Françafrique : un Bac +3, 30 minutes d’entretien et vous voilà prof

La rédaction
Démocratie Participative
31 mai 2022

 

La France s’effondre à vue d’oeil comme état fonctionnel.

Je ne force pas le trait.

Enseigner dans les zones grand-remplacées – c’est-à-dire dans les villes de 20,000 habitants ou plus – est devenu absurde. Face aux désertions qui se généralisent, le ministère de Pap Ndiaye prend n’importe qui avec un Bac +3.

Le non-dit du reportage, c’est que ces Blancs devront ensuite assurer la surveillance du zoo islamo-africain qu’est une école dans n’importe quelle grande agglomération française.

Quoi qu’en dise Macron, l’affaire Samuel Paty a définitivement fait passer ce ministère sous la coupe des barbus. Un seul mot de travers sur l’islam et c’est la fin pour l’impétrant.

Enseigner quoi que ce soit à des allogènes à 70 points de QI, en dehors de quelques sourates, est impossible. Du coup, il suffit d’avoir quelqu’un dans la classe pour compter les absents.

Et la haine du Blanc prévue au programme par les trotskistes du ministère.

C’est une bonne chose, car les profs sont très majoritairement des femmes blanches de gauche qui militent pour que les hommes blancs soient réduits en esclavage par des noirs et des arabes. Sans parler du fait que le ministère de l’Éducation Nationale est la matrice du bolchevisme hexagonal depuis un siècle.

Même Ndiaye n’y pas ses rejetons.

La chute de la France va s’accélérer avec la catastrophe cognitive qu’est l’immigration non-blanche et la banalisation du smartphone.

Je le vois avec des Blancs de moins de 30 ans : ils sont de plus en plus manifestement illettrés. Ils ne connaissent même plus le c cédille et écrivent « ça » avec un s, « sa » voire « ssa ».

C’est effrayant.

Il faudrait couper les mains des gens qui écrivent « ça » avec un s.

Commentez l’article sur EELB.su