#ExtinctionRebellion : le milliardaire juif George Soros lâche ses chiens écolo-gauchistes enragés sur Paris

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 octobre 2019

Les anarcho-communistes ont résolument décidé de se peindre en vert pour donner libre cours à leur soif de destruction.

Leur dernier machin en date, c’est #ExtinctionRebellion. En résumé, les rouges prétextent de l’apocalypse climatique pour instaurer sur le champ la collectivisation et la sodomie d’état.

Et ça larpe à fond.

« Pour l’honneureuh des travailleureuh ! »

Tous ces « travailleurs » fils de profs n’ont qu’un but dans la vie : devenir fonctionnaire à 35 heures et faire la révolution en RTT.

La faune microbienne gauchiste à l’état pur : des porte-manteau dégarnis aux cheveux gras, des trotkistes à barbichette et lunettes rondes, des demi-boudins hystériques pour qui le refus dogmatique de l’épilation du pubis est plus importante que l’autogestion, des anars aux dents jaunâtres sous shit, des gras du cul antifas abonnés au MacDo, des zadistes qui se lavent le gland à la bière tiède, des anticapitalistes le nez vissé sur leur iphone.

Plus l’odeur.

Quel être humain, après avoir vu ces mains en forme de cœur, n’a pas envie d’écraser leurs gueules d’ahuris sous les chenilles d’un panzer ?

Et bien sûr, à Bordeaux, ces maudits Espagnols rouges avec leur drapeau républicain de merde.

Ces cons pensent renverser la finance en faisant la fête dans un centre commercial sans même se demander qui donne les ordres.

Les gauchistes blancs sont vraiment finis à la pisse.

Mais (((qui))) peut bien être derrière ?

Comme tous ces machins ad hoc qui utilisent le spontanéisme spectaculaire, ce sont des produits du marketing juif international. #RebellionExtinction n’échappe pas à la règle.

C’est financé par le milliardaire juif Soros.

On retrouve également le businessman Joseph Corre qui est accidentellement d’origine juive séfarade.

Il a notamment créé une marque de lingerie dont le nom veut tout dire : « agent provocateur ».

Ces juifs adorent signer leur crime, c’est leur arrogance qui les y porte.

Parmi les joyeusetés à mettre au compteur de ces idiots utiles, l’interdiction faite à un fils de voir son père mourant à l’hôpital au motif que cela gênait leur barrage sur la route.

Autre plan de ce groupe, interrompre le trafic aérien de l’aéroport de Londres en saturant les pistes de drones.

C’est très marrant parce que les gouvernements ne peuvent rien dire sur le fond.

Après avoir martelé depuis des années que nous allions gagner 10 degrés d’ici à 2023 pour multiplier les taxes, ils ne peuvent pas se dédire en disant que, finalement, ce n’est pas si urgent que ça.

Macron en a récemment fait l’expérience avec l’histoire de la taxe kasher sur la température.

Ces structures créées par la finance juive ne sont que des agents de recouvrement chargés de mettre la pression aux débiteurs. Si l’encaissement des taxes traîne de trop, les juifs envoient leurs chiens d’attaque pour donner plus d’allant aux démocraties.

Dans le pire des cas, on monte une révolution.

Ce truc n’a rien de nouveau dans sa conception. C’est le principe des révolutions de couleur qu’ont mis au point les ashkénazim de la CIA. Un logo, une idée simple, des mobilisations par réseaux sociaux pour allumer l’incendie, puis attiser les flammes.

En parallèle, les négociateurs de la finance font pression pour obtenir peu importe ce qu’ils veulent à ce moment-là et voilà.

La finance trotskiste change de masque, pas de méthodologie.

Les vrais Gilets Jaunes avaient d’ailleurs démarré si fort qu’ils avaient fait dérailler le numéro des « grèves du climat » consistant à mettre des branleurs improductifs de 16 ans dans la rue pour semer le chaos dans les pays occidentaux.

Depuis, les juifs ont repris la main.

Ils ont simplement mis des gilets jaunes à leurs gauchistes instrumentalités.

Quelle dystopie.