Explosée en rentrant seule, Clara répond que ça n’a « rien à voir avec l’ethnie »

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 octobre 2021

 

Je suis satisfait d’avoir des retours de lecteurs qui ont pris le temps de lire et de méditer ce que j’écris à propos de l’interdiction absolue d’aider des femmes blanches inconnues agressées dans la rue.

L’un d’entre eux m’a même récemment écrit pour me dire que je lui avais sauvé la vie. Après avoir pris le temps de réévaluer son attitude sur le sujet, il a subséquemment échappé au pire en se tenant à distance d’une situation où il aurait fini suriné s’il avait réagi comme le lui dictait son conditionnement de mec éduqué pour servir de boucliers aux traînées.

Ces femmes blanches se feront agresser encore et encore et même le visage tuméfié, elles ne penseront qu’à une chose : protéger les arabes et noirs.

C’est-à-dire répudier l’homme blanc.

Éduquez vos fils que vous voyez une fois tous les 15 jours!

ILS ETAIENT BLANCS!

Ils étaient peut-être blancs, même si ces Blancs étaient probablement des Blancs d’Algérie.

Peu importe.

Que ce soit ou non le cas, Clara est formelle : ce n’est pas une question d’ethnie.

C’est sa conclusion et c’est ce qu’elle veut faire savoir sur Twitter.

Sauf que Clara, une femme forte et indépendante qui sort seule à pas d’heure, sait parfaitement que la violence gratuite est corrélée à l’appartenance raciale. C’est pour cette raison qu’elle déplace immédiatement la discussion sur ce terrain quand quelqu’un lui demande à quoi ressemblaient ces agresseurs avant d’enchaîner en disant que ça n’a aucun rapport.

Si ça n’a aucun rapport, pourquoi Clara fait-elle le rapport ?

Parce qu’elle sait qu’il y a un rapport.

Clara a peut-être été dérouillée, mais elle a intégré la présence allogène dans la société française. Prétendre à la neutralité raciale quand un agresseur étranger agresse les autochtones, c’est déjà choisir objectivement un camp : celui de l’agresseur. C’est ce que signifie cette traînée, avec sa tête éclatée : désolé, les Blancs, « je suis neutre ».

Les femmes n’ont aucune loyauté de principe envers quoi que ce soit. Elles se soumettent au plus violent.

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