« Fils de pute de Français, vous nous avez colonisés, on va vous niquer vos mères » : un Français pris à partie par des métèques dans le métro, personne ne bronche

Captain Harlock
Démocratie Participative
29 janvier 2020

 

Voilà une embrouille typique qui arrive au quotidien à un nombre incalculable de Français (de sang j’entends).

[Insérer le fait que Macron va reconnaître la colonisation de l’Algérie comme un crime contre l’humanité sur le modèle de l’Holocauste]

Voilà un exemple de ce qu’est la vie banale d’un Français de souche dans une société où règne le privilège blanc.

La règle, en matière de guerre, c’est de n’engager une bataille que si l’on est certain de pouvoir la gagner. Sauf à être acculé à l’affrontement.

Ce gars a eu raison de prendre sur lui en dépit du fait que les deux sous-hommes en question méritaient à l’évidence un traitement expéditif. Une réaction impulsive n’aurait pas pu se conclure positivement dans un espace confiné avec des caméras partout.

L’oeil de ZOG.

Je connais assez d’hommes fiers qui en pareil cas ont préféré tenir leur rang et cogner mais se sont retrouvés dans des emmerdes sans fin, les rats agresseurs devenant les victimes grâce au soutien des tribunaux marxistes.

Le contexte est toujours déterminant.

Ceci étant dit, vous aurez toujours des camarades qui préféreront punir le rat qui franchit la ligne rouge.

Ce système est intégralement conçu pour soumettre l’homme blanc et en faire l’esclave de l’Etat pro-métèques et des métèques eux-mêmes. Bien évidemment, plus vous rampez, plus les métèques vous méprisent et poussent leur avantage.

La spirale infernale du cosmopolitisme.

Les nègres et les maghrébins ne sont pas à blâmer : après tout, il est dans l’ordre des choses que ces sous-races soient des sous-races. Qui blâmerait une hyène d’être une hyène ?

L’attitude des bourgeois blancs soumis tout autour de ce Français est beaucoup plus intéressante. C’est ce qui explique tout le discours antiraciste et la culture de l’excuse qu’adoptent ces lâches au plan institutionnel et politico-médiatique : ils cherchent des excuses pour se planquer sans perdre la face.

Et les plus obséquieux d’entre eux se rangent aux côtés des envahisseurs pour noyer leurs frères de race.

Cette soumission s’explique par une seule chose : la peur de la violence des allogènes.

Partout et en tout temps, c’est la violence qui fonde le droit. Le dernier bourgeois démocrate antiraciste fermera toujours sa gueule devant un homme capable de lui écraser le crâne à mains nues. C’est la règle de l’histoire : les faibles n’ont pas de droit sur cette terre.

On ne peut pas aborder la politique, et en fait tout ce qui touche à l’ordre humain, sans comprendre cette vérité élémentaire.

Mieux vaut être le boucher que le veau.