France : Officiellement 27% de naissances non-blanches en 2016, en réalité 40%

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
31 août 2017

 

La démographie, c’est le futur. C’est pour cette raison que nous voyons avec 30 ans d’avance ce que les bulots du quotidien ne voient pas.

Fdesouche a publié une synthèse réalisée par l’INSEE du nombre officiel – donc truquée – du nombre d’enfants nés d’au moins un parent extra-européen. Le résultat est sans appel : 27% en 2016.

Ce chiffre est trompeur et je dois immédiatement le corriger.

Il y a en 2016, selon l’INSEE, 27% des enfants qui sont nés d’au moins un parent né hors d’Europe. Ce qui exclut de facto les immigrés extra-européens dits de « seconde génération », c’est-à-dire les enfants d’immigrés nés en France à partir des années 60.

Ceux-là ont effet bénéficié du droit du sol et sont donc, au plan administratif, des français de papiers. Ils ne sont donc pas comptabilisés comme « nés à l’étranger » et nos lecteurs doivent donc avoir à l’esprit qu’une énorme part des naissances rapportées ne sont pas, de ce seul fait, considérées comme d’origine étrangère.

Méditez là dessus : tous les fils d’immigrés des années 60, 70 et 80 ne figurent pas dans la catégorie « nés à l’étranger » dans ces chiffres de 2016. Mais ils représentent une part énorme de l’immigration.

Aux 27% d’origine allogène s’ajoutent donc un nombre colossal de nouveaux-nés dits de « troisième génération ».

Je veux aussi souligner le fait qu’un nombre significatif de mulâtres d’Outre-Mer pullulent en métropole et qui ne sont pas davantage considérés comme des allogènes.

Si l’on recoupe les chiffres de l’INSEE avec ceux du dépistage de la drépanocytose que vous connaissez sûrement, nous pouvons confirmer le chiffre suggéré jusqu’à présent. En l’occurrence, 40% cette année :

Entre 2020 et 2025, la majorité des naissances sera extra-européenne. Cette évaluation me semble correcte et indirectement confirmée par les chiffres de l’INSEE.

Pour mettre en perspective ces chiffres, le Royaume-Uni se situe actuellement à 75% de naissances blanches (RU+UE). Ces chiffres sont établis sur une base ethnique par le gouvernement, à la différence de la France dont la situation est bien plus grave à ce stade.

Maintenant, cela appelle plusieurs observations.

Premièrement, ces chiffres font état d’une situation raciale et religieuse très grave. Mais, précisons d’emblée que 10 millions de Blancs de souche française dirigés par un gouvernement ultra-nationaliste seraient en mesure de tenir en échec 30 ou 40 millions de nègres ou de musulmans, exactement comme Israël parvient à tenir en échec 300 millions d’arabes avec ses 6 millions de juifs.

Ceci étant dit des pans entiers de France – pour ne rien dire des autres pays ouest-européens – seraient perdus, du moins pendant un temps.

Deuxièmement, il en résulte deux leçons fondamentales :

  • La démocratie est le système qui permet aux masses de nègres et de musulmans de conquérir la France et l’Europe sans combattre, par la seule loi du nombre
  • Aucun rétablissement de la situation ne pourrait advenir sans une solution d’ensemble qui ne sera pas discutée ici dans le détail

Troisièmement, il faut se défier d’un effet d’optique. Ces naissances donnent une photographie du remplacement de population, de la colonisation arabo-africaine de la France d’ici à 30 ans sur une génération donnée. Mais, au quotidien, cela n’intègre pas les immigrés déjà présents et naturalisés, les immigrés « légaux » – présents et futurs – ni les clandestins. Cela n’intègre pas non plus les éléments métis.

Bref, bien avant que les 51% des nouveaux-nés allogènes ne deviennent adultes, en 2045, la foule des allogènes non-européens se sera déjà amassée dans des volumes énormes partout, surtout dans les grandes métropoles et régions exposées à la colonisation. L’impression « subjective », une fois les zones rurales peu ou pas colonisées écartées, sera absolument dantesque.

La majorité absolue ne dépend donc pas dans l’absolu des naissances mais de la totalité du nombre d’allogènes présents.

Mon approche des choses

Ma vision des choses – ce n’est que la mienne – est que les débats autour du Front National, des élections ou du souverainisme comme stratégie sont une grave perte de temps, voire un leurre dangereux. Nous ne devons plus perdre de temps avec ces thématiques ou tactiques qui ont démontré leur stérilité.

Nous devons nous focaliser sur le seul fait qui compte : la révolution démographique en cours. Et donc parler de race et de religion, la bannière de l’islam étant l’étendard politique de l’invasion arabo-nègre. Bien sûr, on trouve des évangélistes congolais ou des maliens animistes, mais cela n’a aucune capacité d’entraînement sur les masses blanches.

Nous devons raisonner et agir dans un cadre blanc/occidental et non pas/plus hexagonal ou même ouest-européen. Ce sont les populations blanches en leur entier qui sont menacées d’éradication. D’une certaine façon, un certain nationalisme cocardier empêche de comprendre cette réalité et poussent certains à sombrer dans le chevènementisme en voulant défendre l’instance (l’état) et non la substance (le peuple).

En conséquence, je pense que la constitution de bases arrières est absolument nécessaire pour sécuriser nos opérations financières ou numériques ultérieures. Ces bases arrières sont de même nature que celles utilisées par De Gaulle à Londres, en Afrique ou en Algérie lors de l’occupation (la comparaison est ici exclusivement technique). Dans le même temps, nous devons avoir une présence partout où cela est possible dans les zones blanches métropolitaines.

Nous devons être radicaux quant à nos buts stratégiques et très flexibles quant à notre approche tactique. Ce qui suppose de rechercher des appuis partout, en Europe ou ailleurs dans le monde blanc, sans se soucier de questions périphériques qui sont autant de pièges. Comme « l’anti-impérialisme » tiers-mondiste habituellement manipulé par des entités ennemies.

Nous devons nous poser cette question en tout : « Est-ce dans l’intérêt des Blancs ou non ? ».