Glorieuse Rafle du Vel d’Hiv’ !

La rédaction
Démocratie Participative
17 juillet 2022

 

Pour approfondir : Deux siècles ensemble (1795 – 1995)

Hier, c’était la fête de la Rafle du Vel d’Hiv.

Un petit rappel utile dans ce contexte festif : le RN est un parti antifa comme un autre, totalement dévoué à la victoire de la race juive contre l’humanité, et accessoirement dirigé par une femme acariâtre et des fiottes sous trithérapie.

La plupart de nos lecteurs en sont informés, mais il n’y a jamais eu de « camps de la mort », uniquement des camps de prisonniers mis au travail. Auschwitz n’a jamais été un « camp d’extermination », mais un immense centre de production destiné à l’effort de guerre allemand.

Tout ça a été largement exposé par des chercheurs à propos des chambres à gaz magiques, en dépit de l’effroyable répression juive.

Au surplus, l’opération du Vel d’Hiv a consisté à arrêter des migrants clandestins connus pour leurs sympathies terroristes pour les renvoyer dans leur pays d’origine.

C’est-à-dire une politique de remigration dont le FN, avant qu’une femme blanche ne le dirige, était jadis le principal promoteur.

Les juifs étaient effectivement le principal foyer de recrutement de l’Internationale communiste dirigée par les juifs du Kremlin.

Ces clandestins s’étaient réfugiés dans la France du juif Blum, dans les années 30, alors que l’Europe prenait la direction inverse et se libérait de l’emprise du bolchevisme et de la finance judéo-newyorkaise. Tous ces juifs établis en France se transformaient invariablement en cinquième colonne de la terreur rouge.

Sous Vichy, une timide tentative de réaction face à la haine juive avait commencé à se former.

Quand on arrêtait des terroristes qui tuaient aveuglément à cette époque, on retrouvait toujours les mêmes faciès atroces de vampires ashkénazim venus des coins les plus reculés d’Europe orientale.

Tous les cadres du bolchevisme international, déterminés à transformer la France en « paradis des travailleurs » sur le modèle de l’expérience de la Russie soviétisée en Ukraine génocidée, étaient des juifs.

Ces juifs étaient les djihadistes de cette époque et contrairement à tous ce que disent les médias juifs aujourd’hui, les Français virent avec soulagement les forces allemandes entreprendre une grande campagne antiterroriste dans tout le pays.

L’Allemagne nationale-socialiste ramena l’ordre en France. Vérité consternante pour la « droite » française qui s’empressa de le dissimuler après-guerre, sous couvert de « patriotisme » mal placé et d’antibochisme de cirque.

Pour se représenter la chose, c’est comme si aujourd’hui l’armée russe arrivait en France et entreprenait de traquer toute la canaille musulmane en situation irrégulière sur le territoire : 90% des Français applaudiraient des deux mains cette politique que les Français, devenus trop lâches, auraient voulu faire eux-mêmes. Les 10% restants appartenant à la lie de la société, toujours prompte à soutenir les éléments antisociaux les plus radicaux.

Issus d’une immigration inassimilable, les juifs étaient solidaires de leurs congénères moscovites qui organisaient depuis l’étranger un vaste assaut contre l’Europe. Partout en Europe, des cellules juives clandestines, armées, renseignées, disposant de listes de patriotes à abattre en vue de la révolution juive mondiale.

En 1944, la débauche de sang qui coula dans les rues lors de la pseudo « épuration » n’était que le travail préparatoire de la sémitisation à outrance de la France.

Le résultat, vous l’avez sous les yeux.

Après la guerre, les juifs, échaudés par l’empressement des Français à se débarrasser de la pestilence du sémitisme à la première opportunité, réécrivirent l’histoire, mais mieux, militèrent pour des lois de terreur permettant à la juiverie de tenir la France entre ses mains.

La religion de l’holocauste vise à criminaliser toute résistance autochtone à la prédation cosmopolite solidement établie dans ce pays depuis l’Affaire Dreyfus – une autre fake news hébraïque.

Le RN est un parti pro-migrants juifs qui, comme tout parti d’extrême-droite qui se respecte, adhère aux thèses de gauche d’il y a cinq minutes. Que les musulmans l’emportent en France au 21e siècle et ce qu’il resterait de l’extrême-droite ferait des communiqués en mémoire des victimes de l’islamophobie au 22e siècle.

La résistance héroïque du Reich face à la bête juive assoiffée de sang est un exemple sans précédent de courage et de détermination face au plus grand péril que le monde ait connu.

Que l’on regarde l’état du monde occidental après huit décennies de victoire hébraïque pour mesurer la justesse de la politique nationale-socialiste sur cette question, et à quel point toute forme de modération face à la juiverie ne conduit qu’à des catastrophes plus grandes encore.

La police française, quand elle était encore française, a logiquement fait, en 1942, le travail que le peuple français attendait d’elle depuis très longtemps, mais qu’elle refusait de faire, tenue par les loges et les bandes juives du régime républicain. Tout comme aujourd’hui, elle se refuse d’éradiquer les bandes étrangères qui violent et tuent, en toute impunité, en dépit des appels incessants à la justice.

Mais c’est surtout la Milice française qu’il faut saluer, l’avant-garde d’un mouvement véritablement révolutionnaire qui aurait pu, si la baderne sénile Pétain n’avait pas joué les vieilles rombières à principes,  frapper autrement plus fort les ennemis que De Gaulle devait ramener en France pour les mettre au pouvoir.

La réaction droitiste peut braire aujourd’hui : elle veut ses juifs, elle les a.

Pas plus qu’on ne peut aimer les homosexuels tout en se plaignant du SIDA, on ne peut pas aimer les juifs tout en se plaignant du Grand Remplacement.

Si l’on doit dire une seule chose à propos des juifs en France durant la guerre, c’est à quel point la situation a été trop douce pour eux, à quel point ils méritaient de déguster infiniment plus sévèrement.

Cette faiblesse a eu un coût et ce coût a des noms.

Pétain s’est acharné à les défendre, aidé en cela par une myriade de collaborateurs : curetons, communistes, écrivains, bourgeoises de toutes les saveurs, nobliaux à principes humanitaires, pédés et surtout, la cohorte des cons méthodiquement attachés à se tromper de combat.

Il faut effectivement commémorer le Vel d’Hiv.

C’est le seul moment du 20e siècle où les Français ont fait payer aux juifs leurs crimes.

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