Expatriation et race

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 Avril 2020

Paris, ville lumière

Depuis un moment maintenant, un certain nombre de jeunes gens de nos milieux se demandent, à juste titre, ce qu’ils doivent faire de leur vie et surtout où ils doivent la mener. Ce qui m’amène à parler de l’expatriation qui est une tendance sociale réelle en France.

Nous avons d’ailleurs des lecteurs qui ont déjà quitté la France tandis que d’autres hésitent.

La question qui se pose est celle de l’espace vital. Je me rappelle de mes cours d’histoire quand, année après année, cette notion d’espace vital était systématiquement dénigrée par des profs rouges comme une hérésie nazie. Mais il suffit d’y réfléchir un instant pour comprendre, surtout en plein confinement, à quel point l’espace vital est crucial pour toute activité humaine, à plus forte raison pour des Blancs.

Pour comprendre l’espace vital, lire Walther Darré via HistoireEbook

J’ai déjà eu l’occasion de dire ici que les juifs avaient concentré tous leurs efforts, ces 50 dernières années, sur la destruction des moyens de reproduction de la race blanche (divorce, avortement, etc.). Ils ont couplé à cette campagne de rééducation un autre volet : l’importation massive d’allogènes dans les pays blancs.

Nous constatons empiriquement les conséquences de ce bouleversement : dans les rues françaises, belges, suisses, il y a de moins en moins de jeunes Blancs et de plus en plus de créatures venues des contrées les plus lugubres d’Afrique ou du Moyen-Orient, défigurant à ce stade la totalité des villes, grandes et moyennes. Désormais, les Peaux Sombres commencent même à investir les villages, matrice historique de la race blanche.

Je ne le dirais jamais assez : il suffit de croiser un seul nègre pour être psychiquement intoxiqué pour la journée. Tous ceux qui ont un sens aigüe de la défense de leur espace vital identifient la vision d’un nègre dans son environnement immédiat à une agression caractérisée. Ce qu’elle est.

Korand Lorenz a abondamment parlé du sujet.

Université Lyon 2 :

A propos de l’agression , Lorenz part de la question suivante : à quoi le mal est-il bon ? S’appuyant sur l’observation des animaux, il distingue deux types d’agression. L’une, extra-spécifique, est orientée vers d’autres espèces que la sienne propre ; l’autre, intra-spécifique, est orientée vers sa propre espèce. Il reconnaît trois fonctions primordiales à la seconde : « la répartition d’êtres vivants semblables dans l’espace vital disponible », « la sélection effectuée par les combats entre rivaux qui permet de conserver les meilleurs géniteurs », « la défense et la protection des progénitures ». De plus, il constate qu’en permettant de donner le pouvoir aux « mâles sages », l’agressivité est un organisateur essentiel de la communauté car elle permet que les décisions soient prises « dans l’intérêt de la communauté ». Pour lui, « l’agression intra-spécifique, loin d’être un principe diabolique, destructeur, [..] est indubitablement une partie essentielle de l’organisation des instincts pour l’organisation de la vie ».

L’invasion allogène représente ici une « agression extra-spécifique » telle que décrite par Lorenz. La répression menée par l’Etat Français contre toute forme de résistance des populations autochtones à la submersion migratoire constitue quant à elle une « agression intra-spécifique » (sorte de police interne) dont le but est de redistribuer l’espace vital au profit des colons d’Afrique et d’Orient.

La LICRA aurait probablement poursuivi Charles Martel pour appel à la haine raciale

En d’autres termes, le fruit du travail produit par les masses blanches en France sert, par l’impôt, à financer l’effort étatique pour les priver de toujours plus d’espace vital au profit du colonisation non-blanc. C’est la véritable nature de cette république juive. Sa raison d’être.

C’est ici qu’il faut dire à quel point le « patriotisme », avec ses flonflons tricolores, constitue le plus grand poison pour la santé raciale des Blancs vivant en France en ce qu’il consiste à croire et faire croire que l’Etat-Métèque français est l’état des Français, ce qu’il a cessé d’être depuis très longtemps. Bien avant le colonisateur, l’Etat est le principal ennemi car c’est lui qui organise la politique de repeuplement racial que nous subissons. Il ne s’agit pas d’être anti-étatiste mais d’être contre cet état là.

Si je passe par l’évocation de Konrad Lorenz et sa description de l’agression comme principe fondateur de toute culture, c’est pour rappeler les impératifs vitaux qui s’imposent à tous dans la lutte raciale pour la survie. Car la lutte des races est le paradigme le plus fondamental de l’histoire. Aujourd’hui, en France, une féroce lutte raciale se déroule mais n’entraîne pas encore une déstabilisation violente de la société car l’Etat s’assure, par son travail de police, que les autochtones agressés ne réagissent pas. L’Etat est en effet la milice de l’envahisseur. Ceci conformément au principe « d’agression intra-spécifique » mais à ceci près qu’il a été entretemps dénaturé par les juifs afin de retourner l’Etat contre son propre peuple.

C’est dans cet environnement-là qu’un jeune Blanc, en France, doit survivre.

Je comprends ceux qui veulent s’expatrier

Ici bat le coeur de l’empire blanc européen

C’est donc la question de l’espace vital qui se pose. Vous devez avoir un espace qui vous appartienne, à vous et votre groupe tribal/racial, afin de pouvoir élever la prochaine génération dans des conditions optimales. Sans parler, bien sûr, de votre propre besoin de tranquillité d’esprit pour vous épanouir intérieurement. C’est ce que votre instinct vous pousse à rechercher et obtenir.

Il va sans dire que l’espace vital est l’espace de l’activité sociale, donc du travail. Que vous restiez en France ou non, vous devez choisir un endroit qui vous réussit le plus professionnellement parlant. Sans argent, vous serez socialement un perdant votre vie durant avec tout ce que cela suppose de difficultés quotidiennes. Si vous pouvez avoir un bon salaire dans une région française encore raisonnablement préservée ethniquement, c’est un choix rationnel. Si vous pouvez doubler votre salaire en allant travailler dans un état encore blanc où vous pouvez trouver un espace vital protégé, c’est aussi un choix rationnel.

Sur la question de l’expatriation en tant que telle, il n’y a pas une unique vérité. Certains veulent partir, d’autres ne veulent pas partir. Les deux « camps » ont des raisons sérieuses.

Ceux qui s’opposent le plus fortement à l’expatriation d’autres personnes, dans nos milieux, le font en toute logique : s’ils veulent rester, tout départ affaiblit numériquement et qualitativement le groupe face à l’invasion. D’où ce sentiment d’abandon bien compréhensible.

Mais ceux qui partent le font aussi en toute logique : de leur point de vue individuel, leurs chances de s’en sortir dans la France de 2020-2030 leur paraissent maigres. Leur instinct les pousse donc à rechercher l’espace vital indispensable à la perpétuation de l’espèce et au travail. Pour eux, l’avenir leur semble beaucoup trop compromis pour réussir. L’émigration vers un autre état blanc accroît de leur point de vue leurs chances de réussite raciale.

Il y a de très sérieuses questions qui se posent pour toute personne qui veut rester vivre en France dès lors qu’il a des enfants ou veut avoir des enfants. La négrification mentale de la jeunesse blanche vient d’être parachevée durant la décennie 2010-2020 et il est pratiquement impossible, sauf à se couper de la société radicalement, d’empêcher ses enfants d’être exposés – même partiellement – à ce processus, notamment par l’école. La négrification mentale est le conditionnement préalable à la négrification tout court, c’est-à-dire à la mulatrisation des futures générations. Compte tenu du cadre féministe ambiant, un père n’a aucun moyen d’empêcher ses filles de dégénérer racialement. S’il parvient, par l’éducation, à préserver ses enfants, la perspective d’une agression raciale demeurera.

Le projet des juifs pour la France 

Vous avez des gens qui ne peuvent tout simplement pas vivre avec cette épée de Damoclès au dessus de l’avenir de leurs gosses.

Enfin, vous avez, pour avoir des enfants, besoin d’une femme qui remplisse son rôle correctement. Ce qui est particulièrement compliqué en France.

Pourquoi s’expatrier n’est pas un problème en soi

Les racistes, s’ils sont attachés à leur patrie d’origine, ne raisonnent cependant pas selon des délimitations de frontières entre états. Inscrits dans le temps long, ils raisonnent à l’échelle de la race blanche, dans le temps et dans l’espace, et plus spécialement de la race blanche en Europe.

Ils n’ont rien à faire d’un état français qui serait devenu totalement bougnoulisé.

Vos ancêtres ont par le passé régulièrement dû se déplacer par tribus entières pour survivre à d’autres invasions ou à des famines. Si bien que vous êtes, à des siècles ou des millénaires de distance, passés, génétiquement, par toutes les plaines du continent. A un moment où à un autre, vos ancêtres ont vécu tantôt dans l’Ukraine actuelle, tantôt dans l’Autriche actuelle. Ou ailleurs encore.

Sur la question, il ne faut donc pas raisonner à 1 an ou 10 ans mais à 1,000 ans. Dès lors, tout devient plus relatif si l’on intègre cette dimension de l’évolution.

L’idée de voir la terre de mes ancêtres tomber aux mains des Peaux Sombres avec l’aide de femmes blanches obèses ne m’enthousiasme pas mais, en même temps, il ne faut pas perdre de vue l’essentiel : le sang. Il est plus important de sauver le sang que la terre. Si l’on peut troquer du temps contre de l’espace et se replier, en France ou hors de France, c’est une stratégie individuelle et collective tout à fait valide.

Du moins, tant que l’Etat ennemi pourra mener sa politique de remplacement racial.

Le Montana est un état intégralement blanc

Si les USA demain éclatent en régions raciales indépendantes et qu’un état blanc se formait, ce pourrait être un espace vital d’élection pour les futures générations blanches. Et pareillement de n’importe quel pays blanc d’Europe qui voudrait défendre son socle biologique.

Ce qui compte, c’est le degré moyen de conscience raciale historique dans le pays concerné.

Tout le monde n’émigrera pas

Tout le monde ne quittera pas la France. C’est matériellement impossible et de toute façon, jamais toute la population ne partirait.

En revanche, il est très probable que l’élite raciale blanche en France quitte ce pays pour les raisons précitées, notamment du degré de répression fiscale imposée par l’état communiste au profit des colons extra-européens. Sur le cours du siècle, on peut estimer qu’entre 5 et 10 millions de Français de race quitteront le pays si la situation continue de se dégrader au rythme actuel.

Mécaniquement, les conditions d’existence pour les autochtones qui resteront en France empireront d’autant plus vite que ce phénomène s’ajoutera à celui du vieillissement, de la dénatalité et de l’immigration non-blanche. Ajoutons à cela que plus le temps passe, plus l’illusion de la conquête de l’Etat-Métèque par des moyens « démocratique » pousse les candidats à faire des compromis avec l’envahisseur.

En cas très improbable de victoire électorale, un parti réactionnaire et bourgeois aux contours vaguement « patriotiques », à l’instar du RN, serait victime de sa conquête. Il s’empresserait de se mettre au diapason du peuplement non-blanc de l’Hexagone, de rassurer, pour maintenir la stabilité de son pouvoir, les masses extra-européennes de sa bienveillance.

La seule chose qui pourrait offrir une alternative réelle serait l’émergence de régions blanches en sécession ouverte avec Paris et qu’elles s’organisent en républiques racistes. Il faudrait un cataclysme social, économique et ethno-racial inouï pour que l’Etat Français éclate de la sorte, sur le modèle yougoslave. Ce serait pourtant le seul moyen de dégager suffisamment d’espace vital pour que des Blancs puissent y vivre en sécurité car, au plan politique, la seule évolution de la démographie condamne « démocratiquement » les Blancs au génocide par substitution sous la direction de la kleptocratie antiblanche au pouvoir en France. D’autant que les vieux Boomers auront toujours la minorité de blocage électoral pour empêcher toute solution radicale de la fracture raciale.

C’est une hypothèse si éloignée et improbable à l’heure actuelle, que des options bien plus immédiates seront choisies par les Blancs qui veulent avoir un avenir.

Si vous voulez partir

Si quelqu’un veut partir, son destin s’accomplira de toute façon.

Si vous voulez partir vous devez :

  • Savoir précisément dans quel pays
  • L’avoir visité au préalable
  • Connaître son histoire, sa culture et sa langue a minima
  • Avoir un débouché professionnel stable
  • Faites trois enfants, pas deux et éduquez-les pour en faire des soldats politiques racistes

Aucun état n’acceptera de bouche à nourrir supplémentaire, vous devez avoir une valeur ajoutée.

Ensuite, vous devez mettre à profit votre expérience personnelle pour soutenir la lutte raciale de là où vous êtes, par tous les moyens à votre disposition, étant entendu que la lutte est continentale. Expliquez aux autochtones pourquoi vous avez quitté votre pays et quelle est la nature du danger. Soutenez les organisations racistes du pays où vous êtes installé, ouvertement ou secrètement, activement ou financièrement.

Vous devez également tout faire pour affaiblir l’Etat-Métèque français qui cherche à détruire les Blancs restés en arrière. N’oubliez pas que la France, sur le continent européen, est l’état le plus dangereux pour la race blanche au plan idéologique et politique, bien plus que l’Allemagne sous occupation juive. L’ancienneté de la contamination du virus égalitariste y est bien plus grande.

Votre base de repli doit devenir un atout pour vos frères de race qui résistent sur place, d’une façon ou d’une autre.

Vous devez aussi organiser, autant que faire se peut, un réseau de la diaspora raciste francophone pour nouer et renforcer des liens et vous entraide. Cette diaspora est par nécessité sans rapport avec les « Français de l’étranger » qui ne sont, à 95%, que des bourgeois hypocrites ayant fui la France marxiste et les joies de la « diversité » pour aller prêcher l’instauration des causes de leur propre fuite dans des pays encore sains et fonctionnels. Comportement que l’on ne retrouve que chez les arabo-musulmans.

Soyez sélectif dans vos amitiés, mieux vaut un ou deux amis très fiables qui partagent votre compréhension de la réalité, que 20 demi-débiles qui vous lâcheront au moindre soupçon de non-conformisme. N’ayez pas peur de l’hostilité et de la haine des lâches, des faibles et des ratés, elle est le signe que vous agissez justement et le salaire bien mérité de l’homme de qualité dans un monde médiocre.

Sachez cependant que le temps imparti pour mettre en oeuvre votre émigration vers un état blanc vous est compté. Le contrôle des mouvements de population mis en place par la juiverie internationale grâce à l’imposture du Coronavirus, surtout au sein de l’UE, ne disparaîtra pas. Si jamais le déconfinement est partiellement levé, sachez qu’il sera tôt ou tard remis en place jusqu’à ce que ce contrôle soit total. Vous devez exploiter le moindre relâchement des mesures comme si c’était le dernier. Vous ne savez pas quelle mesure d’urgence le Système prendra dans le futur.

Après, l’Etat-Métèque aux mains des juifs vous interdira d’aller là où vous voulez s’il vous soupçonne d’être un opposant. C’est pourquoi si vous avez déjà décidé de quitter la France, faites-le avant l’automne.

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