Gavés comme des oies : Macron évoque la religion de l’holocauste pour justifier l’effroyable Grand Remplacement

La rédaction
Démocratie Participative
06 décembre 2022

Matin, midi et soir : les maniaques juifs et leur larbin nous harcèlent avec leurs jérémiades de mythomanes

Vous reprendrez bien une large louche de rééducation politique juive, n’est-ce pas ?

Nous revoici en 1944.

BFMTV :

Emmanuel Macron s’est déplacé ce lundi à Aix-en-Provence, dans les Bouches-du-Rhône, pour y animer une nouvelle séquence du Conseil national de la refondation, consacré cette fois à l’éducation. Avant ça, il s’est rendu au Camp des Milles pour y commémorer les dix ans de l’installation d’un mémorial dans ce camp d’internement des Milles. Il a dénoncé à cette occasion les crimes de « l’Etat français » de Philippe Pétain.

Le sigle désignant le Conseil national de la refondation, voulu et créé par Emmanuel Macron, fait directement référence au Conseil national de la résistance. Et le président de la République s’en est souvenu ce lundi au cours de son déplacement à Aix-en-Provence où il se déplaçait pour animer une réunion de « son » CNR consacrée à l’éducation dans un établissement scolaire de la ville.

Je n’étais même pas au courant de cette histoire de refondation de la France entre la poire et le fromage par Emmanuel Macron.

Sur la base du CNR gaullo-communiste, donc. Voilà qui est original. Faites le test, si vous parlez avec un vieux communiste, le CNR et la sécurité sociale arriveront sur la table dans les dix minutes.

C’est le marronnier de ces antifas.

Pourquoi les juifs et les marxistes n’innovent jamais ?

En prélude à ce rendez-vous au collège Jas-de-Bouffan, Emmanuel Macron s’est ainsi rendu à la mi-journée dans un site à la forte résonance historique: le Camp des Milles. Il s’agissait d’y commémorer les 10 ans de la création d’un mémorial dans cette ancienne tuilerie aixoise, devenue un camp d’internement et de déportation pendant la Seconde Guerre mondiale et sous l’égide de Vichy.

C’est un nouveau concept.

Vous créez un mémorial pour « commémorer » allez savoir quoi et ensuite, vous commémorez la création du mémorial.

La presse en fait des pages entières, ça fait plaisir aux juifs.

Insulter les Blancs fait toujours très plaisir aux juifs et Macron adore insulter les Français en général.

Il y a notamment averti: « Le régime de la collaboration continue de recruter des adorateurs et dispose toujours d’héritiers ».

Après avoir relevé la présence du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, à ses côtés, celui-ci a fixé l’objectif gouvernemental, à savoir se « battre encore et toujours contre ceux qui aujourd’hui encore portent des messages racistes, antisémites, anti-religieux ».

Emmanuel Macron a d’abord déclaré: « Ce passé advenu permet aussi d’écrire l’avenir. Car il ne tient qu’à nous de résister à ceux qui falsifient l’histoire, feignent d’adopter la République tout en trahissant ses valeurs« .

C’est adressé au RN à mots couverts.

Ils les traitent de pétainistes camouflés.

J’ignore pourquoi, Marine Le Pen courtise en permanence les juifs et n’a pour seul programme que de donner beaucoup d’argent aux DOMTOM.

« Ici, aux Milles, la France a été telle qu’elle ne doit plus jamais être. Si nous sommes ici 80 ans après la déportation des juifs du Camp des Milles, c’est pour dire que notre Nation doit être la voix de l’humanisme, de l’État de droit, du refus de la haine, le régime de la collaboration continue de recruter des adorateurs et dispose toujours d’héritiers », a-t-il ajouté.

« Sachons ouvrir les yeux devant la montée de la xénophobie et de l’antisémitisme. Tendons l’oreille aux résurgences du racisme », a-t-il encore appelé.

Je ne sais pas où vit ce type.

Théoriquement à Paris, puisque l’Élysée est à Paris. Cette ville est remplie de Noirs, d’Arabes et de rats.

Rien qu’en face du palais de Philippe Égalité, actuellement occupé par le Conseil d’État d’Arno Klarsfeld, un village africain est désormais installé, dans l’indifférence totale du gouvernement républicain.

📸 1/ Quelque 350 migrants, pour la plupart des primo-arrivants jeunes dont l’Etat n’a pas reconnu la minorité, dorment dans un campement sur une place en plein #Paris, entre le musée du Louvre et le Conseil d’Etat, qui statue sur les recours entrepris par ces exilés. pic.twitter.com/628nTO52Sv

— InfoMigrants Français (@InfoMigrants_fr) December 5, 2022

De quel racisme endémique peut bien parler Macron ?

« Ne soyons jamais dupes des habits neufs que ces mêmes idéologies de division adoptent pour nous leurrer et répétons avec force contre les silences, les omissions, les compromissions que les victimes étaient les juifs, que leur seul crime était d’être juif, que leur assassinat n’avait d’autre mobile que la haine des juifs », a ajouté Emmanuel Macron.

J’imagine qu’il parle de cette idée biscornue que les juifs appellent l’holocauste selon laquelle six millions de juifs auraient été étouffés avec du produit antipoux dans une pièce en Pologne et que c’est arrivé sans raison, comme ça.

C’est marrant comme truc pour dire qu’Adolf Hitler est méchant, mais on est quand même pas obligé d’y croire dur comme fer non plus, uniquement pour que ces juifs se sentent mieux pendant 24 heures.

En quoi le bien-être nerveux des juifs nous concerne, d’ailleurs ?

C’est absurde.

De toute façon, le lendemain, ils redeviennent aussi hystériques que la veille parce que ce peuple est mentalement atteint.

Autant dire les choses à ces juifs et les envoyer chier, c’est plus simple pour tout le monde.

Ce dernier a d’ailleurs souligné nommément la responsabilité des dirigeants français de l’époque dans l’horreur: « Le camp des Milles, ce furent les crimes de l’État français ». Le chef de l’Etat a encore estimé que « la France aux mains de Pétain et Laval s'(y) (était) perdue » en « raturant les principes de 1789 ».

Ce qui nous ramène à Philippe Égalité, le grand-maître du Grand Orient à l’origine de l’émeute de la Bastille où quelques centaines d’ivrognes fanatisés ont assassiné le gouverneur de la place.

Le truc devait finir en farce hébraïque truffée de nègres.

C’est marrant que ces cafres campent en bas de chez lui, 233 ans après.

« La situation devient chaque jour plus urgente » : Plus de 300 jeunes exilés campent devant le Conseil d’État pour réclamer leur mise à l’abri. « On fait au mieux, on accepte jusqu’au jour où on pourra mieux dormir. »

Reportage de @Yunnes_Abzouz 👉 https://t.co/HxfihMvItK pic.twitter.com/uLItfHh9HA

— Mediapart (@Mediapart) December 3, 2022

Enfin, ironique, disons.

« C’est aux Milles que (la République) connut, comme au Vél-d’Hiv, l’un de ses plus complets parjures », a posé le président de la République devant ce site « nous rappelant qu’il y eut sur notre sol des camps ». Emmanuel Macron a relevé que le Camp des Milles était la preuve que « la déportation s’est (aussi) organisée » dans la zone que « le régime du maréchal Pétain administrait alors en son nom ».

Justement, puisque Macron est bavard dès qu’il est question des juifs, pourquoi n’a-t-il pas encore inauguré un mémorial sur le génocide perpétré par le régime républicain en Vendée, quelques mois après sa fondation, en septembre 1792 ?

Ce génocide-là est réel, lui. Et documenté.

Si les juifs n’ont jamais pu sortir un seul ordre d’Adolf Hitler à propos de leur chambre à gaz magique, nous avons tous les ordres quotidiens du gouvernement républicain mettant en oeuvre le génocide des habitants de la Vendée.

Femmes, enfants, vieillards, 200,000 personnes éradiquées en quelques mois pour assurer la victoire des droits de l’homme.

Macron devrait répondre à ce sujet, lui qui parle de république immaculée.

« Le camp des Milles n’était pas un accident de l’histoire mais le fruit d’un glissement délibéré vers le crime », a poursuivi Emmanuel Macron, avant de noter que « les juifs furent les victimes délibérées de l’État français ».

« Ici se sédimente chaque renoncement, chaque faute, chaque crime des autorités françaises », a-t-il continué.

Saluant l’action du mémorial – dont il a jugé qu’il « restitu(ait) un climat politique », démontant « les ressorts de l’entreprise génocidaire », il a à nouveau fait le lien avec notre temps: « Il dit pourquoi les mêmes causes produisent les mêmes effets dans d’autres lieux à d’autres époques ». « L’antisémitisme, le racisme, toute forme de rejet porte en elle l’anéantissement de toute humanité, comme la nuée porte en elle l’orage », a-t-il conclu.

Le seul génocide actuel, c’est celui contre les Blancs perpétré par les juifs grâce à l’arme de l’immigration de masse, la diabolisation de la race blanche au nom de l’antiracisme et, effectivement, la religion factice de l’holocauste destinée à justifier ce génocide contre les Blancs.

L’auteur Vincent Reynouard en a longuement parlé, ce qui lui vaut les pires persécutions par le régime de Macron, marionnette des juifs.

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