 22 ans pour fonder un foyer. Faute de quoi, la sanction sociale et économique serait impossible à porter. Et si l’on parle d’un parti solide, capable d’assurer financièrement, les arabes comme les noirs sont battus à plate couture dans la lutte pour la survie.

Tant qu’il y aura le filet de sécurité sociale pour les traînées, rien ne changera et les Blanches seront chaque mois qui passe un peu plus infectes que le mois précédent.

Si on ajoute à ça l’immigration de remplacement et le système de retraite qui place le confort des boomers inutiles avant l’avenir de la jeunesse blanche, dont le poids démographique se réduit atrocement parce que les femmes blanches sont plus occupées à s’éclater jusqu’à 32 ans plutôt que de faire des mômes, ce système est la forme la plus parfaite de dystopie biologique organisée.

Cet édifice ne peut que s’écrouler, et quand il se sera écroulé, il ne fera pas bon être une femme blanche isolée.

Le problème, c’est que pour alors, la moitié de la France sera peuplée par une population d’afro-pakistanais hyper haineux.

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