Gard : un couple héroïque de commerçants préfère fermer temporairement leur boulangerie plutôt que de céder au harcèlement terro-sanitaire de la police

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 novembre 2020

Antoine Chaparra et Béatrice Trocmé sont des héros de la liberté

Je suis admiratif.

France 3 Occitanie :

Ce dimanche matin, Antoine Chaparra et Béatrice Trocmé ont découvert une surprise sur la devanture de leur boulangerie. Une banderole « La Fougasse Libre » trône désormais fièrement au-dessus de la porte d’entrée. « Quelqu’un a dû l’afficher dans la nuit », sourit le commerçant.

L’histoire de ce couple, qui a ouvert « La Fougasse d’Uzès » il y a cinq ans, n’est pas passé inaperçue dans le quartier. Fermement opposés au port du masque, les deux gérants avaient décidé de s’en passer dans leur boutique, tout comme la majorité de leurs vendeurs. Mais face aux critiques sur les réseaux sociaux et aux dénonciations, ils ont préféré baisser temporairement le rideau.

Le magasin ne rouvrira ses portes que le 4 janvier prochain.

Renaud a peut-être écrit une seule chanson à peu près correctement quand il disait que la France était un pays de flics.

Les mouchards sont les pires du lot, ceux sans lesquels les flics seraient aveugles. Les flics ont au moins l’excuse du salaire tandis que ces informateurs font du zèle en prenant plaisir à ruiner la vie des autres.

Je suis prêt à parier le prépuce de Bernard-Henri Lévy précieusement conservé à la synagogue de la Victoire que ces dénonciateurs sont majoritairement des femmes de plus de 60 ans qui votent pour Emmanuel Macron.

Béatrice Trocmé est très fière de son établissement : « Il n’y a pas de comptoir entre les clients et les vendeuses. Tout est organisé pour que les gens soient en contact. Avec Antoine, nous avons toujours rêvé d’un lieu convivial, basé sur le service, l’accueil et le contact humain« , explique-t-elle.

Ainsi, dès le premier confinement, il était impensable pour le couple de casser l’ambiance chaleureuse qu’il avait réussi à créer.

« Si nous avons décidé de ne pas porter le masque, ce n’est pas pour une question de militantisme, c’est une question de bon sens. Nous n’aurions pas été nous-mêmes si nous le portions. »

L’initiative des deux gérants a été très suivie par les vendeurs. Parmi eux, quasiment personne ne porte le masque. « Je n’ai pas été forcée : je suis aussi contre le masque et c’est mon opinion personnelle« , explique Emilie Souro, vendeuse.

Désolé, goy, mais dans la République du Charlistan, la liberté de conscience est réservée à l’avant-garde de la République à laquelle on appartient par la mère.

Le 27 octobre dernier, deux jours avant la fermeture de la boutique, la salariée a été verbalisée par la gendarmerie, tout comme deux autres employés.

Le plus vieux métier du monde

« Ils m’ont demandé pourquoi je ne portais pas de masque. J’ai répondu que c’était mon choix. Quand ils m’ont dit que c’était obligatoire, j’ai expliqué que j’étais libre et ils m’ont verbalisée. Je vais m’acquitter de l’amende, car je l’assume. »

Ces gens sont formidables.

Ils bravent le Great Reset en dénonçant ouvertement l’imposture qu’est le port du masque.

Si le masque empêchait de contracter le judaïsme, cela se serait su depuis le temps.

Tout le monde a oublié qu’au mois de mars dernier, le gouvernement appelait la population à ne surtout pas porter de masques.

A présent, le même système traque les commerçants pour le leur imposer au nom de la lutte contre le Rhume19.

Dernièrement, Antoine Chaparra et Béatrice Trocmé assurent avoir été la cible de très nombreux commentaires négatifs sur la toile. « Tout se passait bien avec nos clients et puis d’un coup, on a été complètement cassé sur les réseaux sociaux. Toutes les remarques portaient sur le masque et pas sur nos produits. » Ces dernières semaines, les patrons de la boulangerie ont également reçu des visites régulières de la police et de la gendarmerie.

On nous dénonçait quotidiennement à la mairie, à la police municipale ou à la gendarmerie et tout ça nous remontait aux oreilles.

J’en arrive presque à souhaiter que le Great Reset soit mis en place, simplement pour voir ces gens agoniser de faim. Vraiment.

Ces gens méritent ce que le système leur réserve.

Le couple indique en revanche qu’il a pu compter sur le soutien d’une partie de sa clientèle. Et il suffit d’aller faire un tour dans le quartier pour s’en rendre compte. « Je les comprends ! On en a tous ras-le-bol », réagit une riveraine. « Ils ont fait un choix, ils sont libres. Et pour ma part, ça ne m’a jamais empêchée d’y aller », soutient une autre habitante d’Uzès.

D’autres sont plus partagés. « Je n’avais même pas remarqué qu’ils ne portaient pas le masque. Mais je crois que les commerçants devraient montrer l’exemple, surtout quand ils ont la chance d’être considérés comme des commerces essentiels », défend un habitué de la boulangerie, déçu de voir la voir fermée.

Cette fermeture justement coûtera cher aux propriétaires : 35 000 euros de coûts salariaux pour deux mois. « Nous ne pensions pas fermer et ça va être compliqué financièrement et émotionnellement », explique Béatrice Trocmé. « Mais tant pis, nous préférons rester droits dans nos bottes et en accord avec nos convictions. »

Ce couple incarnent les véritables héros du quotidien.

Contrairement aux infirmières TikTok.

N’hésitez pas à féliciter et encourager ces commerçants en leur envoyant un email (sous pseudo, email crypté et VPN) :

[email protected]

Ces gens sont harcelés par des Boomers radicalisés et les flics, ils ont besoin d’être soutenus moralement. C’est grâce à ce genre de sacrifices personnels qu’il reste encore un espoir de ne pas basculer dans la tyrannie néo-communiste totale.

Si vous êtes de la région d’Uzès, n’hésitez pas non plus à aller y acheter du pain au mois de janvier prochain, quand le commerce rouvrira.

Il est également temps de désigner à la vindicte populaire les mouchards qui s’en prennent aux gens qui défendent la liberté et de les confronter.

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