Européennes : Bilal Hamon exige que les Blancs de Pologne et de Slovaquie payent le loyer des algériens de Marseille

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 mai 2019

Quand je pense que les gens disent que la France n’est plus créative.

La Provence :

Le leader du mouvement Génération.s, Benoît Hamon, a indiqué vouloir faire « sauter le plafond de verre » lors de son discours à l’occasion de la réunion de la liste « Printemps européen » aux élections européennes à Marseille.

« La responsabilité des listes de gauche est de dire que ce sont dans les quartiers populaires que nous irons trouver les futures élites françaises« , a-t-il déclaré devant les quelques 200 personnes présentes. Mais selon lui, « la démocratie française assure une égalité en droit mais discrimine dans la réalité. »

Ah ?

Tout est dans la définition du mot « élites » je suppose.

Ceci dit, peu importe la définition, s’il s’agit d’aller recruter dans ces « quartiers populaires », le résultat reviendra à déplacer ces « quartiers » au sommet de la société.

Bilal Hamon a l’air à l’aise avec ce concept consistant à nommer Salah Abdeslam ministre de l’Intérieur.

En même temps, on ne peut pas vraiment jeter la pierre à Bilal. Il fait beaucoup d’efforts pour s’intégrer.

Il est constant.

Benoît Hamon a aussi eu une petite phrase à l’encontre du maire de Marseille. « Il est gratiné Gaudin parce que mauvais comme lui, on n’en fait pas beaucoup. Quoiqu’il se passe, aux prochaines municipales, quand Gaudin vous dira élisez celui-là, faites le contraire ! », a-t-il lancé.

Avant lui, c’est la Marseillaise Sarah Soilihi qui avait ouvert la réunion. « Quand on veut parler d’Europe, le bon endroit pour le faire selon moi c’est ici, à Marseille. Ville qui compte l’arrondissement le plus pauvre (le 3e, NDLR). À Marseille, il y a beaucoup d’habitants qui souffrent et qui se battent pour une justice sociale. Pour eux, l’Europe est trop loin », a-t-elle dénoncé avant d’aborder le « plan pour éradiquer la pauvreté infantile » proposé par son mouvement.

J’ai relu plusieurs fois la phrase pour être sûr d’avoir compris et je ne vois toujours pas le lien logique entre la ville algérienne de Marseille et le continent européen.

Vous voyez un lien vous entre la Slovaquie et cette ville ?

Moi pas.

Je ne vois pas d’où cette Sarah Soilihi sort ça.

C’est peut-être parce que c’est une comorienne musulmane dégueulasse et qu’en tant que comorienne musulmane dégueulasse, il lui paraît tomber sous le sens d’exiger de la vache à lait aryenne de Slovaquie et d’ailleurs de faire ce que la plèbe gauloise fait chaque jour en s’excusant de ne pouvoir faire plus pour son dieu négroïde : raquer.

Le rapport entre l’Estonie, Varsovie ou le peuple tchèque et cette ville ne saute pas aux yeux.

Cette comorienne a des idées novatrices pour « l’Europe ».

Lisez plutôt :

« Le fonds social européen devra garantir à chaque enfant un logement, la santé« , a-t-elle notamment précisé, proposant également d’augmenter immédiatement le salaire minimum à 1350€ nets par mois dans toute l’Europe.

C’est vraiment nouveau : payer pour le pullulement des nègres mahométans dans sa ville merdique.

« Oh, Piotr, sale kouffar, faut banquer tout de suite pour qu’Abdoulaye Diop et ses 4 épouses puissent loger leurs 17 négrillons dans des conditions décentes en France. »

Ces Polaks vont-ils comprendre l’enjeu civilisationnel français ?

Je ne sais pas. Il faut revoir l’accroche.

Une boîte de com’ juive peut faire le job mais faut s’y prendre vite, les élections sont bientôt.

« L’abstention est plus forte dans les quartiers populaires. C’est pour cela qu’il faut aller voter. Voter c’est une question d’honneur. Quand trop souvent on oublie, on manque à nos devoirs », a également averti Sarah Soilihi.

« Les quartiers populaires ».

Mais pourquoi tant de pudeur ?

Pourquoi cacher ce bougnoule que je ne saurais voir ? Il serait temps que ces racisés s’émancipent des euphémismes de la gauche socialiste et assument le fait d’appartenir à des territoires placés sous la légitime autorité du Califat.

Abou Bakr al Bagdadi, maire honoraire des quartiers nord

Bilal Hamon a au moins compris un truc : la politique, c’est la démographie. Donc la race.

Le problème, c’est que sur ce créneau, vous avez une liste interminable de concurrents.

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