France-Turquie : les turcs sifflent les migrants français

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 juin 2019

 

Les djihadistes turcs ont logiquement conspué l’équipe de tirailleurs ouest-africains assemblés par la France pour affronter la sélection nationale turque qui est effectivement une sélection nationale.

Les Français dans leur globalité sont scandalisés d’être humiliés comme des sous-hommes après avoir livré leur pays aux juifs, aux fiottes, aux féministes et aux nègres.

C’est un sentiment que je ne partage pas.

Je ne vois comment quelqu’un peut exiger d’être respecté à l’étranger quand il n’a aucune espèce d’estime de lui-même et qu’il s’abaisse au point de laisser ses femmes se faire sauter par des nègres.

Se solidariser de cette équipe de mulâtres revient à soutenir le principe d’une France négrifiée des pieds à la tête parce que « Ma-Ma-Marseillaise ».

La Marseillaise est périmée.

Tout comme le drapeau tricolore.

Tout ça n’a plus aucun sens sauf, désormais, celui de notre propre avilissement. Se complaire avec les symboles de l’échec n’aboutit qu’à rester prostrés.

A ce rythme, dans un siècle, la Turquie sera racialement supérieure à la flaque de sang mulâtre que l’on nommera la France. On peut même penser qu’Ankara exercera plus d’influence sur les destinées de la France que Paris elle-même.

Les turcs sont fiers de la nation qu’ils ont créée. La question n’est pas de savoir si cette fierté est fondée ou non. Une nation sans fierté est une nation bonne pour le cimetière de l’histoire.

Si la France renvoyait une image de force et d’honneur, même ces turcs se seraient tenus tranquilles. Mais la France ne renvoie que l’image d’une démocratie femelle tombée dans l’escarcelle des juifs et qui se fait désormais engrosser par l’Afrique.

Au sens propre.

Je regrette simplement que les turcs n’aient pas jeté des bananes à cette équipe.

D’ailleurs, la FFF est devenue l’instrument le plus redoutable entre les mains du gouvernement d’occupation pour promouvoir la tiers-mondisation raciale du pays.

La droite réactionnaire est condamnée à réagir stérilement face à l’inanité d’un état post-national avec lequel les Français de race blanche conscients d’eux-mêmes n’ont plus aucun rapport, si ce n’est administratif.

Pour tout dire, l’attitude de ces Lepénistes qui nous convoquent pour défendre cet aréopage négroïde m’indispose bien plus que ces turcs.

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