Encore un groupe d’ultra droite arrêté pour avoir eu l’idée d’avoir des armes tout en parlant de racisme sur les RS

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 novembre 2021

Peut-être qu’au bout du quinzième ou du vingtième groupe arrêté pour « terrorisme » à cause d’une 22LR déclarée en préfecture sur fond de posts mythos à propos de la Reconquista, les gens commenceront à utiliser leurs neurones – mais je n’irai par parier là-dessus.

BFMTV :

Repéré par la Direction générale de la sécurité intérieure à l’été 2020, ce groupe est convaincu de l’imminence d’une guerre civile en raison de la pression migratoire, et appelle ses membres à constituer des groupes armés.

C’est un important coup de filet réalisé par les gendarmes de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité. Ce mardi matin, l’OCLCH a interpellé treize individus – douze hommes et une femme – appartenant au groupe d’ultradroite Recolonisation France, qui se décrit lui-même comme proche de la mouvance survivaliste et « faf » – acronyme utilisé à l’extrême-droite, qui dérive du slogan « La France aux Français » -, a appris BFMTV.

Les arrestations, menées sur commission rogatoire d’un juge d’instruction de Marseille, ont eu lieu en Île-de-France et dans le sud de l’Hexagone. Les perquisitions conduites chez les suspects, âgés de 21 à 52 ans, ont permis de découvrir des armes chez au moins l’un des membres du groupe. Les gardes à vues qui sont en cours visent notamment à déterminer leurs projets.

Repéré par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à l’été 2020, ce groupuscule, dont le membre fondateur demeure à Marseille, est mû par sa crainte d’une guerre civile liée à la pression migratoire. À ce titre, il appelle ses quelque 110 membres à s’y préparer en constituant des groupes armés composés de « Français patriotes ».

« Ils échangent et se rassemblent autour d’une idéologie identitaire, raciste et violente, notamment véhiculée à travers les réseaux sociaux », précise le parquet de Marseille dans un communiqué.

Quatre factions ont ainsi été montées: en Provence, en Occitanie, en Île-de-France et en Bourgogne. Parmi les membres de Recolonisation France, on compte plusieurs militaires, dont un colonel de gendarmerie en poste dans les Yvelines.

Il apparaît que les armes étaient légalement détenues, ce qui ne change strictement rien.

Pour le gouvernement d’occupation, il suffit de pouvoir mettre « armes » et « racisme » dans le même titre d’un article pour faire coffrer à peu près n’importe qui pour n’importe quelle durée en attendant un procès truqué qui se convertira en années de prison (au milieu des arabes, des noirs et des tziganes).

Je dois être pratiquement le seul à dire que la dernière personne qui doit détenir une arme en France en 2021 est un opposant à l’immigration non-blanche. La position dominante étant exactement inverse à la mienne.

Disposer d’une arme ne sert à rien en France, sauf à finir en prison. Ce n’est pas comme si la légitime défense était admise par l’Etat, nous ne sommes pas aux Etats-Unis. D’ailleurs même aux USA, avec 300 millions d’armes en circulation, des milices racistes et une mise en minorité des Blancs officiellement prévue pour le début des années 2040, le gouvernement submerge les Blancs dans le plus grand calme.

En France, le seul statut admis par la classe dirigeante est la neutralisation complète du bétail aryen. Les banlieues ethniques peuvent déborder d’armes, c’est indifférent : elles ne produisent rien et sont donc entièrement dépendantes des subsides de l’Etat pour vivre. Il en va différemment des Blancs qui sont les seuls éléments productifs de cette société. Toute la puissance gouvernementale se déploie contre eux. Avoir une arme quand on appartient à un cercle social qui milite autour des questions raciales, c’est supplier l’Etat qui ne demande que ça de bien vouloir mettre un contrat sur sa tête.

Je ne sais pas qui peut sérieusement croire qu’une arme semi automatique cachée dans un grenier sera de nature à neutraliser un état protégé par plus d’un demi-million de policiers, gendarmes et de soldats dont le travail à temps plein est de détruire n’importe qui brandit une arme contre l’Etat (avec une très nette préférence pour les suspects de race blanche). Ces personnes arrêtées avaient l’air de le croire, y compris un colonel de gendarmerie pourtant parfaitement informé des capacités de son institution.

En tout cas, leur croyance vient de recevoir un cruel – et prévisible – démenti.

Là dessus comme sur la vaccination, j’imagine qu’il est inutile d’essayer de raisonner quiconque. Des gens continueront à parler de guerre civile avec des flingues chez eux et ils continueront de finir en prison pour des années pour avoir posté des trucs sur FB.

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