En plein Grand Remplacement, la LICRA forme 1,200 futurs policiers et gendarmes au racisme antiblanc

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 décembre 2021

Il est de notoriété publique que la LICRA est une organisation politique juive.

Cette organisation politique juive a été créée en 1927 par le marxiste juif Bernard Lecache afin d’obtenir la relaxe de Sholem Schwartzbad, un terroriste juif ayant assassiné Simon Petlioura, homme politique ukrainien en exil à Paris. Sholem Schwartzbad, proche du groupe de Lénine dès les années 1900, était un assassin aux ordres des bolcheviques juifs de Moscou.

Grâce à la furieuse agitation juive organisée par Lecache, l’impunité fut accordée par les tribunaux français à Schwartzbad qui revendiquait pourtant haut et fort le meurtre. Ce n’est pas l’objet d’une quelconque controverse, c’est admis par Wikipédia.

La LICRA a été explicitement créée pour que les assassins juifs aient carte blanche en France.

Ce scénario sera réédité pour la libération du terroriste juif Pierre Goldman, frère de la « personnalité préférée des Français » Jean-Jacques Goldman.

Depuis un siècle, les commissaires politiques de la LICRA accompagnent la féroce dictature raciale des juifs. Cette dictature a un seul et unique programme : détruire la race blanche en France.

Il va sans dire que la LICRA, en tant qu’organisation terroriste juive, n’entend nullement s’appliquer le programme antiraciste qu’elle dicte aux Français sidérés. Elle est totalement acquise à la suprématie raciale des juifs en Palestine et défend l’état ségrégationniste israélien les yeux fermés.

La LICRA est aujourd’hui la matrice idéologique du régime. La DILCRAH n’est que son extension gouvernementale.

Nous l’avons encore vu avec la mise en scène grotesque du Panthéon, mais plus sûrement avec les recrutements récents de Macron.

On notera au passage toute la clairvoyance de Marine Le Pen sur les sujets cruciaux.

L’Etat Français, irréversiblement zombifié par les juifs et fermement tenu par eux, n’est plus qu’un mort-vivant obéissant au doigt et à l’œil de ces juifs.

Le meilleur exemple est ce qu’en dit la LICRA elle-même. Le spectacle de ces pauvres golems docilement alignés devant les commissaires politiques juifs résume à lui seul la situation.

Vous direz, « ce n’est jamais qu’une poignée de juifs jouant les intéressants devant des recrues ».

C’est une erreur. Se trouve derrière une chaîne de commandement double que les juifs tiennent grâce à la maçonnerie. Sans parler bien sûr de l’inertie du bétail bureaucratique qui est dénuée de volonté propre. Les tribunaux, également contrôlés par les juifs, prennent le relais après les arrestations. Enfin, les médias juifs se chargent de dresser les réquisitoires.

Ce qui va faire s’effondrer cette machine complètement sémitisée que l’on appelle l’Etat Français n’est rien d’autre qu’une indigestion de nègres et de mahométans. Aussi paradoxal que cela paraisse, chaque centaine de milliers d’afro-musulmans que les juifs importent en France nous rapproche de l’effondrement complet de l’ordre social.

Les policiers et gendarmes qui écoutent avec déférence ces juifs prêcher la vigilance contre la race blanche auront le privilège de passer aux travaux pratiques au contact de la diversité. Nul doute que les quelques 17 millions d’arabes, de noirs, de roms, de turcs, d’afghans qui peuplent la France leur témoigneront de leur estime républicaine.

Le racisme antiblanc est politique d’état en France et cette politique est une politique juive.

Le point le plus important à connaître – pour nous, comme pour les juifs ou les flics – est celui-ci : les juifs ne disposent d’aucun soutien dans la population, peu importe le groupe ethnique. Les likes de boomers sur Facebook ne changent rien à cette réalité. En réalité, tout le monde ou presque hait les juifs. Ou de toute façon ne lèvera pas le petit doigt pour les aider.

L’autre point est le suivant : se dire ami des juifs revient à s’exposer à la haine populaire, tous azimuts.

Si ces juifs insistent tant pour se mettre en scène avec les flics, c’est parce que ce sont leurs derniers amis en France. Mais même de ce côté, je ne miserais pas sur un excès de zèle dans les années à venir.

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