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Capitaine Harlock
Démocratie Participative
24 octobre 2017
La Birmanie redonne foi en l’humanité. Après une campagne éclair démarrée en août, près de 75% de la vermine musulmane a été extirpée du pays par la courageuse armée birmane.
Alors que d’autres ferment leurs frontières, le Bangladesh a accueilli 600 000 réfugiés #Rohingya depuis août 2017
— Canada à Genève (@CanadaONUGeneve) 23 octobre 2017
Mmm…
Depuis le 25 août dernier, quelque 600.000 personnes ont traversé la frontière entre la Birmanie et le Bangladesh, pour fuir les violences militaires liées à une contre-offensive de l’armée birmane dans l’État d’Arakan où vivent les Rohingya, cette minorité musulmane apatride. L’armée birmane répondait à une attaque d’insurgés rohingyas. Cette opération a été qualifiée de nettoyage ethnique par les Nations unies.
Nettoyer ethniquement la plaie purulente de l’islam invasif est effectivement une nécessité et cette opération a d’ores et déjà résolu les trois quarts du problème.
Si un état du tiers-monde doté de la moitié du PIB d’une région français pour 51 millions d’habitants peut solder en deux mois l’essentiel de la question musulmane, il est évident qu’un état moderne peut en faire tout autant avec des millions et des millions de kebabs.
Purger 10 ou 15 millions de prédateurs musulmans ne pose que des questions d’ordre technique mineures.
La seule question qui importe est celle de la volonté.
