Estonie : les racistes anti-fiottes de l’EKRE entrent au gouvernement

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 avril 2019

Les choses bougent aussi en Estonie.

Le courant raciste se porte formidablement bien.

Radio Canada :

Un parti politique d’extrême droite connu pour ses positions anti-immigration et eurosceptiques a conclu un accord, samedi, pour devenir l’un des trois partenaires au sein de la coalition qui formera probablement le prochain gouvernement de l’Estonie.

Le Parti conservateur du peuple estonien, ou EKRE, a indiqué que sa coalition avec le Parti du centre (centriste) et le parti conservateur Fatherland créerait une majorité gouvernementale dans ce petit pays balte, qui est à la fois membre de l’OTAN et de l’Union européenne.

En vertu de cet accord tripartite, le leader du Parti du centre, Juri Ratas, deviendrait premier ministre, un rôle qu’il occupait depuis novembre 2016, et ce jusqu’au 3 mars dernier, jour des élections générales. Chaque partenaire disposerait de cinq des 15 postes ministériels.

La coalition contrôlerait 57 des 101 sièges au Parlement, et donc une majorité confortable. Cependant, la présidente du pays doit officiellement demander aux trois partis de former un gouvernement pour leur donner le pouvoir.

La chef de l’État, Kersti Kaljulaid, a déclaré vendredi qu’elle avait confié ce rôle au chef du Parti réformiste (centre droit), qui a obtenu le plus de votes.

EKRE est dirigé par un père et son fils, Mart et Martin Helme, respectivement âgés de 69 et 42 ans.

Les deux hommes disposeraient d’une influence importante au sein du cabinet. Mart Helme occuperait l’Intérieur, tandis que Martin Helme serait aux commandes des Finances.

Ce parti a fait campagne en faveur de l’abolition de la loi reconnaissant les unions entre conjoints de même sexe, a réclamé des changements à la loi encadrant l’avortement et s’est vertement opposé aux quotas d’accueil de demandeurs d’asile de l’Union européenne.

Ces trois exigences fondamentales sont cohérentes : elles visent à faire garantir par l’Etat les conditions nécessaires à la protection et à la reproduction du socle biologique estonien.

La destruction de l’homo-sidaïsme, la limitation massive de l’avortement comme méthode contraceptive a posteriori et l’interdiction de l’introduction de mâles allogènes voulant s’emparer des femmes blanches et du territoire des hommes estoniens répondent à la menace de l’extinction raciale que planifie le pouvoir judéo-globaliste en Europe.

Vous pouvez regarder leurs vidéos officielles, c’est plutôt du bon matériel.

Les fiottes et mahométans sont clairement ciblés comme ennemis à éradiquer.

EKRE, encore que modéré, va donc, globalement, dans la bonne direction.

Mart Helme, qui fut ambassadeur de l’Estonie en Russie de 1995 à 1999, a indiqué que le pacte avec les deux autres partis « protégeait des promesses essentielles faites à notre parti et à nos électeurs ».

La forte rhétorique nationaliste et la popularité croissance d’EKRE depuis sa création, en 2012, inquiètent en Estonie, particulièrement chez la minorité d’origine russe.

Selon Andrews Kasekamp, expert de l’Estonie et professeur d’histoire à l’Université de Toronto, affirme que la croissance d’EKRE a déjà provoqué une « vulgarisation du débat public » et la polarisation de la société estonienne.

Ils ont été chercher un « expert » chez Trudeau pour parler de l’Estonie.

Lol.

Apparemment, un marxiste canadien connaît mieux l’Estonie que le peuple estonien.

Le parti « a alimenté l’hystérie anti-immigrants et homophobe » pour obtenir des votes lors des élections du mois dernier, allègue le chercheur.

Ce type avoue que les Estoniens veulent précisément ce que propose ce parti et que ce parti n’a fait qu’offrir aux Estoniens ce qu’ils veulent.

Curieusement, quand le peuple demande et obtient ce qu’il veut, la démocratie dont cette presse juive parle tout le temps devient un problème.

« Il est certain que la réputation internationale de l’Estonie sera entachée si le pays est désormais placé sur un pied d’égalité avec les gouvernements nationales de Hongrie et de Pologne », dit-il.

(((Réputation internationale))).

Les fiottes risquent en effet de préférer aller en vacances à Tel Aviv pour se faire sodomiser.

Et les rabbins ne vont probablement pas se sentir très à l’aise.

C’est ce que j’appelle avoir une excellente réputation internationale.

L’Estonie est un petit pays balte moderne qui est encore culturellement et psychologiquement aryen.

Chez nous, le jacobinisme couplé au marxisme culturel juif ont anéanti toute forme de culture populaire.

Et, non, je ne considère pas le bal musette comme de la culture populaire.

Lors du dernier scrutin, le Parti réformiste a obtenu 28,9 % des voix. Le Parti du centre est arrivé deuxième avec 23,1 % des votes, suivi du EKRE avec 17,8 %.

Seuls cinq partis ont dépassé le seuil permettant d’entrer au Parlement. Avec trois de ces partis formant une coalition, Kaja Kallas, la chef des réformistes, n’a plus qu’une option : former un gouvernement minoritaire avec le Parti social-démocrate. Elle a cependant indiqué que cette option n’était pas sur la table.

Le fait est que seuls deux pays n’ont pas de bloc nationaliste au parlement en Europe : le Royaume-Uni et la France.

Sans être un admirateur du parlementarisme, force est de constater qu’en France, avec cette histoire absurde de scrutins à 2 tours, nous n’allons nulle part. Les juifs et leur presse peuvent indéfiniment bloquer le système électoral. Si les élections avaient lieu aujourd’hui entre Macron et Le Pen, Macron les remporterait.

Après, vous pouvez m’objecter que si nous avions un candidat au top niveau, nous pourrions peut-être gagner. Sauf que nous n’en avons pas et qu’en attendant, les juifs bolchevisent un peu plus l’Etat chaque mois qui passe. Et c’est sans compter sur le ministère soviétique de l’Education, les 8,000 magistrats communistes qui tiennent la Justice et la presse terroriste juive.

Par comparaison, l’Estonie est une société saine.

Pour en revenir aux élections proportionnelles, Salvini est par exemple entré au gouvernement avec moins de 20% des votes. Grâce au jeu des alliances, un parti situé entre 15 et 20% des voix peut réellement influer sur la politique du pays.

Notre situation est absurde.

Mais nous ne pouvons que nous en prendre à nous-mêmes. Le seul fait qu’une femme aussi horrible que Marine Le Pen puisse vampiriser toute forme de résistance politique à l’éradication raciale en cours est, en soi, ahurissant.

En France, le dysgénisme érigé en politique d’état parvient même à empêcher la création d’un parti politique avec des cadres mentalement équilibrés.

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