France 2 : Alex Hugo, le flic qui lutte contre les Blancs qui se croient chez eux en France

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 septembre 2019

En France, un Blanc moral est un Blanc qui détruit son peuple par tous les moyens

Cette république juive n’a vraiment rien à envier aux démocraties populaires du Bloc de l’Est.

La télévision d’état n’est plus que l’instrument de la juiverie dans sa guerre d’éradication menée contre la race blanche en France. Si c’était larvé jusqu’ici, c’est désormais ouvert.

La police républicaine, magnifiée dans sa croisade pour le salut des négrillons déversés en France depuis partout.

Je ne sais pas si tous les flics se retrouvent dans le rôle de ce Cédric Herrou en uniforme. Cela ne me surprendrait pas. Rien ne me surprend en France, cet asile à ciel ouvert.

Permettez-moi d’observer que c’est encore un Breton qui tient le rôle du flic négrophile, à savoir Samuel Le Bihan. C’est peut-être le seul point réaliste de tout le scénario.

Le reste relève de la pure science-fiction.

Comme cette scène.

Que c’est cringe.

Le flic, possédé d’une rage sacrée, mettant virilement à l’amende des Blancs présentés en démons sous forme humaine, leur rappelant que la vocation des frontières françaises est d’être ouvertes à la natalité débordante de la négraille du Niger et du Congo.

C’est la première fois que je vois cette télé judéo-socialiste faire dans la glorification d’une police autoritaire. C’est d’habitude un interdit doctrinal.

Il faut quand même voir que cet immigrationnisme total était la position folklorique de Besancenot il y a dix ans. Même le Parti Socialiste n’osait pas aller si loin, de peur de se discréditer. Il y a une décennie, il y avait encore suffisamment de bon sens commun pour que les gens conviennent qu’il fallait un genre de limite à l’immigration. Ne serait-ce que pour des raisons matérielles.

Depuis, le système s’est radicalisé.

Un zèle religieux s’est emparé de la gauche millénariste. Un zèle juif.

La totalité de la presse a adopté comme principe cardinal le droit inaliénable de la planète à venir manger et chier en France aux frais des Blancs.

Les nègres débarquant de partout sont présentés comme des libérateurs du joug blanc par les quelques 37,000 journalistes qui sévissent en France.

D’ailleurs, ces terroristes de rédaction vont jusqu’à les loger chez eux.

La télévision d’état le proclame clairement : la raison d’être de la police française est de violer la loi pour faire advenir le communisme marron sans-frontiériste.

C’est du trotskisme pur et dur.

La république française doit être le premier état de la planète à officiellement appartenir à la 4ème Internationale. Après tout, c’est en France qu’elle a été fondée en 1938.

C’est dans l’ordre des choses que la patrie du marxisme finisse dans un bain de nègres et de juifs.

Staline avait des défauts mais le Géorgien ne s’est pas trompé sur le compte de cette vipère de Lev Bronstein. L’URSS n’a pas fait assassiner assez de trotskistes.

Dans cette France juive, les institutions ne retrouvent un semblant de vigueur et d’allant que lorsqu’il s’agit de tourmenter ou d’insulter des Blancs, d’avilir le Français de race totalement. Le reste du temps, elles se décomposent mollement, indifférentes à tout.

La seule passion qui traverse ce corps putréfié avec la même intensité que sa passion du nègre et le culte du métèque est la haine pour tout ce qui est blanc, européen. C’est un concours de cruauté. L’imagination des Français zombifiés, irriguée de venin sémitique, boue littéralement.

Cette haine démocratique pour tout ce qui est vertical me donne d’instinct la nausée et je dois dire que nombreux sont les Français zombifiés à aimer se rouler dans les chiures de ce caniveau.

C’est pour ça que la moyenne de la populace en France est la seule dans le monde à être réellement, intimement de gauche : pour être de gauche, il faut aimer être un porc dans sa bauge, se délectant de baigner dans ses propres excréments, se pourléchant de ses fèces. La gauche, l’autre nom du m’en-foutisme hexagonal.

Il faut également être habité d’une pulsion de mort, une envie de suicide collectif.

C’était d’ailleurs la vocation de Charlie Hebdo.

Je jubile encore à l’idée de savoir que tous ces fils de pute de cocos se grattant ostensiblement les couilles aient été alignés à l’AK-47 par les crouilles Kouachi.

Je n’ai qu’un regret : qu’il n’y ait pas de vidéo.

J’aurais tellement voulu cette vidéo.

L’œuvre artistique de Chérif Kouachi mérite une réévaluation historique

N’est-ce pas ironique que la Providence nous ait débarrassé de ces empoisonneurs rouges par la main de leurs potes maghrébins ?

C’est dans l’ordre des choses que des masos trouvent des sadiques pour assouvir leur désir de souffrance. Tant que des pauvres gens anonymes subissaient la violence afro-maghrébine, tous ces bourgeois trouvaient ce petit jeu de torture divertissant.

Tu lèves encore le poing, enculé ?

On ne défie pas les lois de la nature impunément. On finit toujours par trouver chaussure à son pied. Ces marxistes post-chrétiens devaient se faire défourailler par des musulmans. C’était inscrit dans leur karma.

C’est dans ce contexte que le raciste blanc qui se dresse face à cette meute vile, possédée de nihilisme sémitique, suscite la haine de ces masses hypnotisées par la presse juive.

Nous, les racistes, sommes ceux qui disons « non » à ces bourgeois de gauche qui veulent nous faire torturer par des crouilles et des nègres avant de finir égorgés au fond d’une fosse commune.

On gâche leur fête, en quelque sorte.

Pour ma part, j’adore pisser ostensiblement dans le mousseux de ces pervers que sont les gauchistes.

Au fond, je comprends les arabes qui bolossent ces lopes : comment ne pas vouloir torturer des gens qui n’ont aucune dignité et qui font de leur déchéance une religion à laquelle ils ordonnent au prolétariat blanc de se soumettre ?

C’est une façon de se démarquer, de dire non à l’ignoble.

Quiconque a encore une étincelle d’humanité en lui souhaite le pire à de telles ordures.

Avant de discuter du futur, il faut déjà préparer le présent.

Incendier cette république est la seule chose à faire avant de songer au reste.

Plonger cette bourgeoisie insolente, digérante, dans le désespoir le plus absolu, lui rendre l’agonie la plus douloureuse possible : voilà un programme révolutionnaire.

La table rase.