En manque de chibre oriental, la journaliste de RMC Céline Martelet organisait le retour en France des djihadistes

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 septembre 2018

Voilà un nouvel exemple, radical mais symptomatique, qui illustre le soutien des bourgeoises féministes à l’invasion.

Valeurs Actuelles :

Mise en garde à plusieurs reprises par les services de police français sur les risques qu’elle prenait, la journaliste continuait pourtant d’échanger avec des familles parties combattre dans les rangs de l’Etat islamique. D’après nos informations, c’est en écoutant le contenu de conversations de personnes « dans le haut du spectre », suivies par nos services de renseignements, que la DGSI a découvert les échanges réguliers avec la jeune femme. En lien avec l’entourage de plusieurs djihadistes dont certains sont morts, elle est soupçonnée d’avoir fait preuve « d’un peu trop d’empathie ».

Toujours est-il qu’au cours de leurs investigations, les enquêteurs auraient pu « établir que la journaliste a été impliquée dans au moins un transfert d’argent dans une zone de conflits, argent devant servir à permettre à des familles de terroristes de revenir en France », précise une source judiciaire. Des faits particulièrement graves s’ils étaient confirmés. « C’est pour cela qu’elle a été placée en garde à vue », poursuit un policier.

HA !

Cette journaliste a simplement mis en pratique ce que les autres femmes de son milieu social appellent en permanence à faire au niveau gouvernemental : accueillir les barbares colorés se ruant à l’assaut du monde blanc.

Mais ici, c’est encore plus clair, puisqu’il s’agit de faire revenir en France des musulmans en guerre contre nous.

Lorsqu’elles ne sont pas étroitement corsetées par un système patriarcal rigide, les femmes se mettent immédiatement et inconsciemment en quête d’hommes forts – c’est-à-dire capables de violence contre elles – pour rétablir l’ordre.

Les femmes sont incapables de diriger une société

Si une femme n’est pas d’autorité mise en situation de faire des enfants dans sa vingtaine et qu’elle est « éduquée » pour noircir du papier dans des écoles de journalisme ou dans des universités en sciences molles, elle se retrouvera rapidement au coeur du système culturel et politique où sa frustration sexuelle et affective détournera son instinct maternel au profit des masses colorées au détriment de son propre groupe racial.

Tout ceci s’explique par la répression systémique des attributs de la masculinité hétérosexuelle blanche dont l’antiracisme est l’expression idéologique et institutionnelle. L’antiracisme vise, ni plus ni moins, qu’à détruire le mâle blanc hétérosexuel qui est le pilier de la civilisation européenne.

Ne demandez pas à ces femmes d’expliquer rationnellement pourquoi elles soutiennent l’invasion des métèques : elles ne raisonnement pas.

C’est leur biologique contrariée qui guide leurs actions destructrices, résultat de l’apathie et de la passivité des hommes blancs qui refusent de tenir leur rang et leur fonction.

Si nous retranchions, en 24 heures, toutes les femmes des partis politiques, des médias et des ministères, tout le mouvement en faveur de l’invasion s’évaporerait comme par magie.

Nous devons voir les choses très simplement : la présence des femmes dans les organes de décision et d’analyse revient à injecter des doses massives d’oestrogènes dans le système.

Donc, concrètement, quand un ennemi arrive pour nous envahir, au lieu de ça :

Nous avons ça :

Cela n’est possible que par la féminisation des hommes qui télescope la masculinisation des femmes.

C’est cette dégénérescence des hommes qui permet aux femmes de se livrer à leur pratique favorite : la macro-hypergamie, l’hypergamie à l’échelle d’une civilisation.

Il n’y a qu’une alternative à la Charia Blanche : la charia islamique.

Le rapport de force entre les hommes et les femmes est à somme nulle, en faveur des hommes. Si les hommes blancs refusent de rétablir le patriarcat raciste pour jouer les canards avec leurs femelles, les Blanches demanderont le patriarcat arabo-nègre.

Que ça plaise ou non.