Gillette lance sa première publicité faisant figurer une mulâtresse transgenre qui se rase la barbe

Captain Harlock
Démocratie Participative
29 mai 2019

 

Il y a un nouveau concept en vogue chez les grandes multinationales juives : cracher sur leur clientèle masculine.

On peut même dire vomir.

Je ne sais pas si le succès sera au rendez-vous.

Paris Match :

Brillant. Profond. Puissant. « Bravo Gillette ! », s’exclame-t-on depuis la sortie du dernier spot publicitaire de la marque américaine. Quatre mois après avoir fait mouche avec son clip dénonçant la masculinité toxique, Gillette marque encore des points auprès de l’opinion publique.

Si vous ne vous connaissez pas ce concept juif, c’est assez simple : si vous êtes un homme blanc hétérosexuel, vous êtes « toxique » pour les pays blancs.

Je pense pour ma part que ce sont les juifs qui sont toxiques en Occident.

Dans une vidéo diffusée la semaine dernière, la société spécialisée dans les produits d’hygiène a donné la parole à Samson Brown, un jeune garçon transgenre qui, aux côtés de son père, évoque sa transition. « En grandissant, je me suis toujours demandé quel genre d’homme je voulais devenir et encore aujourd’hui je me pose la question », lance le jeune Canadien originaire de Toronto. « J’ai toujours su que j’étais différent. Mais je ne savais pas qu’il existait un terme pour définir ce que j’étais », poursuit-il.

Dans la salle de bain, le bas du visage recouvert de mousse à raser, Samson applique les conseils de son père qui l’accompagne et l’encourage dans cette nouvelle étape. « Je suis heureux de pouvoir enfin me raser », déclare-t-il. « Ce n’est pas juste moi qui fait ma transition, ce sont aussi tous ceux autour de moi qui font leur transition. »

Si pour Gillette, ce nouveau spot publicitaire – diffusé lors du festival de cinéma LGBT de Toronto prévu jusqu’au 2 juin prochain – ne vise qu’à transmettre un nouveau message fort tout en mettant en lumière la communauté LGBT+, certains ne peuvent pas s’empêcher d’y voir un fond d’hypocrisie dissimulée par la volonté de créer le buzz. Glissées parmi les commentaires encenseurs, plusieurs critiques reprochent à la société d’aller un peu trop loin, au point de devenir « ridicule ». Un internaute a notamment souligné le fait que le groupe Procter & Gamble avait choisi le témoignage d’un jeune noir, alors que « pour toutes les autres questions qui concernent les Noirs, elles sont complètement ignorées par les entreprises et les médias nationaux ». Si la vidéo divise encore sur plusieurs questions, elle garde le mérite d’interpeller les consciences sur la transidentité et de donner l’exemple à d’autres marques d’évoquer l’inclusion de toutes et tous.

Les travelos négroïdes jusque dans nos salles de bain.

Y’a pas à dire, un monde a disparu.

Dans les années 90, les publicités Gillettes avaient une certaine esthétique fasciste par comparaison. Homme blanc et sportif, hétérosexualité triomphante, culte du businessman dominateur.

Et maintenant les travelos café-au-lait pour vendre des rasoirs.

Comme il est évident que le nombre de transexuels est dérisoire comparativement au nombre d’hommes blancs qui achètent des produits Gillette, l’intention n’est pas de booster les ventes.

C’est de l’ingénierie sociale et raciale à grande échelle.

Quand le facteur argent devient secondaire pour de telles multinationales au profit du facteur idéologique, c’est que nous ne sommes plus exactement dans un système de marché libre.

Tout ça ressemble de plus en plus à une dystopie trotskiste.

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