Gérard Fauré a naturellement dit vrai : les juifs et leurs associés ont un fort penchant pour le sang d’enfants innocents

La rédaction
Démocratie Participative
11 mars 2023

 

Gérard Fauré est le fils d’un médecin français et d’une Berbère du Maroc. Il s’est construit ces dernières années une image de trafiquant de drogue « rangé » qui « témoigne », multipliant à ce titre les interviews sur les dessous du monde du showbiz qu’il aurait largement fourni en drogue.

Hier, sur TPMP, il a affirmé sans broncher que Palmade était un consommateur d’enfants, ce qu’il affirme savoir en raison du fait que Palmade avait ses habitudes au Maroc, un haut-lieu de la prostitution pédophile prisé par la bonne société parisienne.

Il a ensuite affirmé que les stars consommaient du sang d’enfant sous forme d’adrénochrome. Parmi elles, « Céline Dion », etc..

Il a aussi parlé des Tziganes, ces voleurs d’enfants au service des juifs depuis le Moyen-Âge.

Le temps s’est soudainement suspendu.

Il allait aussi parler de Macron, mais Hanouna a immédiatement rendu l’antenne.

Visiblement, quand on parle de Pierre Bergé et du Maroc, un malaise s’empare des plateaux.

Pierre Bergé, quoique homosexuel, n’était pas pédophile.

En revanche, il a développé une passion pour la torture de sa mère très âgée. Il se rendait régulièrement à son chevet pour la maculer de sa propre merde.

C’était aussi un socialiste.

En revanche, il entretenait une cour d’homosexuels qui eux étaient des pédophiles endurcis. Les Jack Lang, Frédéric Mitterrand, etc.. Tous socialistes.

Yves Saint-Laurent évoluait dans cette réalité.

Sa fameuse création « La vilaine Lulu » rend assez bien l’univers baroque et original du monde homosexuel qu’il aimait tant.

Les sacrifices d’enfants y figurent en bonne place, entre autres pratiques occultes.

Si les propos de Fauré étaient complètement loufoques, les médias ne seraient pas subitement en proie à de tels spasmes paniqués.

Si je vous accuse de dévorer des enfants, vous n’allez pas appeler le ministère de la Culture pour couper mon accès à internet.

Ces gens-là, oui.

Leur réaction n’est comparable qu’à ce qui se produit lorsque quelqu’un de connu exprime ses doutes à propos des 6 millions de juifs théoriquement assassinés avec des pastilles d’insecticide par Adolf Hitler parce qu’il n’avait pas réussi à devenir peintre.

Ce genre de réactions paniquées les trahit.

Dans ce qu’a dit Fauré, il y a quelque chose qui les effraie.

Tout comme dans ce que disait le professeur Faurisson.

Les meurtres rituels d’enfants sont une réalité indiscutable et les juifs les pratiquent depuis qu’ils existent. Leur torah, qui n’est pas un pamphlet antisémite, en parle abondamment.

Le culte livré à Moloch, dans leur région d’origine, est longuement évoqué dans les textes religieux des juifs. Ces sémites incinéraient des nouveaux-nés pour cette divinité désertique.

Tous les juifs ne pratiquent pas ces meurtres rituels, mais c’est une pratique occulte très ancienne qui a toujours existé dans le sillon de leur communauté.

Ariel Toaff, un historien israélien, a eu de très sérieux problèmes après avoir publié un ouvrage sur la question, « Pâques de sang« . Il a remonté la source de cette pratique en Italie et découvert qu’elle prenait racine au sein de certaines colonies juives d’Europe de l’Est qui échangeaient avec les juifs séfarades d’Italie mais qui n’avaient pas les mêmes usages.  Comme il l’explique à la lecture des procès-verbaux des interrogatoires de l’Inquisition italienne, il était impossible pour les enquêteurs de connaître les termes yiddish relatifs à ces pratiques qui ont été révélés par les marchands juifs arrêtés dans la foulée du meurtre du petit Simon de Trente. D’ailleurs, les enquêteurs les ont couchés par écrit sans en comprendre le sens ou la portée à l’époque.

Si tous les juifs ne pratiquent pas ce genre de meurtres, ils savent que ces pratiques ont toujours traîné dans les recoins de la synagogue. L’avouer, c’est reconnaître que l’une des principales accusations portées contre eux à travers les siècles comporte une part de vérité – ce qui ferait une très vilaine impression après avoir accusé la terre entière de mentir à ce sujet pour persécuter « gratuitement » les juifs.

Bien sûr, ils pourraient dire que c’est un phénomène isolé, mais même cela reviendrait à ouvrir une discussion sur les étonnantes pratiques religieuses de certains juifs qui, même isolées, consistent à assassiner des enfants non-juifs pour en prélever le sang.

Ça ferait désordre.

Les médias étant sous la coupe des juifs – TPMP en tête puisque c’est la tribune du juif Hanouna -, ils réagissent comme réagissaient d’ordinaire les juifs quand un de leurs frères se faisait prendre dans une affaire de ce genre : en hurlant à l’antisémitisme et à cruauté aveugle des goyim.

Il existe une autre affaire du même genre, celle de Damas. Là-bas, en 1840, les juifs exécutèrent rituellement un Chrétien, Tommaso da Calangiano. L’affaire prit une tournure internationale, la juiverie mondiale se déchaînant pour protéger les juifs à l’origine du meurtre, faisant plier les chancelleries d’Europe et exfiltrer tous les coupables.

Tel était déjà le pouvoir des juifs sur les états européens il y a deux siècles. Pourquoi s’étonner qu’en 2023, ils puissent mobiliser les USA et l’UE pour une nouvelle guerre mondiale.

Ces juifs et leurs associés dans l’infamie ont les plus grandes difficultés à canaliser les informations à cause des réseaux sociaux et de l’internet.

Quand vous entendez parler d’abolir l’anonymat sur l’internet, vous avez affaire à des agents qui ont commerce avec les juifs pour faire leur volonté sur ce front où ils reculent partout.

Autrement dit, les gens qui aident les juifs à vouloir abolir l’anonymat travaillent activement à la couverture de leur infâme pratique millénaire. La question qui se pose, c’est pour quel prix ?

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