Face à la pression antisémite, YouTube rétablit la chaîne de Soral au grand dam des conspirateurs juifs

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 juin 2018

Rebondissement.

Le Monde :

Le principal intéressé l’a annoncé lui-même sur son compte Twitter jeudi 7 juin : Egalité & Réconciliation (ERTV), la chaîne YouTube de l’essayiste d’extrême droite Alain Soral, condamné la semaine dernière à deux peines d’emprisonnement avec sursis pour provocation à la haine, est de nouveau disponible.

La chaîne, qui compte environ 100 000 abonnés, avait été fermée deux jours plus tôt à la suite d’un troisième avertissement en trois mois pour « non-respect du règlement de la communauté » des youtubeurs. Une vidéo mise en ligne sur ERTV avait fait l’objet d’un signalement, selon un message de YouTube, cité sur le site d’Alain Soral, qui mentionnait explicitement l’« incitation à la haine ou à la violence ».

Il semblerait que YouTube soit revenu sur sa décision. Sur son site Egalité & Réconciliation, Alain Soral partage une capture écran d’un e-mail attribué à la plateforme de vidéo qui jugerait finalement le compte de l’essayiste « conforme à [ses] conditions d’utilisation ». Sollicitée par Le Monde, YouTube n’a pas encore réagi.

Les juifs ne sont pas à la fête.

Nous ne laisserons pas faire ça. @YouTube et @Google doivent mettre un terme à cette mascarade cynique consistant à offrir l’exil aux fauteurs de haine raciste et antisémite. Il est urgent de mettre en place ce une régulation efficace des contenus haineux! https://t.co/0IBzRaZ61N

— LICRA (@_LICRA_) 8 juin 2018

Ils n’ont d’ailleurs pas tarder à pousser l’agression jusqu’à Paypal qui, effectivement, continue de permettre à E&R de fonctionner.

Bonsoir @PayPalFrance ça vous fait quoi d’être le partenaire de @AlainSoralOffic @EetR_National et toucher votre petite commission au passage ? Vous n’avez pas honte de vous faire du blé grâce à des antisémites !? pic.twitter.com/NEtamLwPAz

— LICRA (@_LICRA_) 8 juin 2018

Dans le même temps, la juiverie a annoncé mettre en place, en plus de la DILCRAH opérant déjà pour le compte du gouvernement d’occupation, une organisation de surveillance du bétail goy.

Ces juifs, se pensant désormais définitivement les maîtres en France, entendent bolcheviser l’état à marche forcée. Mais ces juifs commettent une erreur d’appréciation : leur pouvoir ne repose plus que sur le mince fil de gardes mobiles qui protègent leur quartier général.