En plein chaos racial, les bourgeoises de Nantes font du yoga en plein air

La rédaction
Démocratie Participative
18 septembre 2022

 

AVERTISSEMENT : Ce texte est à lire au premier degré

J’ai décidé de vous montrer le visage hideux de la bourgeoisie cosmopolite qui tient nos vies entre ses mains.

La fracture cognitive que vous expérimentez vient du fossé que vous percevez entre cette bourgeoisie majoritairement féminine, absorbée par elle-même, et ce qui est en train de se passer autour d’elle, qui n’a rien à envier à la chute de l’empire romain.

Chaque semaine, un meurtre, un viol de rue, une fusillade par les hordes de barbares que ces mêmes bourgeoises exigent d’accueillir.

Il tombe sous le coup de la logique que cette société sururbanisée féminine soit dominée par une femme représentative des femmes du tertiaire qui tiennent les grandes villes de l’empire finissant.

À Nantes, c’est la bourgeoise de gauche Johanna Rolland qui a pris la ville en 2014.

Les Grecs appelaient cela « Kalos kagathos », « beau et bon ». Le concept est intégral, ce qui est mauvais est également laid.

Il en découle une loi selon laquelle l’anthropologie est un tout unique et qu’un pouvoir est à l’image biologique des méfaits ou des bienfaits qu’il produit.

La dinde Johanna Rolland, avec son air idiot, autosatisfait et suffisant, et sa culotte de cheval, représente parfaitement le sommet de l’art féminin en politique.

Vous n’aurez jamais rien de mieux, dès lors que vous laissez une femme approcher d’un poste à responsabilité.

En 2018, toujours sous Johanna Rolland, Nantes a connu ses premières émeutes raciales de grande ampleur, d’une violence inédite, même selon les standards franciliens, lyonnais ou marseillais.

Le plus cocasse était que ces émeutes avaient démarré parce qu’un trafiquant de drogue parisien inconnu à Nantes avait été refroidi par les flics.

En dix ans, la ville a été détruite.

Il y a 20 ans, Nantes faisait racialement figure d’exception pour une ville de cette taille en France. On trouvait bien sûr des allogènes, mais circonscrits à l’ancienne dans une poignée de quartiers.

Aujourd’hui, toutes les races de la terre ont conquis la moindre échoppe de la ville, les tziganes zonent partout, mendient jusque dans les églises (remplies de négresses), tandis que des kurdes et des turcs qui blanchissent le fric de la dope depuis leur kebab toisent d’un sale air les faces de craie qui osent encore s’aventurer dans les rues.

La prolifération des noirs est effrayante – proprement effrayante. Ici et là, des mélopées d’Afrique ou de la Jamaïque vrombissent au détour d’une ruelle crasseuse, les maliens prêts au génocide dévisagent d’un air totalement haineux le moindre visage pâle.

Les gens qui ont l’air le moins hostile sont encore les nord-africains qui tiennent les supérettes, raï à fond.

(Le raï est de la musique de bordel, au cas vous ne le sauriez pas).

Marcher dans Nantes, au milieu des ruines de l’ancien monde, produit sur le passant qui n’a pas encore été reprogrammé par MK-ULTRA un effet étrange, surréel. Si vous vous égarez dans une basilique, c’est encore pire. Les siècles du millénaire précédent vous contemplent, muets. Vous ne savez pas ce que vous faites là, vous ne savez pas ce que ces races étranges font là, et rien n’a de sens, peu importe la façon dont vous vous posez la question.

Mais ce ne serait pas intégralement dystopique si, justement, tous les Blancs autour n’avaient pas l’air d’être totalement imperméables au crash du Boeing 747 qui vient d’avoir lieu. Les débris sont partout, les cadavres éclatés pendent dans les arbres et l’électeur lambda de Johanna Rolland apparaît comme un héros stoïcien dans ce Pandémonium.

Il est en trotinette.

Il est important de dénoncer le système au plan macro.

Mais juifs ou pas juifs, sans cette couche bourgeoise ultra urbanisée, rien de l’enfer actuel ne pourrait se matérialiser. Il faut que ces sodomites existent, pour que l’ordre cosmopolite juif total puisse exister.

Sans cette bourgeoisie transexuelle, pas de soutien à la guerre mondiale LGBT-remplaciste en Ukraine.

Leur système ira à son terme, c’est-à-dire qu’il sera un chapelet de villes multiraciales, pédo-LGBT, tenues d’une main de fer par les juifs et leurs commissaires politiques, tandis que le reste du territoire sera une sorte d’Afrique bis, les anciens villages repeuplés de peuplades issues du paléolithique, avec le Coran pour seul semblant de culture.

Ma solution, désormais assez claire dans mon esprit, c’est l’Année Zéro.

Année Zéro

Un front révolutionnaire agrarien et prolétarien, raciste et génocidaire, dont l’objectif est l’anéantissement de la bourgeoisie enjuivée occidentale et la destruction de cette société satanique.

Vous ne me ferez rien entendre à propos du PIB, des technologies, ou de je ne sais quoi d’autre. Le niveau de vie de 1930 me va parfaitement. Le niveau de vie de l’Allemagne NS de 1937 m’ira toujours infiniment plus que le « niveau de vie » de la France sururbaine de 2023.

Je me fous que les Chinois aillent gratter l’écorce de la lune ou de mars pour ramener une demi fiolle de poudre parce qu’ils sont « technologiquement plus avancés ».

Si vous vivez au milieu des nègres sur terre, de fait vous vivez à l’âge de pierre. C’est la seule question qui se pose d’un point de vue scientifique au XXIe siècle. Il faut d’abord commencer par l’extirpation des adeptes de la négroculture. C’est-à-dire la destruction de la bourgeoisie urbaine remplaciste.

Cela suppose de procéder à un Great Reset alternatif. C’est la version positive de celui de Klaus Schwab. Au lieu d’euthanasier les prolétaires blancs, le front du peuple agrarien et ouvrier euthanasiera les exploiteurs des grandes villes, par millions. Tous les utilisateurs de trottinettes seront passés par les armes. Les étudiants en sciences sociales seront arrêtés comme agents de la CIA et déportés vers des unités spécialement dédiés au prélèvement d’organes pour les enfants du peuple. Les dons du sang seront systématiques pour ces conspirateurs – à raison de 3 litres par terroriste.

D’où mon appel récent au Polpotisme blanc. Ou d’un maoïsme aryen, si vous préférez.

Vous savez que j’ai raison. Vous savez que nous devons réduire cette population par deux.

Cette mauvaise graisse ne nous sert à rien, sauf à nous pourrir les artères.

Nous n’avons pas besoin des villes, pas besoin des bobos, pas besoin des allogènes.

Nous avons besoin d’un Grand Bond en Arrière, vers le monde blanc d’avant, celui de nos Anciens, avant que le fléau de l’urbanisation totale nous frappe et nous emmène à l’abîme.

Un front paysan et ouvrier révolutionnaire, raciste, totalement dévoué à l’extermination de l’ennemi, voilà en résumé ce qu’il faut au peuple ! En fait, le peuple l’exige sans oser le dire, par peur des représailles cruelles de l’ennemi.

Je propose une solution à mi chemin entre le Juche de Kim Il Sung et la voie éclairante du Grand Pol Pot, avec les nécessaires corrections sociales apportées par Adolf Hitler sur les questions pratiques relatives aux problèmes raciaux.

Pouvons-nous nous mettre d’accord sur la destruction de la bourgeoisie urbaine, l’arrestation massive des traîtres, la rééducation politique des masses par le travail manuel dans les fermes de notre future société rurale ?

Pouvons-nous conclure à l’évidente nécessité de riposter aux attaques ennemies contre le peuple par une réponse d’une radicalité jamais vue à ce jour dans l’histoire ?

Je le crois.

Tout problème porte un nom et un prénom.

Joseph Staline

Cela passe par l’effacement de 30 millions de bouches inutiles à la botte des juifs, devenues obsolètes pour cette société splendide qui nous attend : 17 millions d’allogènes, 10 millions de démocrates en retraite, le reste de saboteurs, d’accapareurs, d’empoisonneurs, de facilitateurs.

Retirons ces fuites à calories du paradigme et une ère de paix s’ouvrira. Si nous les tolérons davantage, l’exploitation, la misère, le Grand Remplacement seront là jusqu’à la mort finale de la race blanche.

Le choix est simple, c’est la vie ou la mort.

Les démocrates, aux champs ! Les bourgeois, aux champs ! Les juifs, aux champs ! Les contre-révolutionnaires, aux champs !

Épurons !

Vive l’Année Zéro !

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