Encore une fois : les Allemands n’ont jamais tué de femmes et d’enfants à Oradour, c’est l’église, utilisée comme dépôts d’explosifs par le Parti Communiste, qui a déclenché la catastrophe

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 juin 2022

 

De la même manière que la guerre contre la Russie actuelle est une guerre intégralement juive, la guerre contre l’Allemagne nationale-socialiste était une guerre intégralement juive.

C’est grâce aux mensonges d’hier et la rééducation des petits Blancs que les juifs peuvent monter aujourd’hui leur assaut final contre l’humanité.

D’où l’importance de démasquer le juif, dans tous ses mensonges.

Diffusez, rediffusez le documentaire de Vincent Reynouard sur le mythe d’Oradour-sur-Glane : déniaiser quelqu’un sur cette histoire, c’est le déniaiser sur toutes les autres histoires montées par les juifs pour les besoins de leur propagande de guerre.

Ce système fonctionne de manière identique, aujourd’hui comme il y a 78 ans.

Les juifs Mendès et Reichstadt sont à l’oeuvre.

Faire éclater la vérité à propos d’Oradour-sur-Glane, c’est-à-dire l’absence d’un quelconque massacre délibéré de femmes et d’enfants par l’armée allemande, c’est apprendre aux goyim à ne plus croire les campagnes de désinformation du système.

Que s’est-il passé à Oradour ?

C’est simple : alors que l’armée allemande remonte vers la Normandie où viennent de débarquer les Alliés, une unité d’élite du Reich est attaquée sur la route par des bandes communistes armées. Des officiers allemands sont capturés, puis, plus tard, torturés et exécutés.

Une opération est montée par les troupes allemandes pour tenter de récupérer leurs prisonniers dont ils ignorent s’ils sont en vie ou non. Oradour, base du maquis communiste, est visée. Objectif : obtenir des renseignements permettant de retrouver les officiers capturés.

Le village est investi par des soldats allemands qui interrogent les habitants, retrouvent des caches d’armes dans plusieurs habitations et séparent les hommes des femmes et des enfants. Pourquoi cette séparation ? Parce que les hommes sont tous en âge de porter les armes dans ce secteur rouge insurgé et qu’en cas de contre-attaque des bolcheviques, les Allemands doivent s’assurer que les civils, qui sont pour beaucoup des membres du maquis, ne passent à travers champs pour rejoindre les assaillants.

L’ordre est clair : en cas d’attaque du maquis, les soldats allemands doivent fusiller les hommes regroupés dans les granges et empêcher ainsi qu’ils ne se joignent à l’ennemi. L’armée française procédera ainsi en Algérie.

Soudain, pour une raison inexpliquée, une énorme explosion souffle l’église dont on apprendra dans les années 90 qu’elle était un point logistique du maquis rouge qui s’en sert en effet pour évacuer des pilotes alliés.

L’explosion, qui se situe au niveau du clocher, indique que des explosifs étaient entreposés en grandes quantités sur place par les partisans du Parti Communiste.

Que s’est-il passé ? Un enfant est-il monté dans le clocher, alors que 400 personnes s’entassent dans l’église, avant d’amorcer un explosif qu’il manipulait ingénument ? Des maquisards cachés dans le toit ont-ils faits exploser une grenade accidentellement, paniqués par la présence des Allemands ? Impossible à dire.

L’explosion, énorme, entraîne la panique parmi les soldats allemands, convaincus qu’une contre-attaque générale vient d’être déclenchée par le maquis rouge environnant. Les hommes sont fusillés avant que le repli ne soit ordonné.

Plus tard, conformément à la stratégie de la guerre révolutionnaire, les rouges exploitent cyniquement leur propre inconséquence, accusant les forces allemandes d’avoir brûlés vifs femmes et enfants dans l’église.

Le mensonge d’Oradour est né. Il sera suivi de nombreux autres mensonges rouges.

Si l’on veut de véritables « Oradour », la Vendée en offre de nombreux. Jusqu’à plusieurs par jour.

Il n’est pourtant jamais question de la « barbarie républicaine ». C’est le véritable enseignement d’Oradour : les rouges à la botte des juifs ne reculent devant aucun crime pour parvenir à leurs fins.

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